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MessagePosté: Ven 01 Juin, 2007 16:32 
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Aurélien Dugand
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higuito29 a écrit:
force est de constater que tu te plantes, ça baisse pas et même ceux qui ont acheté mi juin 2005 se font de la + value .

Quelle plus value ? Dans le finistère les notaires bretons annoncent une hausse moyenne de 8 a 9% en 2006. Ca rembourse les frais de notaire payés en sus sans plus en 2005. A condition en plus de trouver un acquéreur en 2007 . Ce qui devient difficile toujours selon les notaires http://www.immonot-bretagne.com/tmi.breton
Donc pour l'instant plus value = 0

Citation:
« Curieusement, devant un marché qui semble se "tendre", voire se "durcir", une activité de négociation en légère augmentation. Tendance confirmée de baisse de prix pour certaines personnes qui ont souscrit des prêts relais il y a 2 ans » note Me Arens dans le Morbihan. Il souligne ainsi le fait qu’après des mois et des mois de tergiversations, les vendeurs finissent par lâcher prise et signent un avant-contrat à des conditions plus en phase avec le marché.

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MessagePosté: Ven 01 Juin, 2007 16:37 
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Patrick Colleter
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je suis d'accord avec toi ce n'est plus le temps de gagner de l'argent plein pot (quoique avec les nouvelles mesures .... ) sur des transactions achats/ventes mais le marché globalement ne baisse pas


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MessagePosté: Ven 01 Juin, 2007 16:58 
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Aurélien Dugand
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higuito29 a écrit:
mais le marché globalement ne baisse pas

La dessus je suis d'accord avec toi. Pour l'instant ce sont les relocations qui baissent. Par ailleurs le marché achat-ventes a changé de physionomie en 2006. L'etude century 21 le montre bien : disparition des CSP+ (-50% d'acheteurs) et gonflement de primos de plus en plus jeunes avec des crédits de plus en plus long. Ils tiennent le marché a bout de bras achetant cher. La question : jusqu'a quand ? La remontée des taux va les desolvabiliser un peu. L'etude C21 -> http://www.century21.fr/tout_savoir/act ... 070104.php

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MessagePosté: Lun 04 Juin, 2007 1:08 
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Aurélien Dugand
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Ca commence a baissser fort deux articles de ce week end :
- A Nice -9% sur une année http://www.nice.maville.com/Immobilier- ... _actu.html
- Ca s'effondre dans le lot avec des prix jusqu'a -50% par rapport a 2004 http://www.ladepeche.com/aff_art.asp?ref=200706010691

Citation:
Moins d'acheteurs potentiels ? C'est certain. À part les habitations situées au centre-ville de Cahors, secteur qui tire toujours son épingle du jeu (avec des prix qui augmentent de 10 à 15 % dans la boucle), les prix sont à la baisse. « Les prix étaient excessifs », estime Arnaud Pouzergues, de Quercy Transactions. Pour schématiser, plus on s'éloigne de la boucle, plus ça baisse, « jusqu'à - 50 % par rapport au marché d'il y a deux ans ».


Le krach va etre violent et que personne ne se croit a l'abri. Cote d'azur Cotes d'Armor même combat :lol:

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MessagePosté: Lun 04 Juin, 2007 10:49 
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Bernard Lama
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8)

http://itulip.com/forums/showthread.php?t=1404

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MessagePosté: Mar 05 Juin, 2007 2:15 
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Meyer-Sutton Files for Chapter 11

http://biz.yahoo.com/ap/070604/meyer_su ... .html?.v=1

Citation:
The cooling housing market is squeezing builders across the United States.

The Commerce Department recently reported that housing starts in April were 16.1 percent lower than in April 2006. Atlanta's Beazer Homes USA Inc. posted a second-quarter loss of $43 million on declining home closings. New Jersey's Kara Homes Inc. filed for Chapter 11 protection last October amid slowing sales, loss of liquidity and delays on the ground that put off closings.

Meyer-Sutton intends to remain in business during its reorganization. Among the "first-day motions" in its bankruptcy case, the builder is asking for approval to pay vendors and employees.


TouT Va BieN ™

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MessagePosté: Mar 05 Juin, 2007 12:57 
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Bernard Lama
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TouT Va BieN ™ en floride un marché sain et non spéculatif, un clochard retrouvé mort avec 1 $ en poche et 614.000 $ de prêts immobiliers à son nom...

