1) L’affaire Milosevic :
Le président yougoslave, 64 ans, est mort, le 11 mars 2006 dans les geôles de La Haye du pseudo « Tribunal Pénal International pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) », machine de guerre anti-serbe et anti-yougoslave, créée, financée et contrôlée par Washington et ses valets de l’OTAN, où il était détenu depuis plus de quatre ans pour de soi-disant « crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide », après avoir été kidnappé à Belgrade, au mépris des lois yougoslaves et internationales.
La Radio-télévision de Serbie a indiqué que Milosevic était décédé après que son état de santé « se fut soudainement détérioré ». Une situation prévisible. Un décès qui s’apparente à un crime. Et une mort qui tombe à pic pour le pseudo TPI et ses maîtres, alors que le Président Milosevic, de l’avis général des observateurs indépendants, mettait à mal l’accusation et était de facto le vainqueur moral du combat inégal et difficile qu’il menait face à ses geôliers.
Nous partageons en effet les accusations de notre camarade russe Babourine, qui qualifie de « crime » le refus du Tribunal de La Haye d’autoriser Milosevic à suivre un traitement en Russie : « C’est commettre un crime que de refuser une assistance médicale à un malade. Il s’agit là d’une grossière violation des droits de l’homme ».
Le pseudo « Tribunal » de La Haye n’avaient aucun intérêt à mener jusqu’au bout l’enquête judiciaire concernant Slobodan Milosevic. C’est la raison véritable pour laquelle le pseudo TPI avait refusé d’autoriser Milosevic à se rendre à Moscou pour y suivre un traitement.
Il faut rappeler que Slobodan Milosevic est le troisième inculpé serbe à décéder par manque de soins appropriés dans les cellules de la prison de La Haye.
Le décès du président yougoslave fut en effet fort trouble. A Belgrade même, dans les milieux de l’information professionnelle, on évoque même un assassinat polotique du Président Milosevic, camouflé en arrêt cardiaque.
« Je regarde ce décès comme un contrat d’exécution politique parce que le tribunal est incapable de prouver sa culpabilité et qu’acquitter Milosevic reviendrait à dénoncer l’OTAN pour son agression contre la Yougoslavie. C’est un meurtre ». (Général Leonid Ivashov)
Le Président Milosevic n’avait jamais abdiqué, jamais renoncé. Seul face à ses geôliers, il menait un combat efficace et pugnace, en défense de sa Yougoslavie et de l’honneur du peuple serbe, auxquels il avait sacrifié sa vie. Il est mort en menant ce dernier combat, par lequel il rejoint les héros serbes tombés face à l’ennemi.
Pour Maître Jacques Vergès, membre du “comité international pour la défense de Slobodan Milosevic”, le tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPI) est un “tribunal d’assassins”.
“On a privé” Slobodan Milosevic de soins, “on a tout fait pour que son état s’aggrave”, a déclaré Me Vergès, en expliquant qu’il “n’avait même pas de promenade, il était privé de tout exercice physique”.
Interrogé sur l’intérêt que “la justice internationale aurait eu à faire disparaître un homme qu’elle s’apprêtait à juger”, Me Vergès a expliqué que c’est “parce qu’elle n’était pas arrivée à justifier les accusations portées contre” Milosevic.
2) Milosevic n’était pas le « méchant nazi » décrit par la classe médiatico-politique occidentale.
Le major-général canadien MacKenzie était le commandant des forces occidentales en Bosnie. Aujourd’hui à la retraite, il dénonce ce que l’Otan a fait au Kosovo et contre la Yougoslavie :
-”Nous avons bombardé le mauvais côté”.
- “Génocide” ? Pas 100.000 victimes, ni 8 000 victimes, mais 2.000 (”toutes ethnies confondues”).
- “Ce sont les Albanais qui ont commencé, nous les avons dépeints comme victimes”
- “Milosevic n’a fait que réagir”
- “L’Otan a livré le Kosovo à la maffia”
- “Nous avons aidé l’UCK à créer un Kosovo musulman ethniquement pur.”
- “Nous avons encouragé les terroristes du monde entier.”
Interview du major-général MacKenzie :
« Il y a cinq ans, les écrans de nos télévisions débordaient d’images d’Albanais du Kosovo fuyant à travers les frontières pour aller chercher refuge en Macédoine et en Albanie. Des rapports alarmistes disaient que les forces de sécurité de Slobodan Milosevic menaient une campagne génocidaire, et qu’au moins 100.000 Albanais du Kosovo avaient été massacrés et enterrés dans des charniers à travers toute la province.
L’OTAN entra promptement en action, bien qu’aucun des Etats membres de cette alliance n’ait été menacé, et se mit à bombarder non seulement le Kosovo, mais aussi les infrastructures et la population de la Serbie elle-même, sans que cette action soit autorisée par une résolution des Nations-Unies, instance pourtant vénérée par les gouvernants du Canada passés et présents.
On qualifia de “munichois” ceux d’entre nous qui mirent en garde l’Occident contre le fait qu’il se laissait entraîner aux côtés d’un mouvement indépendantiste albanais extrémiste et partisan. On oublia opportunément que l’organisation qui menait le combat pour l’indépendance, l’Armée musulmane de libération du Kosovo (UCK), était désignée universellement comme organisation terroriste et connue pour être soutenue par le mouvement Al Qaida d’Oussama Ben Laden »
Depuis l’intervention de l’OTAN et de l’ONU en 1999 au Kosovo, ce dernier est devenu la capitale européenne du crime. Le commerce des esclaves sexuels y est florissant. La province est devenue la plaque tournante de la drogue en direction de l’Europe et de l’Amérique du nord. Et pour comble, la plupart des drogues proviennent d’un autre pays “libéré” par l’Occident : l’Afghanistan. Les membres de l’UCK participent à la fois à ce trafic et au gouvernement.
