+ 1 !
Perso, sur ce que j'ai vu du match, je trouve que Bigné a mérité sa note, quelques bon décalage, bonne récupération, ect ...
De Carvalho n'est pas un buteur ! Hier on a vu qu'il peut apporter de bonnes choses sur son côté droit, avec plusieurs bons centres, bonne entente avec Josse.

Ben un poil comme plus personne ne te lit Ô grand toi, Ô grande éolienne, Ô grand moulin à vent, Ô grande girouette.

Merde alors, c'est pas justement ce que vous vouliez???????.????????

un lien svp vers l'article svp

tu sais lire toi ?

Je suis assez d'accord, de Carvalho a été plutôt bon dans son rôle d'ailier. Le problème que je vois étant donné la tactique mise ne place par goudet hier, avec pour une fois un nombre correct d'attaquants, c'est que lorsque l'on décide de passer par les ailes et de centrer, mieux vaut avoir au centre un attaquant capable de marquer des buts de la tête. et dans ce registre là j'aurai plutôt vu N'Jock. Je pense que cela aurait été un poil plus cohérent, mais bon...Alors que ce même joueur rentre lorsque l'équipe décide de mettre des sachets dans l'axe pour la tête de..N'jock qui est dos au but! J'ai du mal a cerner la cohérence de ces changements. mais je dois sûrement être un footballeur has been tactiquement .
Puis j'ai trouvé Sarr pas mal non plus, pas beaucoup de pertes de balles et de bonnes récupérations cependant son manque de punch fait défaut. auriac devrait peut être avoir sa chance.

Putain mais tu faisais quoi au match hier soir à part compter les goélands dans le ciel ???
Va demander à Radriana ce qu'il pense de la relance de Pop Star à la 86ème quand il a dû sècher l'attaquant montpellierain qui allait seul au but et ce après une passe lumineuse de cette quiche de Sarr ???

c'est vrai qu'en lisant le Télégramme ce matin , j'ai trouvé l'article de steven tellement pertinent et réaliste .
le public en devient dégouté et blasé.
il y a 2 choses qui m'ont fait dire à l'entrée des joueurs que le public commencait à en avoir ras le bol , c'est le flop complet des tifos en Foucauld et le peu de spectateur qui se sont levés pour applaudir les joueurs à l'entrée sur le terrain !
là je me suis dit : "ça y est le ressort est cassé !"
et le Jacky qui comprend vraiment rien à rien : alors que le public était en train d'applaudir l'entrée de Malm sur le terrain , notre Jacky qui n'a rien suivi , en entendant le clameur s'écria : "oui Foucauld , tous ensemble !"
putain il en devient pitoyable à l'image du spectacle proposé en 2ème mi-temps .
30 € (avec mon fils) pour voir des matchs de merde avec des pseudos joueurs qui se contentent de leur paye à la fin du mois , mais putain l'âme su stade brestois ou s'est-elle barrée ?

Et franchement vu le match de hier soir alors que Montpellier avait 5 titulaires en moins , je ne vois pas comment on pourra s'en sortir !
Si par malheur , on perd à Guingamp , l'hiver risque d'être trés rude !

Ce n'est pas sarr mais .......................Charpenet qui a fait cette passe de merde

T'es sûr de toi ?

Comme tout le monde, j'ai eu les potes et la famille sur Brest qui sont dépités (et pourtant le feu de la passion brûle sérieusement chez eux), tous m'ont dit : "on ne remet plus les pieds à FLB hier c'était la goutte d'eau".

Et quand la passion, l'excitation, l'ivresse s'en vont... c'est comme l'amour finalement... et ici le souci vient du point G.

Le problème avec le point G est double :

- Gourset : recrutement catastrophique depuis trops longtemps. Un poil d'improvisation, un zeste de pari, un bonne dose de magouille... car il faudra bien en parler un jour de son frère, de ses mouvements de joueurs tous les ans,... et puis n'y a t-il pas une énorme incompétence ? Brest est le seul club à mettre à l'essai des joueurs 1 semaine avant de les engager le couteau sous la gorge... il y a t-il une cellule de recrutement ?

- Gouda : on va pas en faire un fromage, mais quelle misère son bilan. Combien de victoires depuis son arrivée ?
Combien de justifications trouvées au micro les soirs de défaites ?

