gg, à toi!

1ère partie bonne... Oups! Encore un effort! Son surnom!

...Homme d'engagement, passant votre vie en première ligne, vous vous êtes battu en des temps difficiles sur plusieurs continents pour défendre la liberté et une certaine idée de la France. Vous avez affronté le nazisme, le communisme, l'islam, mais aussi côtoyé l'abandon et le doute.

Confronté à la faiblesse, au reniement et souvent à la lâcheté, vous avez cependant toujours refusé la compromission. Votre royaume intérieur était celui de la conscience qui vous a dicté des choix parfois difficiles. Vous les avez assumés et revendiqués. Votre vie s'en est trouvée bouleversée ; une vie troublée, complexe et mouvementée, mais avant tout une vie vouée au service de la Patrie...

« Ce qui m’a frappé le plus au monde, s’étonnait Valéry, c’est que personne n’allait jamais jusqu’au bout. » Conan y est allé. Homme à se donner ou se refuser, il ne s’est ni vendu ni prêté. Doté de ce qui est devenu une denrée des plus rares : une conscience, il a souvent dit « non ». Passant sa vie en première ligne, il affronte le nazisme, le socialisme, l’islam, la forfaiture. Supérieur aux circonstances, il les transcende. L’Histoire jaillit sur ses pas avec une force terrible.

Honneur. Fidélité. Commandant du 1er REP, Hélie Denoix de Saint-Marc préfère, le jour venu, entrer en dissidence. « Tout citoyen est obligé de mourir pour sa patrie. Personne n’est obligé de mentir pour elle », pense-t-il avec Montesquieu. Et c’est sa vie qu’il risque, rebelle. Dépassé par des idées dépassées ? « Mais si on doit ne plus comprendre comment un homme a pu donner sa vie pour quelque chose qui le dépasse, écrit-il, c’en est fini de tout un monde, peut-être de toute une civilisation. »