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Visionnaire ce Fañch!

http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/alain-masson-oui-le-telepherique-se-fera-28-05-2014-10186697.php

Gadget ou caprice pour les uns. Curiosité ou innovation intéressante pour les autres. La perspective du futur téléphérique ? la campagne des municipales l'a prouvé ? ne laisse pas indifférent. Alain Masson, vice-président de Brest Métropole Océane chargé des grands projets, en est conscient mais, convaincu du bien-fondé du projet, il confirme que celui-ci ira bien jusqu'à son terme.



Le futur téléphérique continue à susciter la controverse. Rappelez-nous quel était votre objectif en lançant ce projet...
Il s'agit de créer une liaison directe entre le centre-ville et le nouveau quartier qui est en train d'être créé sur la rive droite, grâce aux espaces libérés par la Marine, aux Capucins.

Pourquoi avoir fait le choix d'une liaison par les airs ?
L'idée remonte à l'époque du concours d'architecte que nous avions lancé pour aménager les Capucins. Tout le monde avait alors admis qu'une nouvelle liaison serait nécessaire, parallèlement au tram qui allait irriguer Recouvrance, mais qu'il allait falloir compter aussi avec les contraintes causées par la présence de la Marine. Plusieurs solutions avaient été envisagées. Celle qui avait ma préférence était un pont transbordeur, c'est-à-dire une passerelle mobile au ras de l'eau, tenue par des filins. Mais il aurait été difficile d'obtenir l'accord de la Marine et ça aurait coûté au moins 50 millions d'euros. Nous avions aussi pensé à un autre pont, mais nous étions encore sur du 25 à 30 millions d'euros, ou à une simple passerelle qui aurait coûté moins cher mais qui aurait posé des problèmes de sécurité et qu'il aurait peut-être même fallu fermer... L'idée du téléphérique s'est peu à peu imposée. En nous rendant à Rio ou à Barcelone, nous avons constaté que c'était une solution simple, qui ne demandait que l'installation d'un pylône de 60 mètres, pratique et d'un coût raisonnable.

Où en êtes-vous dans l'avancement du projet depuis l'adoption de son principe par le conseil communautaire de BMO à la fin 2011 ?
L'appel d'offres de conception-réalisation est en cours. Il devrait aboutir d'ici quelques semaines, j'espère. Nous avions déposé une demande de subventions de 3,8 M€, dans le cadre de l'appel à projets « transports publics », lancé par l'État. Nous en espérions au moins la moitié. Mais l'abandon de l'écotaxe, qui devait financer ces projets, est venu compliquer les choses...

Apparemment pas au point de remettre le projet en cause...
Non, car il est indispensable pour la commercialisation et la vie du futur quartier. Même si, depuis l'origine, son coût est passé de 15 à 19 M€, une augmentation liée entre autres à la présence de l'ovoïde, le gros tuyau qui charrie les eaux usées sous la ville. Nous réfléchissons aussi à l'emplacement de la station d'accès prévue boulevard Jean-Moulin. Il était prévu de l'enterrer, pour améliorer son insertion dans le secteur, mais peut-être sera-t-elle surélevée ou au niveau de la rue...

Quid du calendrier de réalisation ?
Il est lié à la mise en service des équipements des Capucins. L'ouverture de la médiathèque est prévue au premier semestre 2016, comme le parking, les premiers logements et bureaux... Donc, on table sur cette période. En tout cas, nous ferons tout pour qu'il soit opérationnel au plus tard pour les fêtes maritimes de Brest 2016.

Pourquoi ce projet suscite-t-il toujours autant d'incompréhension, à votre avis ?
C'est vrai que les Brestois ont du mal à en sentir la nécessité. C'est en grande partie parce que les Capucins sont encore un peu une sorte de terrain vague pour eux. Mais il nous faut remplir ces 15 hectares et nous devons montrer des signaux positifs aux investisseurs potentiels en leur proposant une liaison simple qui permettra aux Brestois de s'y rendre et d'en repartir en moins d'une minute de temps. Le téléphérique y répondra parfaitement et sera complémentaire avec le tram. En outre, il y a plus de 600 m entre la station Capucins et les anciens ateliers... 600 m en dénivelé. Ce n'est pas rien.

Pouvez-vous nous assurer aujourd'hui que ce projet ira bien jusqu'au bout ?
Oui ! D'autant qu'il est déjà largement financé grâce aux 12 M€ que nous avons économisés lors de la réalisation du tram, en mutualisant nos commandes avec Dijon. Pour le reste, on espère 2 M€ de l'État. Quant aux cinq derniers, soit les entreprises devront faire un effort, soit nous le financerons par un nouvel emprunt, soit nous ferons un choix dans les investissements... Mais oui, le téléphérique se fera bien !

Je peux comprendre qu'il faille visiter les installations de villes possédant un téléphérique. Je peux comprendre le choix de Barcelone, mais de Rio ??
Pourquoi pas Grenoble ou Coblence ? Certes, ces dernières sont moins "exotiques" que Rio, mais surement moins couteuses. Je suis curieux de connaitre le nombre de personnes représentant la délégation convié à ce voyage d'étude.

Enfin bon...tout ca c'était avant ...

