On en est à combien de faits divers impliquant des africains ou des accordéonistes là? Tranquille.

Il y a quelques temps (en période de campagne), on nous affirmait que le centre-ville était tout à fait sûr mis à part quelques petites chamailleries de personnes alcoolisées...

Le problème est surtout dû à tous ces gens qui ont l'outrecuidance de se balader seuls au milieu de la nuit. C'est de leur faute. Les agresseurs ne font que leur travail.

C'est comme une nana quo se promène avec un décolleté et quo se fait brancher: elle l'a bien cherché.


Rrhoooooo, tout de suite! Comment tu es! En ce temps là, Brest était parfaitement saine, voyons!

Tiens, un truc qui m'interpelle: l'auteur avéré, pardon, présumé, est un ressortissant Tunisien. Les faits ont dc lieu en Mai...il passe en jugement en...novembre. Soit 6 mois. Six mois durant lesquels nos impôts vont servir à nourrir, blanchir et loger le monsieur. Sans compter un avocat commis d'office (quoique va bien y avoir une asso pour lui venir en aide et obtenir tout ce qu'il faut à nos frais), le fait qu'il sera libre comme l'air et recommencera, en parallèle de prestations diverses et variées. Serrez vous la ceinture, braves gens! En voilà une des nécessités!

Mais c'est rieeeen çaaaaa, t'as les gros qui se barrent en Syrie ou en Algérie qui se cognent 3000 euros d'aides sociales sans avoir jamais bossé de leur vie d'unterme...... .

Encore des cambriolages à la Cavale ...

Ca se rapproche de chez Monsieur le maire !

Ils sont idiots, en restant quelques heures de plus sur place ils aurait pu rester y vivre tranquillou, et meme bénéficier d'une protection policière grace à monsieur Bismuth.

Mais non mais non tous cela est de la propagande néo-nazis, les squats sont parfaitement légitimes !



(on notera au passage le bel exercice de délation (+ diffamation) de ces petites ***** ! Mais bon puisqu'ils sont de gauche ça passe (l'ennemi c'est l'extrééééme droiiite n'est ce pas))

"Il faut arrêter de colporter des rumeurs, ça fait le jeu du FN ™"

http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/tribunal-agresse-parce-qu-il-portait-une-sacoche-bibus-12-05-2015-10625502.php

Quatre mois de prison ferme ont sanctionné l'agresseur d'un chauffeur de Bibus. Ce dernier a été frappé sans aucun motif, si ce n'est qu'il portait une sacoche témoignant de son appartenance à la compagnie de transports. Le 13 avril, ce conducteur de Bibus rentrait paisiblement de son travail. Il avait emprunté le tram pour regagner son domicile. Juste avant de descendre à l'arrêt Ménez-Paul, un jeune homme l'a toisé du regard, avant de lui demander s'il travaillait bien à la compagnie de transports, avisant sa sacoche marquée du sigle de sa société. « Il n'a rien dit et est descendu. Mais, alors qu'il s'apprêtait à traverser la chaussée, ce jeune homme s'est porté à sa hauteur et lui a donné un violent coup de poing », détaille Me Cyril Laurent, l'avocat de la victime. Bilan : une blessure occasionnant une journée d'arrêt de travail et une paire de lunettes brisée. « Un geste gratuit, inacceptable, pour la procureure Elsa Servant. Personne ne doit avoir peur, parce qu'elle appartient à telle ou telle entreprise ». « Quelques bières » Dans son box, l'agresseur, plutôt avare de paroles jusque-là, avance timidement des excuses à l'adresse du conducteur. Et justifie son geste par l'ingestion « de quelques bières » et un état d'énervement qu'il ne peut expliquer. « Je ne connaissais pas ce chauffeur », affirme le prévenu. « Il n'a pas de passif avec Bibus, même s'il est régulièrement confronté aux contrôleurs car il voyage sans titre de transport et ne peut pas payer ses amendes, faute de revenus, ajoute son avocat, Me Laraba. Mais, après deux ans d'errance, il fait des efforts », soutient son défenseur, qui réfute toute dangerosité, même si le casier de son client témoigne d'autres violences commises contre un infirmier. « Il a besoin aujourd'hui de réfléchir à ses actes », estime le ministère public. Le tribunal a suivi son conseil de même que ses réquisitions. Le jeune homme a été maintenu en détention. il devra rembourser les lunettes de la victime et lui verser 800 € au titre du préjudice moral. Enfin, Bibus a obtenu l'euro symbolique demandé.