Le but ultime des Albanais musulmans du Kosovo est de purger celui-ci de tous les non-Albanais, y compris les représentants de la communauté internationale, et de fusionner avec la mère-patrie albanaise, réalisant ainsi la “Grande Albanie”. Leur campagne a commencé au début des années 1990, par l’attaque des forces de sécurité serbes ; ils ont réussi à retourner la réaction musclée de Milosevic en une sympathie universelle pour leur cause. Le génocide proclamé par l’Occident n’a jamais existé ; les 100.000 morts prétendument enterrés dans des charniers se sont avérés être environ 2000, toutes ethnies confondues, y compris ceux qui sont tombés dans les combats.
Les Albanais du Kosovo ont joué sur nous comme sur un Stradivarius. Nous avons financé et soutenu indirectement leur campagne pour l’indépendance d’un Kosovo musulman ethniquement pur. Nous ne leur avons jamais reproché d’être responsables des violences du début des années 90, et nous continuons de les dépeindre comme les victimes d’aujourd’hui, malgré les preuves du contraire.
Quand ils auront atteint leur objectif d’indépendance, aidés par les dollars de nos impôts ajoutés à ceux de Ben Laden et d’Al Qaida, on peut imaginer quel signal d’encouragement ce sera pour les autres mouvements indépendantistes du monde entier soutenus par le terrorisme ! Notre acharnement à creuser notre tombe n’est-il pas comique ? »
3) Milosevic et les médias : 4 questions gênantes.
Pourquoi continuera-t-on à vous cacher ceci :
-QU’IL MEURE ! « Ce serait mieux si Milosevic mourait en cellule, parce que si le procès suivait son cours, il pourrait bien n’être condamné que pour des charges mineures. » James Gow, “expert en crimes de guerre” et partisan du Tribunal de La Haye, interview à Channel 4, 2004.
-PINTER Harold Pinter, Prix Nobel de Littérature 2005 : « La Cour US - OTAN qui juge Slobodan Milosevic a toujours été totalement illégitime. Impossible de la considérer comme un tribunal sérieux. La défense de Milosevic est puissante, convaincante et irréfutable. »
-CRIMES SERBES « Lorsque Milosevic a été mis au courant de crimes commis par des réservistes de la police, associés à la milice de Slobodan Medic ’Boca’, il a été furieux. Il a demandé comment il se faisait que la milice des Scorpions avait pu être active au Kosovo, il a demandé que les coupables soient poursuivis et que cela ne se reproduise plus. » Général Farkas, chef de la sécurité de l’Armée Yougoslave en 1999, témoignage à La Haye.
-BEN LADEN CHEZ LE PRESIDENT DE BOSNIE « En novembre 94, je me trouvais avec un collègue du Spiegel, dans l’antichambre du bureau du président de Bosnie, Izetbegovic. Nous avons vu Osama bin Laden escorté entrer dans le bureau d’Izetbegovic. » Eve-Ann Prentice, journaliste du Guardian et du Times, spécialiste des Balkans.
Des crimes ont certes été commis de tous côtés dans cette guerre. Il y a des reproches à formuler à Milosevic. Mais l’important, ici encore, n’est pas ce que les médias disent. C’est surtout ce qu’ils ne disent pas.Si vous pensez que les médias vous ont parfois induit en erreur sur l’Irak, Israël, le Vietnam, et quelques autres guerres, mais que la Yougoslavie fut une exception, et que là, on vous a tout dit sans manipulation, alors ne cherchez plus, et dormez bien !Par contre, si vous avez remarqué que toute guerre des grandes puissances a toujours été accompagnée d’une propagande de guerre et d’une désinformation, alors, recherchez ce qu’on vous a caché. Essayez de vous faire votre propre opinion, sans tabous.
4) Le Kosovo devenu une terre musulmane
Agim Ceku, l’ancien commandant de l’UCK, a été élu Premier ministre du Kosovo par le Parlement.
Agim Ceku fut en l’ancien chef militaire de l’Armée de libération du Kosovo , l’UCK, qui était une milice terroriste composée d’intégristes musulmans et qui a combattu les forces serbes durant le conflit de 1998-1999.
Belgrade, où Agim Ceku est inculpé de crimes de guerre contre des civils serbes, avait tenté auprès de la Mission de l’ONU au Kosovo d’empêcher son élection. Et c’est Milosevic, que les occidentaux dhimmis avaient mis derrière les barreaux parce qu’il voulait empêcher ce qui se passe, depuis son arrestation, en ex-Yougoslavie : l’islamisation !
Eglises et Monastères détruits, tombes profanées, populations déplacées, villages brûlés, enfants assassinés…
La communauté internationale et nos médias restent silencieux sur le sort de nos frères serbes du Kosovo-Metohija mais il est de notre devoir de crier la vérité.
Les Serbes se trouvent en première ligne face à l’expansionnisme islamique et au nouvel ordre mondial qui n’a pas hésité à les bombarder quand ceux-ci ont osé se défendre, leurs souffrances sont les nôtres et leur présent est peut-être notre avenir…ne les oubliez pas !