1/2 journée de visite et 1 semaine aux frais de la princesse.
du classique quoi.

Comme la tournée des stades de France et de Navarre il y a quelques années, pour finalement nous pondre des tubulaires.

magnifique preuve de consensus dans le projet dit de "contournement nord de Lambézellec".
avec notamment la traversée complètement conne de la jolie vallée du Restic.
le dossier de l'enquête publique est consultable à ... Quimper.

Encore un "exemple " de la gestion exemplaire de Cuicui et de sa clique : Les Halles St Louis , et leur réhabilitation , serpent de mer brestois depuis 10 ans ... Une honte !



http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/halles-saint-louis-deux-rendez-vous-cruciaux-25-09-2014-10356932.php

La saga tragi-comique des halles Saint-Louis continue. Alors que le « plan B » de la Compagnie de Phalsbourg sera officiellement dévoilé le vendredi 3 octobre, la ville n'écarte pas l'hypothèse de reprendre la main sur ce dossier. On pourrait y voir plus clair, le mardi 21 octobre. Les multiples revirements de ce dossier tentaculaire (lire nos précédentes éditions) ne font plus rire les derniers rescapés du site, pas même le clown Auguste qui va désormais livrer ses dernières facéties tous les vendredis, à 12 h 12, histoire de rappeler que les commerçants ne veulent pas mourir. Mardi matin, une semaine après un rendez-vous manqué, ils ont eu la bonne surprise de voir débarquer parmi les étals, deux représentants de la Compagnie de Phalsbourg, à savoir, Raphaël Martin, le directeur général, et Éric Paillot, en charge du dossier brestois. « Ça ne s'est pas très bien passé », résume Philippe Rozec, l'un des porte-parole des commerçants. « D'abord, ils nous ont annoncé que le plan B, qui comprendrait un ensemble immobilier et une petite surface commerciale, n'était pas encore finalisé. Il sera présenté officiellement aux élus de la ville, le vendredi 3 octobre. Autrement dit, les halles, c'est fini ! Quant aux indemnités, ils ne peuvent les verser aux derniers commerçants, à cause du recours en cours, disent-ils. La tension est alors montée de deux ou trois crans », précise Philippe Rozec, rappelant au passage que les commerçants ont fixé, au vendredi 31 octobre, la date limite pour les versements. La ville ne fera pas d'avances Dans la foulée, Philippe Rozec et quatre de ses collègues, remontés comme des coucous, ont rencontré Jean-Luc Polard, l'élu chargé du commerce, en début après-midi. Un rendez-vous fixé la semaine dernière, lorsqu'une centaine de familiers du secteur avaient manifesté leur solidarité autour des halles. Qualifiée de « courtoise » par Jean-Luc Polard, la discussion a permis « une compréhension réelle » entre les parties, même si les réponses de l'élu n'ont pas forcément plu. « Ils ont demandé à la ville de faire l'avance des indemnités. Mais ce n'est pas légalement possible. Ils sont engagés par une convention avec Phalsbourg qui indique qu'ils ne toucheront leurs indemnités qu'une fois le permis obtenu et les recours purgés, ce qui n'est pas aujourd'hui le cas ». L'élu dit « comprendre totalement les commerçants qui ont atteint les limites de leur patience. Ce dossier a bientôt dix ans. Mais depuis les premières réflexions, la situation économique a changé, les modes de consommation aussi. S'y sont ajoutés les désistements de plusieurs locomotives et plusieurs recours qui se sont, en fait, retournés contre les commerçants eux-mêmes », déplore l'adjoint chargé du commerce. Ambition revue à la baisse L'élu confirme que « le vendredi 3 octobre, Phalsbourg va présenter son nouveau projet à dominante immobilière. Ils auraient l'accord d'une surface alimentaire. Nous allons étudier cette nouvelle proposition, puis nous ferons part de notre décision aux commerçants, le mardi 21 octobre ». Jean-Luc Polard n'entrevoit que deux possibilités. « Soit le projet est de qualité acceptable, soit il ne l'est pas. Dans ce dernier cas, la ville pourrait reprendre le dossier », précise-t-il. Une alternative qui laisse Philippe Rozec, perplexe. « Reprendre les halles. Comment, vu qu'ils n'ont pas l'intention de mettre un sou dedans, comme ils nous l'ont rappelé ? ». « En cas de reprise, ce sera un dossier d'ambition plus mesurée », réplique Jean-Luc Polard, qui reste convaincu que « trouver une autre solution doit être possible ».

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Brest officiellement Métropole

Qu'est-ce que cela va changer pour Brest ?

Plus de subventions me semble t il. Les mauvaises langues diraient aussi un meilleur salaire pour Fanch.

Encore plus de fonctionnaires et encore plus d'impôts.

Une ville encore plus déconnectée de son "arrière pays" et ayant le melon

Plus de mixité sociale en ville et plus de pure souche à devoir s’exiler dans la 2éme couronne !

Avec des arrivages massifs de non-européens?

Quelle idée de génie ce téléphérique ! ...


La ville est sacrément incompétente mon dieu...

Elle ferait mieux de s'occuper des complexes sportifs, piteux, qui accueillent chaque week-end des centaines et des centaines de gamins.


Y'a pas que la voile dans la vie, y'a le sport aussi.