Profession de son fils : mortgage lender :D

Citation:
Two businessmen who might provide insight into Moon's investment activities are his son, Johnny Moon Jr., and an associate, Dominic Ferrara. Both are licensed mortgage brokers who assisted Moon Sr. with his acquisitions, records show.


http://www.sptimes.com/2006/04/09/Hills ... er_o.shtml

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MessagePosté: Mar 05 Juin, 2007 18:49 
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Drago Vabec
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Le Monde Parfum de krach à Shanghaï : les boursicoteurs prennent peur!

Citation:
...Comme la plupart des boursicoteurs de sa génération, le jeune shanghaïen, âgé de 33ans et cadre supérieur dans une entreprise de télécommunications, réalise toutes ses opérations en Bourse sur Internet –il laisse les salons de courtage aux désœuvrés du troisième âge ou bien aux victimes des restructurations de sociétés d'Etat, qui y passent des après-midi entières à fumer et boire du thé. Sur le logiciel que lui a fourni la société de courtage dans laquelle il a ouvert un compte, les valeurs qui apparaissent en vert sont celles qui chutent. Un slash placé à côté du titre indique qu'on ne peut plus vendre – car il n'y a plus assez d'acheteurs. Dans les foyers et les bureaux des grandes villes, l'angoisse était palpable mardi matin en Chine, même si, sur les forums Internet, circulaient aussi des propos raisonnables, destinés à prévenir la panique....

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MessagePosté: Mer 06 Juin, 2007 17:16 
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On aura tout vu, les Hedges funds se plaignent des banques qui soutiennent les emprunteurs défaillants maintenant ainsi artificiellement le cours des titres rattaché à ces mêmes dettes (le temps de les refourguer à d'autres sans doute)... Mais les hedges funds qui ont vendu ces titres à découvert (et donc qui doivent à terme solder leurs positions) ne l'entendent pas de cette oreille...

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 649,0.html



Citation:
La colère des fonds spéculatifs, par Claire Gatinois

Jusqu'où une banque peut-elle aller pour éviter la faillite de ses clients sans fausser les règles du marché ? Aux Etats-Unis, ce débat oppose les financiers.

Face à la crise de l'immobilier qui sévit en ce moment dans le pays le plus riche de la planète, certains établissements spécialisés dans la distribution de crédits à haut risque - les "subprime mortage" - ont choisi de revoir à la baisse leurs exigences de remboursements vis-à-vis des emprunteurs.

Il s'agit pour eux, en aidant leurs clients étouffés par les échéances, d'éviter des faillites en chaîne qui leur coûteraient plus cher que ces mesures. Mais ce soutien n'est pas du goût de tous les financiers, notamment des fonds spéculatifs, les fameux hedge funds, comme l'a révélé le quotidien anglo-saxon des affaires Financial Times.

Cette catégorie d'intervenants, rompus aux techniques des marchés, avaient en effet parié sur l'éclatement de la bulle immobilière et la multiplication de défaillances des emprunteurs. Dans cette perspective, nombre d'entre eux avaient choisi d'investir massivement dans la vente "à découvert" de créances immobilières. En cas de défaut de paiement, la valeur de marché du titre de créance était censée dégringoler. Le spéculateur espérait in fine empocher la différence.

Mais l'action des banques, visant à secourir leurs clients en difficulté, vient contrecarrer leurs plans. "Ces établissements soutiennent artificiellement la valeur des créances", accuse un gestionnaire de hedge funds. Les fonds spéculatifs n'hésitent pas à dénoncer des manipulations de cours. Vingt-cinq d'entre eux auraient réclamé à l'autorité de référence, l'ISDA (International Swaps and Derivatives Association), d'examiner en détail l'affaire.

"Les banques d'investissement agissent sur différents marchés de la dette et ne respectent pas la muraille de Chine entre leurs activités", se plaint un gérant de hedge fund. C'est ainsi que certains établissements incriminés interviennent à la fois comme prêteurs immobiliers traditionnels, mais aussi comme spéculateurs sur les marchés de créances hypothécaires. D'où des conflits d'intérêts. Les fonds spéculatifs font valoir qu'eux-mêmes ne mélangent pas les genres.

Enfin, à ceux qui leur reprocheraient leur rapacité, les hedge funds soulignent la moralité toute relative des banques : "Elles ne défendent pas les ménages, mais les sociétés de crédit à risques à qui elles ont prêté sans discernement."

