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MessagePosté: Ven 22 Juin, 2007 12:58 
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Bernard Lama
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Comme la bulle internet la crise de l immobilier aux US pourrait menacer les marchés financiers
La crise de l'immobilier américain, qui semblait indolore au vu de ses faibles répercussions sur la consommation, pourrait menacer l'économie sur un autre front: celui des marchés financiers.
Deux fonds spéculatifs américains se trouvent aujourd'hui dans une situation très délicate après avoir investi massivement dans les prêts immobiliers à risque (dits "subprime"). Selon le Wall Street Journal de mercredi, ces deux hedge funds du courtier Bear Stearns, qui détenaient il y a peu un portefeuille évalué à 20 milliards de dollars, pourraient tout bonnement fermer, victimes de la chute de la valeur des titres adossés aux emprunts immobiliers.



Une fermeture "pourrait avoir de grandes conséquences pour Wall Street et les investisseurs", met en garde le quotidien, alors même que les Bourses affichent une santé éclatante. Cette affaire vient brutalement rappeler que la crise de l'immobilier, qui dure depuis plus d'un an, pourrait affaiblir l'économie par des chemins détournés. Les économistes s'étaient félicités de voir que les difficultés du secteur n'arrivaient pas à faire dérailler la consommation des ménages, premier moteur de la croissance. Ils craignaient que les ménages, par pessimisme et par manque de moyens, ne réduisent leur train de vie. Mais la menace semble s'être déplacée.
La crise du secteur est surtout concentrée sur le segment des emprunteurs à risque, ces ménages les plus fragiles financièrement qui se sont vu accorder des prêts providentiels aux riches heures de la bulle immobilière. A coup de taux ajustables et de montages acrobatiques, une large partie de la population a pu emprunter. Les créanciers, de leur côté, étaient poussés à prêter à tour de bras par les marchés de plus en plus friands de placements risqués -- mais juteux.

On se rend compte aujourd'hui des dangers de ces pratiques. Le directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Rodrigo Rato s'est inquiété mardi de la "sous-estimation de l'ampleur des risques par certains participants" et de l'"oubli téméraire des risques par certains autres". L'affaire se complique du fait que l'argent investi sur ces marchés du risque est en très grande partie emprunté ailleurs, d'où le danger d'un effet boule de neige. Le patron de la banque suisse UBS, Peter Wuffli, a mis en garde mercredi contre les dangers des prêts à risque. "Cela peut être dangereux en termes de procès, de disputes et de réputation", a-t-il affirmé au Financial Times.

Pour que la crise se digère en douceur, il faudrait que le secteur immobilier se rétablisse progressivement. Les économistes y croyaient il y a encore quelques semaines, mais les dernières indicateurs ont douché leur enthousiasme. La confiance des constructeurs de logements est tombée en juin au plus bas en seize ans, le stock de logements invendus ne cesse de gonfler, et les taux d'emprunt sur trente ans ont bondi de plus d'un demi-point en cinq semaines.

Cela "laisse penser que l'investissement dans la pierre va continuer de baisser et contribue aux inquiétudes sur la viabilité des crédits +subprime+ émis récemment", affirment les analystes de Goldman Sachs dans une note. Le président de la banque centrale, Ben Bernanke, avait lui aussi mis en garde début juin contre une crise durable.

"Nous risquons de voir une hausse des défauts de paiements et des faillites cette année et l'année prochaine, au fur et à mesure des ajustements des prêts immobiliers subprime", avait-il affirmé.


Batiweb


Et hop un copié collé 8)
Une chose à rajouter si les taux longs montent gare... il va y avoir du grabuge.

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MessagePosté: Ven 22 Juin, 2007 21:09 
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Jean Pierre Bosser
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et hop un ptilien ptete qui yaura pas de grabuge? ptete qui yora du grabuge?

http://fr.biz.yahoo.com/22062007/202/us ... t-pas.html

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MessagePosté: Ven 22 Juin, 2007 22:44 
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Attention LuLu deux trois liens dans ce genre et tu vas passer Tricard toi aussi... j'ai reçu un mp ce matin de qui tu sais pour m'annoncer qu'il n'avait jamais vu de sa vie "un tel pauvre type" ou quelque chose d'approchant...

et PhiPhi le programmeur minab' peut t'assurer qu'il va y avoir du tangage et du roulis, l'enez sun (à la sortie du port) c'est sur un lac qu'il navigue en comparaison de ce qui va nous arriver sur le coin de la tronche sur les marchés financiers.