Le point G pourrait être triple si la fonctionnaire de l'état civil ne s'était trompé en mettant chez un ancêtre un "J" en lieu et place d'un "G" au nom de Gestin... l'homme s'accroche à son poste, sa fidélité est notable, ses réussites fantomatiques... ne serait-il pas temps de passer la main ?

Moralité, comme beaucoup d'allumés du Stade, je ne reconnais plus mon club.

Des décisions s'imposent, mais qui y croit vraiment :

> Gestin est visé à son siège, trop prisonnier de son envie de connaître l'ivresse des sommets pour avoir l'humilité de donner la main.
> Gourset est visé à son siège, trop manipulateur pour que son Président tranche dans le vif.
> Gouda est visé à son siège, trop lié par contrat au Stade pour que les 2 guses d'avant s'en sépare aussi vite et se décridibilisent encore plus.

Le SB 29 est en prison et ses fidèles supporters son tristes... et bientôt résignés.

Et quand vient l'heure de la résignation... on connait la suite.

J'ai vraiment envie de crier du fond de mon bureau sombre cette inutile complainte :
"Le destin du Stade Brestois est National ! pas en National".

Voici le fameux article :

Le Télégramme
Samedi 9 septembre 2006
Steven Le Roy

Qui n'a jamais connu le pincement au coeur en attendant fébrilement le moment où la route du stade s'ouvre; qui n'a jamais eu le ventre en vrac en se triturant les joues quand l'équipe d'en face pousse pour égaliser; qui n'a jamais eu les larmes aux yeux un soir de liesse; qui n'a jamais imaginé son joueur préféré réaliser le geste parfait à la 91 e minute de jeu, ne peut pas comprendre. Le football est un sport discriminatoire.
Heureux ceux qui voient leurs poils se dresser au garde-à-vous à l'entrée des joueurs sur le terrain, dans un boucan infernal et dans les couleurs des étendards. Le football est un sport populaire, sans artifices, un rien bourru, un rien chauvin qui impose la préséance de respecter l'adversaire mais d'espérer à chaque fois qu'il sera défait dans les grandes largesses. Avec quelques tacles limites, trois ou quatre erreurs d'arbitrage et une ambiance hurlante dégoulinant des gradins pleins comme un oeuf.
Des cris au fond de la gorge
Ainsi allait le football. Hier à Brest, cet étrange sentiment mêlant nervosité, hâte, bonheur et coup de stress n'a même pas eu le temps de naître.
Que se passe-t-il ? Rien ou pas grand-chose. Comme une sorte de résignation impuissante. Il n'y a plus de bruit dans le vieux stade Francis-Le-Blé à l'exception d'une copieuse bordée de sifflets, derniers exutoires à une frustration qui ne cesse de grandir. Le public vient de moins en moins nombreux, et seuls les Ultras massés derrière les buts donnent encore un peu de voix, parfois pour expulser certains coups de gueule restés coincés dans la gorge, juste avant étouffement. Mais où donc est passée l'âme des soirs glorieux ou difficiles ? Où sont enterrés les frissons ? Où ont disparu les émotions ? Comme la température ambiante, on entre et sort de ce stade tiède. Il n'y a pas pire pour l'amateur de chair de poule.
Les vestiges de l'âme zef
Pourtant, nul ne pourra dire que ce Stade brestois là est moins bon que certains de ces prédécesseurs. Quelques sentiments disparus viennent bien chatouiller le cortex lors d'une tête trop enlevée ou un tir violent du nouveau, Socrier. Pour être juste, ce stade-là est sans doute meilleur que celui de l'an passé, en dépit de la lanterne rouge qu'il traîne en bandoulière, et de l'équipe de Montpellier qui n'était certainement pas venue pour faire un numéro de cabaret. Mais les connexions synapses-estomac ne répondent plus et l'on se surprend à râler pour une touche discutée, à se demander comment la sortie de Malm va être accueillie par le public, à se rassurer en humant le fumet des saucisses grillées. Et l'on se dit qu'il est bien désolant de se raccrocher aux vestiges accessoires d'un plaisir disparu.
Au fond de l'encéphalogramme presque plat reste toutefois un petit pic. Comme dans la boîte de Pandore, il s'appelle espoir. Les urgentistes du club ont cependant intérêt à faire vite, car bientôt, si l'on ne se hâte, l'âme zef, rouge et blanche, popu comme cette satanée ville, sera morte. Clairement, ce serait un drame.

Pas mal ça.

steven le roy est toujours là et ses articles sont toujours aussi bons.

Et bien merci, bert !