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MessagePosté: Dim 21 Mai, 2006 14:52 
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Drago Vabec
Drago Vabec
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Voici un article interessant sur le salaires des joueurs (brestois et autres) aujourd'hui dans le télégramme.
lien: télégramme

Lorient, Guingamp, Brest. Des salaires très confortables
FC LORIENT. DE 3.000 À 12.000 €.
Au FC Lorient, une chose est certaine : avec la montée du club en Ligue 1, les salaires vont forcément faire un bon en avant la saison prochaine. En attendant, les joueurs qui ont participé à cette accession se sont partagé l'enveloppe globale qui avait été déterminée à l'entame du championnat en cas de podium. Toujours concernant les primes, une victoire rapportait cette saison 675 € (le nul 225 €) à chacun des 16 joueurs inscrits sur la feuille de match, qu'il entre en jeu ou pas. Si un 17 e joueur était écarté au dernier moment, il touchait une demi-prime. Un système de prime spéciale avait également été mis en place lorsque les joueurs réalisaient une série de quatre matchs avec trois succès et un nul à l'extérieur. Dans ce cas, la victoire valait 900 €, le nul 300 € (les Lorientais ont réalisé cette série à deux reprises). Mais c'est bien sûr le salaire qui était le principal revenu des joueurs : il s'est étalé de 3.000 € à peine pour un jeune pro comme Morel à 12.000 € net environ pour les mieux payés.

GUINGAMP. EN HAUT DE L'ÉCHELLE.
Avec son budget de 15 millions d'euros, Guingamp faisait figure de mastodonte cette saison en Ligue 2. Un budget qui, automatiquement, a eu des répercussions sur les revenus. Sans compter les plus jeunes ni les contrats privés avec Adidas dont disposent une quinzaine de joueurs, un Guingampais gagne aujourd'hui 5.500 € net par mois minimum. Soit à peine plus que ce que touchait un certain Didier Drogba à son arrivée à Guingamp.



« Il était à environ 5.000 € par mois », se souvient Noël Le Graët, avant de revenir sur cette saison 2005-2006 : « Le salaire le plus haut ? 21.000 € brut (17.000 € net environ) », répond le président guingampais, en ajoutant : « Il n'y a jamais eu chez nous un salaire à plus de 30.000 € ». Si les émoluments étaient en haut de l'échelle, les primes de match étaient quant à elles au ras des pâquerettes. « Au minimum syndical. Par contre, si on était monté, chaque joueur aurait reçu une prime substantielle », indique Noël Le Graët, sans révéler son montant. Enfin, aucune prime à la signature, qui équivaut selon Le Graët à 2-3 mois de salaire, n'a été accordée l'an passé. Pas plus que des avantages en nature.
BREST. RIBÉRY AVAIT 2.350 € !
Si on excepte Matthieu Dinet, payé à la charte car c'était son premier contrat pro, les salaires net mensuels se sont étalés de 3.000 à 12.000 € environ au Stade Brestois lors de la saison qui vient de s'achever (salaire moyen : 7.000 € net; 6.000 € en 2004-2005). A titre de comparaison, lors de son passage à Brest en 2003-2004, Franck Ribéry, devenu depuis superstar à Marseille, ne touchait « que » 2.350 € net par mois. Il est vrai que l'équipe stadiste évoluait alors en National, la troisième division française. « Cette année, la plupart gagnaient entre 8 et 10.000 € brut », confie Michel Jestin, le président du club finistérien, soucieux de ne pas avoir trop d'écarts de revenus entre ses joueurs. Comme partout, les primes de match sont monnaie courante. A Brest, elles étaient distribuées en fonction du classement de l'équipe. Prévues pour aller du simple au double, elles n'ont dépassé les 550 € par victoire du fait de la saison médiocre, alors que les joueurs se sont partagé 50 % des recettes de chaque tour franchi en coupe.

les salaires en bretagne

Sport. Les salaires en Bretagne

Combien gagnent les sportifs bretons ? Tel est le thème de l'enquête que nous avons menée auprès des clubs et des meilleurs joueurs et athlètes dans leurs disciplines respectives. Avec pour objectif d'essayer d'informer au plus juste et d'établir (de rétablir ?) certaines vérités. Quelques cas isolés mis à part, la plupart des dirigeants et sportifs interrogés ont répondu sur la défensive à nos questions. Quand ils acceptaient de le faire... L'argent reste un sujet tabou. Surtout lorsque son bulletin de paie affiche plusieurs milliers d'euros. Après un long travail de recherche et d'entretiens, nous vous proposons les conclusions de notre enquête. En commençant aujourd'hui par un coup de projecteur sur les salaires versés dans les clubs de football, de basket ou de volley bretons. Avant de nous intéresser demain à plusieurs sportifs individuels. Et le constat ne surprendra personne : mieux vaut être « modeste » footballeur de Ligue 2 que champion du monde de canoë-kayak. Financièrement parlant, s'entend...