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MessagePosté: Ven 22 Juin, 2007 23:46 
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Jean Pierre Bosser
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ahhhh mais phiphi je nai pas mis un copier coller....et puis il dit peut etre oui peut etre non mon lien :lol:

(tiens , la semaine prochaine je prends l Enez Sun , j espere quil y aura un peu de mer et que le canote remuera un peu... :wink: )

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MessagePosté: Sam 23 Juin, 2007 0:17 
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Comme on dit à groix : "y'a du gout dans le canote..."

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MessagePosté: Lun 25 Juin, 2007 13:42 
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*** REVOYONS LES FAITS

** Le grand spectacle continue.

* La semaine dernière, le Dow a été un peu malmené. Les obligations ont chuté. L'effondrement du fonds Bear Stearns a causé "une onde de choc" sur le marché des CDO (dette obligataire collatéralisée, ndlr.), déclare Bloomberg. Et à Dublin, quelques hedge funds se sont effondrés.

* Pendant ce temps, les actions chinoises sont de retour -- atteignant des sommets record. Et le voisin de la Chine, le Japon -- qui est d'ailleurs la deuxième économie mondiale -- se développe plus rapidement qu'on le pensait. Comme la Chine, il accumule des dollars. Les exportations ont grimpé au rythme de 25% par rapport à l'année précédente, ajoutant 3,2 milliards de dollars au surplus commercial japonais rien qu'au mois de mai.

* Les spéculateurs spéculent. Les reporters rapportent. Les experts expertent.

** L'une des choses les plus difficiles pour les investisseurs (et les spectateurs), c'est de se souvenir de l'intrigue. Il y a tant de clowns sur scène... tant de portes qui claquent... tant de maquillage... tant de foules malodorantes.

* Essayons de nous souvenir de ce qui s'est passé.

* Le marché américain est désormais au niveau le plus haut qu'il ait jamais atteint. Selon la plupart des critères, il est aussi cher qu'en 1929, 1968 ou 2000. La correction entamée en 2000 a été balayée par d'immenses vagues de nouvelles liquidités, qui inondent désormais le globe et soulèvent absolument tout -- notamment une grande quantité d'ordures et de débris. Sur cette mer de crédit et d'argent facile, quasiment toutes les places mondiales flottent de plus en plus haut.

* Pendant ce temps, les capitaines de l'industrie financière n'ont jamais eu la vie si belle. Ils gagnent des milliards pour faire des accords... ce qui revient essentiellement à transformer les flots de crédit en dettes, valeurs boursières, immobilier et autres objets de consommation pour les riches -- des yachts luxueux, des propriétés somptueuses, des avions fastueux et divers éléments allant de l'ersatz d'art au ridicule authentique.

* Lors du Salon de l'aéronautique du Bourget, par exemple, un des frères Bass proposait des plans pour construire des jets supersoniques à 80 millions de dollars pièce. Bah, pourquoi pas ? Imaginez ça : un dirigeant serait bien plus productif s'il pouvait aller de New York à Londres en économisant deux heures de temps. Il pourrait revenir à New York à temps pour dîner. Imaginez tous les accords qu'il pourrait signer ! En plus, ça permet d'économiser pas mal de coups de téléphone.

* Bien entendu, un avion supersonique n'est pas une nécessité. C'est une vanité. Mais la vanité joue un rôle important, dans le spectacle actuel. Comme dans une tragédie grecque, nos protagonistes sont victimes de leur propre vanité ; ils pensent pouvoir tout faire et s'en sortir impunis ! Puis les spectateurs et les spéculateurs ne peuvent pas s'en empêcher. Ils voient nos héros -- les hedge funds, les fonds de private equity, les banquiers, les avocats, les génies des maths et les spécialistes des produits dérivés -- gagner des fortunes. Ils les voient dans les journaux, se vantant de salaires à plusieurs milliards de dollars. Ils les voient en couverture des magazines de décoration, posant devant leurs luxueuses demeures. Ils les voient dans les pages people, donnant des millions à des causes charitables. Et ils les voient chez Christie's ou Sotheby's, levant la main et enchérissant des millions pour une œuvre abjecte pondue par un beau parleur sans talent. Voyant tout cela, comment les autres ne voudraient-ils pas se joindre à eux ?

