L'arbitrage francais fait preuve dune incroyable incompétence en ce moment. Pour preuve l'arbitrage de Toulouse Monaco où un pénalty a été oublié et des décisions litigieuses ont été prises. Je signale quand même que lors de ce match c'était un arbitre de national qui a officié suite à la blessure de m. Garibian Une excuse alors que M.Malinge n'en possède pas

A noter la réaction de Furlan sur France 3 Champagne ardennes qui admet que Brest était supérieur
voir 19-20 champagne ardennes
http://www.lca.france3.fr/videojt/

L'article du ouest-france du jour intitulé,- à 10 Brest méritait encore de gagner - résumé parfaitement le match de vendredi soir. C'est rare les matchs où tous les avis convergent ainsi !

dimanche 28 novembre 2004
Football : Réduit à dix, Brest méritait encore de l'emporter



LIGUE 2.

Victimes de plusieurs décisions arbitrales sévères et le plus souvent incompréhensibles, les Brestois ont quitté l'Aube avec un sentiment d'injustice. Sans elles, la victoire ne leur aurait sans doute pas échappé. C'est du moins leur point de vue.
« On ne peut qu'être révolté en sortant d'un tel match ». Pour Albert Rust et ses joueurs, il ne fait aucun pli : M. Malige a lourdement pesé sur l'issue de la rencontre. Ils en sont amenés à se demander s'il n'y avait pas une volonté délibérée de les pénaliser à ce point. « Ce n'est malheureusement pas la première fois que l'on souffre d'un mauvais arbitrage. À croire que l'on dérange », dira Philippe Goursat en quittant le stade de l'Aube. Toujours est-il qu'avec Massot en moins et plusieurs autres joueurs sous le coup d'un avertissement, la lutte paraissait inégale face à des Troyens, sur une bonne dynamique actuellement. Et pourtant là encore, les Brestois ont de bonnes raisons d'être déçus. « Même à dix sur le plan physique on a vraiment souffert. On a même explosé, il faut être honnête. Sur le plan de la domination, au niveau du jeu, de l'engagement, Brest nous a été supérieur » reconnaîtra Jean-Marc Furlan, le coach aubois tout heureux de boucler une semaine marathon avec un troisième succès.

Mais voilà tout cela n'a pas suffi. La réussite continue de fuir les Brestois. « On a fait trente premières minutes de haute volée, on s'est ainsi créé trois occasions dangereuses, trois face à face avec le gardien, et malheureusement on ne parvient pas les concrétiser. » Il y a évidemment eu d'autres possibilités durant la rencontre dont une faute sur Maspimby dans la surface que l'arbitre a curieusement sifflé contre lui. « L'équipe connaît suffisamment de problèmes d'efficacité actuellement pour que l'arbitre n'en rajoute. Enfin, je préfère retenir l'attitude des joueurs qui malgré ces éléments extérieurs défavorables se sont bien battus. Ce sont de vrais compétiteurs. » Si le contenu de la partie est effectivement porteur d'espoir, « il n'est pas donné à tout le monde de dominé ainsi le deuxième du classement », il reste que les Brestois n'ont toujours pas résolu leur gros problème d'efficacité. Cela dit, selon Marc-Antoine Fortuné, il n'y a pas de quoi s'affoler, « J'ai déjà connu ce genre de période sans réussite. Je sais très bien comment gérer cette passe. D'autant que ça finira pas revenir. » Son compère d'attaque, Mahamadou Dissa, partage le même optimisme : « Il ne faut surtout pas s'affoler et perdre confiance. On ne pouvait tout de même pas connaître la même réussite qu'en début de saison. On doit continuer à travailler dur. »

Si malgré cette soirée difficile, les Brestois conservent leur cinquième place au classement, il leur faut absolument enrayer, vendredi contre Angers, une période d'infortune qui dure depuis plus d'un mois.


de François LE DIFFON.


Reprise lundi. De retour tôt, samedi matin, les Brestois se sont immédiatement rendus au stade de Pen-Helen pour le décrassage. Ils bénéficient aujourd'hui d'une journée de repos. Par contre, reprise de l'entraînement lundi avec deux séances programmées

les mauvais arbitres ca existera toujours
il faut faire avec

quant Marc-Antoine Fortune a ete au contact des gardiens de Creteil et de Laval il aurait pu etre sanctionne. et la main de J-C Maspimby contre Dijon..........

ces trois faits ont valu 5 points supplementaires au stade .

c'est en fin de saison qu'il faudra faire les comptes (il parait que tout cele s'equiibre)

maintenant nous parlerons plus souvent du maintien plutot que d'une place sur le podium

sauver sa place d'abord et plus si affinites

Il ne fallait pas s'enflammer et parler trop rapidement de la montée. Il n'y a aucune raison de ne parler que du maintien suite au match face à Troyes. Il faut savoir garder un peu de mesure dans les deux sens !

surtout quand on voit le niveau de l'équipe.
"Elle a tout d'une grande"

Je reste convaincu que le stade a un beau coup à jouer cette année. Continuons à regarder vers le haut du classement plutôt que vers le bas. Que le stade se donne les moyens de ses ambitions en réajustant certains postes (gardien, attaquant, milieu) et alors si on continue à jouer comme on le fait, ce sera payant. Et peut-être une montée au bout de la saison

ça ne veut rien dire , il n y a pas si longtemps c était nous le 2ème du classement.
Dominer n est pas gagner (phrase bateau mais véridique) , faudrait faire attention à ne pas devenir les bleus de 1982.
Bien jouer c est bien , tuer le match c est encore mieux.