Pour leur défense, les banques répliquent qu'en soutenant les ménages américains surendettés, elles ne font pas seulement une bonne action. Elles aident aussi l'économie des Etats-Unis à traverser cette passe difficile en évitant une crise de l'ensemble du système financier.

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MessagePosté: Jeu 07 Juin, 2007 10:40 
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Aurélien Dugand
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Limousin : baisse de 20 a 30% en quelques mois... JT FR3 régions

http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=b87a_1920
19/20 du 06 juin, se positionner minute 4,20...

A retenir :
Stocks en explosion, des panneaux partout..
Jusqu'a 7 mois pour vendre un bien..
Les AI moderent les vendeurs..
Baisse des loyers car 1500 nouveaux logements arrivent région en robien...

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MessagePosté: Jeu 07 Juin, 2007 18:15 
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Les taux longs s'envolent aux USA !!!!!!

http://www.marketwatch.com/quotes/tnx

http://www.marketwatch.com/news/story/b ... _Mod_mktwN

Citation:
Benchmark Treasury yield rises above 5%
Rate hikes in New Zealand and euro zone trigger the move


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MessagePosté: Jeu 07 Juin, 2007 21:04 
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Des villes fantomes en Espagne

http://www.bloomberg.com/apps/news?pid= ... refer=home

Citation:
Ghost Towns Appear in Spain as Decade-Long Boom Ends (Update2)

By Sharon Smyth and Ricard Alonso

June 6 (Bloomberg) -- Javier Usua and Ruth Graneda never got out of the car when they visited Sanchinarro and Las Tablas, two of Madrid's biggest new suburban developments. The concrete-block buildings and empty streets were all they needed to see.

``We came to look at apartments but found ghost towns,'' said Usua, a 27-year-old taxi driver. ``You'd need to drive miles for a loaf of bread or cigarettes and my girlfriend found it creepy and unsafe so we turned around and left.''

The abandoned developments are evidence of a housing glut that will lead to Spain's first decline in home prices since at least 1992, when the Housing Ministry started keeping records. Spanish builders constructed 750,000 houses and apartments last year, more than France and Germany combined, while annual demand runs about 60 percent of that, according to the Finance Ministry.

``The real killer of the housing market is the immense oversupply,'' said Gonzalo Bernardos, a professor of economics at the University of Barcelona. ``Prices are already unofficially falling.''

New and existing house prices will drop by 20 percent from now through 2009, Bernardos estimates. The country built an average of 432,411 houses per year from 1996 to 2005, more than France and the U.K. combined.

Spanish home prices have more than doubled since 1998, exceeding growth rates in the U.K. and Ireland, two of Europe's fastest-growing markets. The increase has been driven by a drop in interest rates to less than 3 percent from about 15 percent as Spain adopted the euro, household incomes that swelled as women joined the workforce, and a surge in vacation home purchases by Northern Europeans, mainly Germans and Britons.

`Appraisals Are Poetry'

As prices start to decline, Spanish homeowners may face the same challenges as buyers in the U.S., which is in the second year of a housing slump. Falling prices may spur higher delinquencies as buyers face difficulty refinancing. Spanish buyers may face an even higher risk of losing their property because housing prices are based on appraisals rather than actual sales, and appraisers often inflate values.

``We live in a country where everybody understands that appraisals are poetry,'' said Jesus Encinar, chief executive officer and founder of Idealista.com, a property Web site that tracks existing home prices in Madrid, Barcelona and Valencia. ``Bankers have said to me, `Why do you care if the appraisal is fake? It will be true in the future.'''

The average house price in Spain was 276,300 euros ($370,670) in December, according to Sociedad de Tasacion, a property company. That's up 107 percent since the same period of 2000.

Madrid Leads

Existing home prices in Madrid, now stagnant, may start to fall by 0.2 percent in the first quarter of next year, Encinar said. Madrid tends to lead the rest of the country, so prices throughout Spain probably will begin to drop by the end of 2008, he said.

Banks loaned 250 billion euros to developers last year, eight times more than in 1998, and 134.3 billion euros to construction companies, data compiled by the Bank of Spain show.

They loaned 544 billion euros to homebuyers, four times the value of mortgages in 1998. Bilbao Bizkaia Kutxa has introduced 50-year mortgages and Banco Bilbao Vizcaya Argentaria SA has started making 40-year mortgages. Bilbao Bizkaia also offers loans up to 100 percent of the appraised value. That means even a modest decline in home values, combined with rising interest rates, may result in higher foreclosures.