* Même certains des plus grands et des plus expérimentés des observateurs boursiers -- et nous pensons là à Richard Russell -- ont finalement abandonné le combat. Ils ont décidé que nous sommes vraiment dans une Nouvelle Ere (voir ci-dessous)... et que le moment est venu de se rallier à la cause. Cette bulle mondiale est plus mondiale et plus "bullesque" que toute autre dans l'histoire, disent-ils. Elle pourrait devenir beaucoup, beaucoup plus grande. Et ils ont de bonnes raisons de le croire. Tous ces milliards d'Asiatiques... tous ces millions de milliards de nouvelle devise... tous ces nouveaux hedge funds... tous ces nouveaux investisseurs... toutes ces réserves de dollars... tous ces nouveaux instruments financiers. Que peuvent-ils faire d'autre qu'aider à faire enfler cette bulle plus encore -- à tel point que la lune devra se pousser pour lui faire de la place.

* Mais attendez... n'y a-t-il pas un vieil adage boursier déclarant que le marché haussier est terminé lorsque le dernier baissier jette l'éponge ?

* Y'a-t-il encore des baissiers ?

* Nous n'en savons rien. Mais il ne doit pas y en avoir beaucoup.


8) Hi Hi la lune va devoir se pousser pour faire de la place...

"The nasdaq bubble has collapsed, the housing bubble half collapsed, we have the $ bubble that will collapse...".

PloP !

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MessagePosté: Lun 25 Juin, 2007 17:01 
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phev a écrit:
"The nasdaq bubble has collapsed, the housing bubble half collapsed, we have the $ bubble that will collapse...".

PloP !

il n'y a absolument rien de concret et c'est toujours avec des "si" et au conditionnel ou dans un futur plus ou moins "proche"
depuis plus de 2 ans que tu annonces le krach il n'y a rien et ça c'est du concret ah oui c'est vrai ça venir ... blablabla et même si ça venait ce ne serait pas la fin du monde
la bourse a bien plongé en 2001 , sur certaines assurances vie je me suis pris du -40% et ?? la vie continue ... je m'étais bien gavé avant et depuis ça a très bien repris .. le tout est de laisser passer l'orage et de diversifier
tu dois quand même avoir une vie pas bien jolie à être toujours pessimiste, à ne pas vouloir sortir car la vie est trop "chère", à ne pas toucher à ton argent car il faut le "garder" et à systématiquement trouver les politiques et economistes bien plus bêtes que toi ....
je soupçonne vraiment un gros problème du type aigri de la vie.


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MessagePosté: Lun 25 Juin, 2007 17:37 
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Bernard Lama
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Inventory of homes for sale hits 15-year high
Existing-home sales off 0.3%; 5.99 million annualized rate's a four-year low


http://www.marketwatch.com/news/story/u ... 9A3E3D2%7D

Citation:
WASHINGTON (MarketWatch) -- The inventory of previously owned homes up for sale in May rose to the highest level in relation to sales in 15 years, a real-estate trade group said Monday.
Sales of existing homes fell 0.3% last month to a seasonally adjusted annual rate of 5.99 million, down from the upwardly revised 6.01 million in April, the National Association of Realtors reported.
"We still seem to be in the sellers' denial phase of the market and we haven't even hit the buyers' denial portion, when people don't realize that prices are no longer dropping."--Joel Naroff, chief economist, Naroff Economic Advisers.
Still, May's sales were stronger than the 5.90 million pace that economists surveyed by MarketWatch had been expecting. See Economic Calendar.
Inventories of homes on the market rose by 5% to a record 4.43 million, representing an 8.9-month supply at the May sales pace. That's the biggest overhang of inventory since June 1992, at the tail end of the last housing bust.
The inventory figure compared with 8.4 months in April and 7.4 months in March.
Home builders have their own inventories of unsold homes to contend with. High levels of inventories should keep prices flat or falling in coming months.
"The current level is approximately million units above normal, a figure that glaringly illustrates the housing market's biggest problem," wrote Tony Crescenzi, chief bond market strategist for Miller Tabak & Co.
Many prospective buyers are reluctant to borrow money to buy an asset that's depreciating in value.
"We still seem to be in the sellers' denial phase of the market and we haven't even hit the buyers' denial portion, when people don't realize that prices are no longer dropping," wrote Joel Naroff, chief economist for Naroff Economic Advisers. "This market has a very long way to go before we will be able to characterize it as solid."
The median price of a home sold was $223,700, down 2.1% compared with May 2006. It's the 10th straight month of declining year-over-year median prices.
"Psychological factors are currently the biggest drag on the housing market, in addition to a disruption from tighter credit for subprime borrowers," said Lawrence Yun, senior economist for the realtors group.
By sector, May's sales of single-family homes dipped 0.8% to an annualized 5.20 million, while condominium sales rose 2.6% to a seasonally adjusted annual rate of 790,000.
By region, sales fell by 3.4% in the South and by 0.8% in the West but rose by 5.8% in the Northeast and by 0.7% in the Midwest.
Yun said buyers are simply waiting to step forward and make purchases. He's found that household formation has slowed dramatically since late 2006, something rarely seen outside of a recession.
"The market is underperforming when you consider positive fundamentals such as the strength of job creation, economic growth, favorable mortgage interest rates and flat home prices," Yun said.
Mortgage rates have surged higher since May, hitting 6.69% in the most recent week, compared with an average of 6.26% in May.