Basket. L'Etendard et l'UJAP dans le même panier!
Avec l'Etendard de Brest en Pro A et l'Ujap Quimper en Pro B, le basket de haut niveau est plutôt bien représenté en Bretagne, et notamment dans le Finistère. Les deux clubs ont un point commun : celui d'avoir l'un des plus petits budgets de leurs divisions respectives.
Un petit tour et puis s'en va... Promu en Pro A la saison passée, l'Etendard n'aura fait qu'un passage éclair dans l'élite du basket français où la hiérarchie des budgets s'est retrouvée au classement. Avec 1,8 millions d'euros pour la saison 2005-2006, soit l'avant-dernier budget de la division, Brest n'a pas pu faire de miracles. Ni sur le terrain, ni au niveau des revenus des joueurs.
Etendard : « Une moyenne de 3.500 € net »
« Le salaire moyen mensuel est de 3.500 € net sur une base de douze mois », déclare Christian Lemasson, le président de l'Etendard, qui n'en dira pas plus question chiffres. Si ce n'est que la nouvelle convention collective signée en août dernier entre les clubs et le syndicat des joueurs stipule qu'un joueur de Pro A (hors espoirs et aspirants) ne peut toucher moins de 2.500 € brut par mois sur 12 mois (2.000 € net). Pour ce qui est du plus haut salaire, on peut estimer qu'il a approché les 8.000 € net cette saison. Sans compter les primes de matchs instituées en début de championnat.
Quimper : « Entre 2.300 et 4.800 € brut »
Du côté de l'Ujap, pointé en 16 e position (sur 18 ) au classement des budgets de Pro B (950.000 €), le salaire moyen avoisine les 3.200 € brut (2.600 € net), d'après Michel Quémard, pour qui la masse salariale brute de Quimper se situe malgré tout dans la moyenne des clubs de la deuxième division française. « Nos deux Américains sont à 4.800 € brut sur environ dix mois (4.000 € net). Les autres touchent entre 2.300 et 3.200 brut (1.800 à 2.600 € net) », poursuit le président quimpérois, selon qui les meilleurs salaires de Pro B seraient de l'ordre de 7.000 €. A noter que la convention collective impose un revenu minimum de 2.000 € brut par mois aux joueurs de Pro B.

Rugby. RC Vannes : " A des années-lumière d'autres sports"
Entre 80 et 900 € net par mois et aucune prime de match : voilà la situation des rugbymen du RC Vannes, où aucun joueur n'a le statut professionnel. Des émoluments qui vont forcément avoir tendance à augmenter la saison prochaine du fait de l'accession du club morbihannais en Fédérale 1 (troisième division). « Nous sommes à des années-lumière de l'argent de certains autres sports. Malgré l'évolution de notre discipline, nous garderons toujours l'état d'esprit propre au rugby », assure Philippe Garnier, le président vannetais, qui a travaillé avec un budget de 770.000 € en 2005-2006.
Handball. Arvor 29 et Cesson : jusqu'à 1.500€ par mois
Alors que Cesson
est à la lutte pour l'accession en D1, le club de la banlieue rennaise ne compte qu'un seul pro (Adriano Marlin) dans son effectif. « Il touche 1.400 € net par mois et son appartement est payé », assure Stéphane Clémenceau, le vice-président du club. « Hormis les deux plus jeunes qui sont nourris, logés et remboursés de leurs déplacements, les autres joueurs (certains travaillent, la plupart sont étudiants) touchent une indemnité (entre 450 et 900 € par mois) ». Par ailleurs, il n'y a ni primes de match ni avantages en nature.
A l'Arvor 29,
16 joueuses étaient indemnisées cette saison en D2. « Les quatre professionnelles (Pavel, Gras, Mbah et Diomandé) et la joueuse promo (Essomba) gagnent entre 800 € et 1.500 € net par mois. Leur loyer est également pris en charge et elles bénéficient de quelques avantages en nature (cartes de bus, de fitness...) », indique Georges Martin, le président du club. « Pour les autres, les indemnités vont de 140 à 280 € mensuels ».
lien le, télégramme

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"Je prends l'engagement, maintenant, que le futur stade ne sera pas construit avant 2018"
Henri Pallier, ex-maire de Guipavas le 04/10/2007


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