J'aime bien voir cela, on ressortira les gros dossiers dans quelques années, et on verra qui aura raison...

tu consommes quoi?

Pont de Recou' en panne et bien sûr, à son zénith

Vla le merdier...

Il n'y avait pas deux mouvements today?? La totale

Heureusement que la marine a dégagé il vieillit mal le bougre...

et depuis ce midi !
et bien sûr zéro info.

File leur ton num' peut être que le mec qui répare t'enverra un sms quand il aura fini son taff

triple zérôôô

cela dit je suis fair-plya, ça n'a rien à voir avec le tram

Les trams en travaux c'est horrible, mais bon après ca devient vite rentable, on va retrouver l'ancienne vue de Brest quoi.

Mais n'empèche "arg" pour Jean Jaures on dirait L'apocalypse, il n'ya plus personne, un centre commercial vide comme tout ses voisins.
Siam c'est déjà mieux.

Encore une preuve de l'incurie des politiques brestois, qui ont basé leur Tramway sur, entre autres, une hausse attendue de la population de BMO :


BMO perd des habitants, la côte en gagne

La communauté urbaine manque de terrains. 5 000 personnes, surtout les jeunes, sont parties entre 1999 et 2007.
« Un habitant de Plouarzel sur dix interrogés en 2007 habitait BMO auparavant », annonce Frédérique Deschamps-Collet, coordinatrice du projet de l'Insee « Brest métropole océane, un nouveau regard sur la ville. » Une situation qui est loin d'être exceptionnelle dans le pays de Brest.

BMO a perdu près de 5 000 habitants entre 1999 et 2007 au profit de ses voisins. C'est le constat qu'a effectué Jean-François Portier, qui a travaillé pendant six mois à l'élaboration de ce dossier. « Ce sont les communes limitrophes et du littoral qui profitent de ces déplacements de population », explique-t-il. Ainsi, Plabennec a gagné 700 habitants depuis 1999, et les communes de la côte nord-ouest près de 1 000 habitants en cinq ans.

Les caractéristiques des personnes qui migrent le plus ? « Les jeunes actifs en ménage qui souhaitent posséder leur propre habitation », explique Frédérique Deschamps-Collet. L'agrandissement de la famille amène souvent le couple à chercher un logement plus grand, voire une maison individuelle. « Ce que BMO peut rarement leur offrir, le foncier à bâtir se faisant rare », ajoute Frédérique Deschamps-Collet. Le manque de place et les taux bancaires extrêmement faible, incitent les jeunes actifs à construire en dehors de BMO.

Près de 60 % des actifs partis habiter en dehors de BMO continuent de travailler à Brest. Contrairement aux idées reçues, la longueur des trajets domicile-travail n'est donc pas un frein à l'éloignement.

http://www.brest.maville.com/actu/actud ... 9_actu.Htm

J'en connais beaucoup qui ont fait ça : après deux ans, ils regrettent d'avoir quitté Brest...se lever plus tôt, faire des bornes pour n'importe quelle activité sans compter le problème du lycée pour les enfants...

Avoir une barraque, un jardin, ne pas etre obligé d'avoir sa lame sur soit pour mettre un pied dehors, faire des barbec' l'été, pouvoir pioncer le jeudi soir, se ballader avec ses gamins sans etre obligé de prendre la bagnole, faire construire une piscine, y'en a plein des avantages aussi, puis bon, 1/2 heure de route, c'est a peut près le temps max jusqu'aux cotes nord-ouest, c'est pas plus long que de faire saint-pierre - saint marc.
Surtout que, chose étonnante, elles ne sont pas squattées par les engliches ou les fortunés comme dans le haut-Léon.

Autant Guilers, Bohars, St-Renan, Le Relecq je peux comprendre mais aller s'enterrer plus loin (Plouarzel, Breles, etc...) : j'avoue que je ne vois pas trop les avantages par rapport aux contraintes...

Kensington, je ne vois pas le rapport entre la baisse du nombre d'habitants de BMO et les travaux du tram'. On parle d'une durée de 1999 à 2007, soit 2 ans avant le début des travaux.

Bref, comme d'habitude, tu brasses beaucoup de vent

Je pense l'inverse justement, quitter Brest-même pour s'aerer et terminer coincé dans un lotissement avec son jardin de 30m² au milieu des champs, autant faire 1/4 d'heure de plus et s'acheter une villa+piscine au bord de la cote.