8)

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MessagePosté: Lun 25 Juin, 2007 17:41 
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Now Playing:
'Market is in imminent danger of a major correction ... or worse'
Jim Shepherd of The Shepherd Investment Strategist said in a radio interview Monday that the current economy and stock market bear a striking resemblance to the 1987 market that led up to the Black Monday crash, but that he expects any decline based on today's conditions to be deeper and to require a longer recovery. Shepherd, who recommended that investors go to cash, said the coming downturn will be "the worst protracted stock market event that most investors have ever seen."


Je suis d'accord avec cette analyse si les taux longs restent à un niveau qui n'est pas si élevé pourtant (vers les 5.30 % pour moi), les marchés ne vont pas y couper...

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MessagePosté: Lun 25 Juin, 2007 17:43 
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ah oui c'est clairement la crise, la grosse débandade du -50% : 8) et la France on en est où ? -20 ? -30 ? c'est pour bientôt .. bon on va patienter.


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MessagePosté: Lun 25 Juin, 2007 17:48 
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phev a écrit:
Citation:
Now Playing:
'Market is in imminent danger of a major correction ... or worse'
Jim Shepherd of The Shepherd Investment Strategist said in a radio interview Monday that the current economy and stock market bear a striking resemblance to the 1987 market that led up to the Black Monday crash, but that he expects any decline based on today's conditions to be deeper and to require a longer recovery. Shepherd, who recommended that investors go to cash, said the coming downturn will be "the worst protracted stock market event that most investors have ever seen."


Je suis d'accord avec cette analyse si les taux longs restent à un niveau qui n'est pas si élevé pourtant (vers les 5.30 % pour moi), les marchés ne vont pas y couper...

je suis d'accord continue ... ça vient
encore une fois la même histoire un peu diffèrente d'un énième post...
si y'a ça qui se passe ben on va tout droit vers la cata très bientôt, ça va être terrible , du jamais vu ... et on voit quoi ? RIEN ... mais ça va venir (après la pluie vient le beau etc etc ...) bref beaucoup de bruit pour pas grand chose. :wink:


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MessagePosté: Lun 25 Juin, 2007 17:51 
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depuis 1 an et demi que je suis le TadaWul toujours pas de reprise...

Ca s'enfonce toujours... Ils doivent être à cran là bas...

http://www.ameinfo.com/financial_markets/Saudi_Arabia

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MessagePosté: Lun 25 Juin, 2007 17:56 
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phev a écrit:
Ca s'enfonce toujours... Ils doivent être à cran là bas...

d'ailleurs c'est pour ça qu'ils investissent dans l'A380 pour pouvoir se barrer à bien plus :lol:
le seul à cran c'est bien toi :lol: :lol:
d'après les experts on va tous mourir, ça va pas tarder et plus les années passent plus y'a de risque , triste
edith: quand tu veux t'amuser 5 mn tu vas sur le site d'allezbrest et hop magicphev avec son bonnet à clochette est là .... le gardien du net du 24/24 :lol: :lol:


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MessagePosté: Mar 26 Juin, 2007 14:00 
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Banks 'set to call in a swathe of loans'

http://www.telegraph.co.uk/money/main.j ... con126.xml



Citation:
The United States faces a severe credit crunch as mounting losses on risky forms of debt catch up with the banks and force them to curb lending and call in existing loans, according to a report by Lombard Street Research.


Credit CrunCh ! Credit CrunCh ! Credit CrunCh ! Credit CrunCh !