Il n'en est rien de plus vrai. Il faut savoir relativiser dans les deux sens.

Et pour Le Télégramme, voici l'article d'Yvon JONCOUR que je rejoins. Normal, on a vu le même match. Je tiens à préciser que nous étions en Tribune Est cad en plein centre en face de la tribune de presse, et donc avec une meilleure vision que Rieder & Co.

« Une sale soirée »

La cible de la plupart des critiques et des ressentiments brestois fut M. Malige, qui a accumulé les mauvaises décisions et qui a failli faire dégénérer complètement la rencontre. Avouons le franchement, on n'a pas du tout reconnu dans l'arbitre incohérent de samedi le directeur de jeu autoritaire, courageux, qui avait officié, dans un contexte rendu venimeux par la fameuse affaire Sissoko, lors du match Cannes - Stade Brestois (0-0) en janvier dernier à la Bocca.

Les erreurs de jugement de M. Malige

Les images majeures du match qu'on a pu revoir hier corroborent en effet l'impression de gâchis et d'injustice ressentie en direct.
- Le penalty oublié de la 17 e minute : Perquis n'a pas le bras collé au corps, mais il le tend pour stopper la frappe de Dissa.
- L'expulsion de Massot : elle est très sévère, le stoppeur brestois ne commettant pas de faute lors de la récolte de son premier carton jaune.
- Le penalty oublié de la 85 e minute : M. Malige sanctionne une charge (régulière ou irrégulière ? il est difficile de se faire une opinion) de Maspimby sur un défenseur troyen devant la surface, mais ferme les yeux sur le fauchage dans la foulée de l'attaquant brestois par le gardien Peiser. Si tant est qu'il y a eu deux fautes, c'est la plus grave qu'aurait dû siffler l'arbitre, après avoir laissé l'action se dérouler jusqu'au bout.
Le premier fait provoquera l'expulsion d'Albert Rust, que celui-ci avait en travers de la gorge : « J'ai protesté pour un pied trop haut sur Bourgis. Cela n'a pas plu à l'arbitre. Je lui alors fait remarquer qu'il y avait penalty. Et là il m'a sorti ».
L'expulsion de Massot suscitera les tacles appuyés de Bourgis, Oliveira et Elzéard, dont les cartons sont aussi mérités que celui infligé à Auriac.
Quant à la rancœur laissée par le second penalty passé sous silence, elle fut activée par le tir de Fortuné dévié par Perquis sur la transversale, quatre minutes plus tard...

La détermination mais pas l'efficacité

Certes, il faut porter au débit de Brest : la grossière erreur commise par Chauray sur le premier but troyen et les occasions de buts gâchées en première période par Dissa et Fortuné victimes aussi des excellents réflexes de Peiser.
Mais, au bout du compte, ne pouvait que dominer une grosse frustration dans le camp finistérien. « C'est vraiment une sale soirée que nous avions pourtant entamée de la meilleure des façons », fait remarquer Albert Rust.
« L'équipe a fourni une première demi-heure de haute volée, sans avoir malheureusement la petite touche d'efficacité à la finition de quelques actions. Et, même réduits à dix, nous avons fourni une bonne seconde période. Je ne suis pas déçu des joueurs, qui ont su se révolter contre un sort contraire, mais du résultat. Car cette défaite est vraiment imméritée ».
Jean-Marc Furlan reconnaîtra d'ailleurs après coup : « On a eu beaucoup de mal à sortir de ce guêpier. Les Brestois nous ont été supérieurs. Même à dix ils nous ont beaucoup fait souffrir sur le plan physique ».
Le compliment reste platonique pour les Stadistes, qui, pour tenir à distance la meute de plus en plus compacte de leurs poursuivants, n'auront guère le choix face à Angers vendredi : le succès sera impératif !


Yvon Joncour

Enfin quand nous nous sommes croisés aprés le match, nos premiers mots ont été pour l'abitrage "maison" qui a déterminé l'issue de la rencontre et causé un vif désarroi chez les supporters présents!
Je respecte les arbitres et je reconnais que l'on peut faire des erreurs mais là c'est une constellations de décisions "bizarres" qui a illuminé notre soirée!
Je déteste les excuses du style "l'arbitre a ...l'arbitre aurait dû..." Comme tu le reconnaissais devant le glacis du stade "j'ai jamais vu ça en vingt ans..." J'ai eu l'impression que les dés étaient pipés...Goursat aussi d'ailleurs!

Si je veut que Tony revienne c'est pour vous car Chauray a fait une connerie sur le 1er but J'admet que l arbitrage a plutot été en notre faveur pouce match mais c'est la 1ere fois de la saison, d'habitude c'est l'inverse. Et ne nie pas que les joueurs brestois ont donné des coups, ils ont fait que ça du match surtout Elzeard qui fait vraiment tache dans votre équipe et qui est connu en L1 et L2 pour etre un boucher

1erbut

2èmebut

Jouons la coupe à fond cette saison.

On montera en D1 plus tard. De toute façon, ce serait facteur de problèmes si on montait trop vite. Et ça amènerait encore plus de touristes à graviter autour du club.

Il faut savoir patienter.