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Brest comme Marseille. La fatalité assurément... Supporters alcooliques et ingrats ?

Brest. Fusillade en plein jour devant un magasin de sport 16 mai 2015 à 20h08/ Patrice Le Berre / Des coups de feu tirés en plein jour, sous le regard de témoins, devant un magasin de sport par les membres d'une bande contre ceux d'une autre : c'est une première à Brest ! Et c'est bien ce qui s'est passé vendredi vers 18h. Il est d’ailleurs miraculeux que personne n’en soit sorti blessé. Ou pire. Les faits se sont déroulés à l'intérieur et sur le parvis de Kermasport, une enseigne d’articles de sports et de loisirs, située près de Conforama, dans la zone commerciale de Kergaradec. Deux trios appartenant à des bandes rivales se croisent dans le magasin et se toisent. Très vite, d'une apostrophe à l'autre, une querelle éclate entre les différents protagonistes. Le premier trio ressort alors du magasin pendant que le second règle ses achats. Une fois dehors, le ton monte encore d'un cran entre les deux bandes. Un vendeur se déplace en leur expliquant qu'il y a du monde dans le magasin, et notamment des enfants. Visages masqués Les deux trios s'en vont poursuivre leur prise de bec un peu plus loin sur le parking, avant de se séparer. C'est alors que surgit une voiture avec à son bord, des amis probables du premier trio, le visage masqué et probablement prévenus par téléphone, qui se mettent à tirer des coups de feu contre le 4X4 de leurs rivaux. A l'arrière de celui-ci s'est déjà installé l'un d'entre eux qui n'a que le temps de se coller contre la banquette pour tenter d'éviter les balles qui fusent autour de lui. Ses deux camarades parviennent in extremis à se réfugier à l'intérieur du magasin, après avoir entendu les premiers tirs. Au total, selon un témoin, au moins une dizaine de balles, de gros calibre, ont été tirées sur le parking de Kermasport, avant que le véhicule des assaillants ne prenne la fuite. A l'intérieur du magasin se trouvaient alors environ 25 personnes, clients, vendeurs et caissières. Personne n'a été blessé. Un impact de balle a été retrouvé hier matin dans un distributeur de boissons. "On est à Brest, ici, pas à Marseille !" Le trio visé est demeuré à bord du magasin afin d'être entendu par la police. Il semble qu'il s'agisse d'un règlement de comptes entre deux bandes des quartiers dits sensibles de Brest, sur fond d'un contentieux. Le magasin a ouvert normalement ses portes ce samedi, bien que le personnel ait été très choqué par ces événements. "Ce sont des images très violentes, auxquelles on n'est pas habitué, nous expliquait un vendeur, témoin de la scène. On est à Brest, ici, pas à Marseille ! On ne nous a proposé aucune assistance psychologique, c'est comme si tout cela n'était pas si grave, après tout... C'est incroyable ! Depuis le début de l'année, la situation s'est largement délitée et nous avons insisté après de la police pour qu'elle effectue régulièrement des rondes le week-end dans le secteur. Vous savez, quand on voit le lundi arriver chez nous des gens pas très âgés avec des liasses de billets à la main, à bord de grosses voitures qu'il y a peu de chances que leurs parents aient eu les moyens d'acheter, on comprend vite de quoi il s'agit..." Le ou les auteurs sont toujours en fuite. L'enquête a été confiée à la police judiciaire, sous l'autorité du parquet de Brest.

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Magnifique...les mêmes, tjrs les mêmes...une victoire de plus pour Taubira.

Non non, cela n'aurait aucun rapport avec l'arrivée massive de noirs, d'arabes et de tchétchènes dans la cité du ponant.
Souvenez vous de la mairie pleurant contre les ouvriers norvégiens et les fayots roastbeefs, bein voyons!

Sh

Cuillandre va nous rabâcher que c'est la fatalité....

La trique ! La fin de l'article est croustillante à souhait Le vivre ensemble, toussa.