Citation:
Excess liquidity in the global system will be slashed


"PoP" !

Citation:
US property writer Paul Muolo described the Bearn Stearns crisis as the “subprime Chernobyl”, saying the bank had created a “cone of silence”.



"subprime Chernobyl" tiens donc !

Citation:
The median price fell for the 10th month in a row to $223,700, down almost 14pc from its peak in April 2006. This is the steepest drop since the 1930s.


J'ai eu belle maman en ligne, ce n'est pas la situation à BellemamanTown là bas c'est "price always go up, it's an excellent time to buy, an excellent time to sell !"

Citation:
“These highly illiquid securities have been priced so far on unrealistic and distorted credit ratings as the ratings industry has been complicit,” he said.


De la merde valorisée au prix de l'or à l'actif des bilans.

Citation:
The worst of the US property crisis has yet to hit since there is an overhang of $2,000bn of mortgages with adjustable rates which have yet to be reset. Many borrowers could see payments jump by half, or even double.


Le pire est à venir...

Citation:
“With defaults at their highest in the 37 years that records have been kept, it could be a long hot summer,” said Mr Dumas.


avec des taux de défaillance jamais vus depuis 37 ans que les statistiques existent, il se pourrait que l'été soit long et chaud... (genre traversée du désert quoi...) Hi Hi Hi...

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MessagePosté: Mar 26 Juin, 2007 17:09 
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Hop les mains pris dans le bol de confiote...

Citation:
En direct de Wall street ! 16:45 26/06/07
the wall street journal en live : 13:21 26/06/07
PLUS USA: Bear Stearns, la partie émergée de l'iceberg?

Justin Lahart et Aaron Lucchetti,

THE WALL STREET JOURNAL

La déroute des deux fonds spéculatifs de Bear Stearns Cos. (BSC) la semaine dernière alimente la crainte à Wall Street que certains investissements sophistiqués et peu répandus jusqu'ici ne finissent par tourner mal, entraînant à terme une baisse généralisée du marché.

Les fonds Bear Stearns en question, qui réunissaient des investisseurs particuliers fortunés, d'autres fonds spéculatifs et certains dirigeants de la banque d'investissement américaine, illustrent l'engouement récent pour les actifs très peu liquides tels que les options exotiques, les autoroutes, ou encore les forêts.

A la différence des actions et des obligations échangées sur un marché réglementé, de tels actifs ne peuvent être achetés ou vendus rapidement, ce qui rend difficile une estimation précise de leur valeur. Les gérants de fonds ont donc toute latitude pour fixer la valeur de ces actifs, et ne sont souvent guère diserts sur les détails de leurs opérations en la matière.

Les deux fonds de Bear Stearns, High-Grade Structured Credit Strategies Fund et High-Grade Structured Credit Strategies Enhanced Leverage Fund, se sont retrouvés en difficulté lorsque la baisse de certains pans du marché immobilier a mis à mal les paris engagés par les fonds sur certains titres complexes adossés à des crédits hypothécaires à surprime, en d'autres termes les crédits accordés à des acheteurs peu solvables.

Ces titres sont rarement échangés, ce qui fait qu'il est difficile de les céder sans encourir de lourdes pertes. En outre, les fonds en question, et particulièrement le Enhanced Leverage Fund, avaient massivement recours à l'emprunt pour augmenter la rentabilité de leurs investissements. Mais lorsque les choses tournent mal, comme récemment, ce sont les pertes qui se retrouvent amplifiées par cet effet de levier.

Après des années de taux d'intérêt particulièrement bas, les investisseurs disposant d'abondantes liquidités ont eu tendance à se précipiter vers les placements peu liquides afin d'optimiser leurs retours sur investissement. A tel point que certains experts s'inquiètent aujourd'hui de la popularité grandissante de ce type de placements très risqués, qui deviennent de plus en plus en grand public.

L'année dernière, les fondations privées, qui figurent parmi les inverstisseurs américains les plus riches, avaient investi près du quart de leur portefeuille dans des placements peu liquides, selon le cabinet de conseil Greenwich Associates. Ces institutions peuvent se permettre le luxe d'attendre si leurs investissements présentent une rentabilité à long terme intéressante. Mais d'autres types d'investisseurs, qui dépendent de créanciers plus nerveux, n'ont malheureusement pas cette faculté.

"La plupart des investisseurs se concentrent sur la rentabilité attendue au lieu de se préoccuper du risque", commente Leon Metzger, professeur à Yale et à Columbia spécialisé dans la gestion des fonds spéculatifs.

Le cas des fonds Bear Stearns montre comment une stratégie de gain à court terme peut déraper lorsque des fonds détiennent des actifs difficiles à évaluer. La semaine dernière, la maison-mère Bear Stearns a finalement dû voler au secours de l'un de ces fonds en lui accordant en urgence une ligne de crédit de 3,2 milliards de dollars.

Cette crise fait redouter à Wall Street l'apparition de problèmes similaires dans d'autres fonds recourant aux mêmes types d'investissements, au moment où les gérants de fonds réévaluent la valeur de ces placements. Ces inquiétudes ont d'ailleurs contribué à la chute de 279,22 points, soit 2,1%, de l'indice Dow Jones la semaine dernière.

Les fonds spéculatifs font partie des institutions payées à la performance, ce qui les incite à évaluer leurs positions de manière très aggressive, estimant souvent leurs actifs à leur valeur maximale. Plus la valeur des actifs inscrite dans leurs comptes est élevée, plus la rémunération reçue par le gérant de fonds de la part des investisseurs sera importante.

La combinaison d'une absence de liquidité et d'un effet de levier important s'est révélée un élément déterminant dans le déclenchement des crises financières. L'effondrement de Long-Term Capital Management, qui a eu des répercussions sur les marchés mondiaux de capitaux en 1998, a ainsi été provoqué par l'incapacité du fonds à dénouer des positions à fort effet de levier.

A l'automne dernier, le fonds spéculatif Amaranth Advisors LLC a perdu quelque 6 milliards de dollars en un temps record en raison d'un retournement imprévu du marché du gaz naturel et des paris complexes utilisés par Amaranth pour augmenter sa rentabilité. Début 2007, Bank of Montreal a perdu plus de 560 millions de dollars en pariant sur la volatilité des cours du gaz naturel.

Pourtant, les investisseurs sont de moins en moins effrayés par les placements illiquides, qu'ils perçoivent justement comme plus liquides que par le passé, grâce au bas niveau des taux d'intérêt et à l'afflux d'épargne en provenance des pays exportateurs de pétrole, qui doivent recycler leur important excédent commercial avec les Etats-Unis. De plus, grâce à des instruments financiers sophistiqués, le risque inhérent à ce type d'actifs peut être réparti sur plusieurs centaines d'acteurs, ce qui le rend plus facilement supportable.

Cette évolution révèle néanmoins une victoire de l'appât du gain sur la peur du risque. Le recours à l'effet de levier permet aux investisseurs de maximiser leurs rendements sans immobiliser un capital important, en détenant ce qui ressemble en apparence à des placements prudents comme des emprunts hypothécaires.

Toutefois, lorsque les marchés se retournent, comme ce fut le cas à plusieurs reprises récemment, la rentabilité accrue obtenue au moyen de l'effet de levier se transforme en lourde perte. Pour les fonds qui utilisent un effet de levier massif, nul besoin d'une forte chute du marché pour que s'évapore une part importante de la valeur de leur portefeuille.

Le cas des fonds Bear Stearns démontre également la grande liberté dont font preuve les fonds pour évaluer leurs actifs peu liquides. Le mois dernier, le Enhanced Leverage Fund avait estimé à 6,75% la diminution de la valeur de son portefeuille en avril. Par la suite, il a révisé ce chiffre à la baisse et estimé sa perte à 18%.

La principale crainte de Wall Street aujourd'hui est qu'un nombre important d'acteurs puissent être affectés par des problèmes similaires et qu'ils soient finalement contraints de liquider leurs actifs en essuyant de lourdes pertes, afin de rembourser des créanciers impatients.

-Justin Lahart et Aaron Lucchetti, The Wall Street Journal

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Pas de nouveau message [Crise financière] Lula a trouvé les coupables !

face-d'arc-en-ciel

4

1887

Mar 07 Avr, 2009 19:54

hiiguitobreizh29 Voir le dernier message

Pas de nouveau message ces matchs au scénario de dingue !!!

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Lorenzo29

141

5980

Lun 18 Nov, 2024 16:52

Lorenzo29 Voir le dernier message

Pas de nouveau message Dimanche, THE scenario de la mort

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Max

64

5226

Lun 23 Mai, 2011 22:01

loop Voir le dernier message

 


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