``The problem here is that people have this unshakeable conviction that prices simply cannot fall,'' Encinar said.

The amount of Spanish families' wealth tied up in property in 2004 amounted to 4.3 trillion euros, or 510 percent of gross domestic product, according to the Bank of Spain. U.S. households held $17.2 trillion of real estate, or 159 percent of GDP, in the same period, according to the Federal Reserve.

Rising Defaults

Defaults on Spanish home loans in the first quarter were the highest in at least four years, according to Standard & Poor's. The S&P Spanish RMBS delinquency index for loans backing residential mortgage-backed notes increased by 23 basis points to 1.75 percent during the first three months, S&P analysts wrote in a report on May 29. That compares with an index level of 0.7 percent in March 2004.

``Banks have lent a tremendous amount to developers who used the money to buy land and now they have no choice but to build houses on it to recoup their money to repay their own loans,'' said Pablo Gaya, head of analysis at Capital at Work Investment Partners in Madrid. ``Any sharp downturn in the housing market would make it even harder for developers to sell and may lead to defaults on loans, which would cause a headache for banks.''

Rate increases have a more direct immediate effect on Spanish families because 96 percent of mortgages in Spain are variable rate, compared with about 20 percent in the U.K. and 12 percent in the U.S.

Economic Concerns

The Organization for Economic Cooperation and Development said in a Jan. 23 report that Spain's decade-long real estate bonanza boosted household debt as a percentage of disposable income to 115 percent in the second quarter of 2006 from 45 percent in 1996, making the Spanish market among the most vulnerable to higher interest rates.

Concerns about Spain's real estate market and economy are keeping Usua and Graneda from buying right now.

The couple now lives in a two-bedroom apartment in the central Madrid neighborhood of La Prosperidad that belongs to Usua's father and uncles. They were hoping to purchase an apartment in Sanchinarro or Las Tablas to have their own place.

The plethora of ``for sale'' signs and construction in both areas also is scaring them off, Usua said.

`Flood of Speculators'

``When rates rise and people who are already up to their eyebrows in debt find they can't pay their mortgages, the last thing they are going to do is take a taxi, or eat out, and that affects you, me and everyone,'' Usua said. The apartments they were looking at cost from 300,000 euros to 400,000 euros.

Just as developers profited from first-time buyers, they also have benefited from investors who bought property in anticipation prices would rise.

The result has been that builders were fooled about the true demand, said Bernardos at the University of Barcelona.

In Sanchinarro, Las Tablas and similar developments, ``a flood of speculators bought up apartments thinking they would make a killing as the boom continued,'' said Bernardos. ``Now big developers are competing with these very speculators for sales as they flee the market.''

Olgar Del Corral, a 32 year-old plastic surgeon from Madrid, said she bought a second home because house prices ``always rise.''

``It's clear that investing in a property is a much safer bet than putting money into the stock market for example where you never know what is going to happen,'' she said.

Housing Starts

BBVA, Spain's second-largest bank, estimates that 700,000 new houses will be built in 2007, 100,000 less than the number finished in 2006.

``If housing starts continue at present levels, the chances of a price crash in the Spanish property market will increase significantly,'' said Mark Stucklin, head of Spanish Property Insight, a real-estate consulting firm in Barcelona.

Investors have already demonstrated their concern that the country's property boom is over. Shares of the nine largest publicly traded real estate companies declined by an average 25 percent in the past six months.

Builders' Incentives

Realia Business SA yesterday raised 783 million euros in an initial public offering that fell short of the property developer's target. The shares were sold at 6.50 euros each and were indicated today at 7.50 euros. Fomento de Construcciones & Contratas SA and Caja Madrid, the company's owners, had aimed to sell the stock for 7.9 euros to 9.7 euros.

Metrovacesa SA, Spain's largest property company, offers 1,000-euro discounts and an additional 600 euros per child during promotional festivals. Lubasa, a closely held real estate company in Castellon, gives buyers vouchers worth 4,000 euros to spend in department stores.

Grupo Pinar, a Madrid-based developer, tempts clients with the offer of a Mercedes C-Class car or a 25,000-euro discount on the price of some of its homes. Valencia Grupo 90 Inmobiliarias throws in a free garage.

Juan Bautista Soler, president of Valencia Football Club and owner of private real estate company Grupo Bautista Soler, was selling nine houses per month from September to December. Now, he said he's selling one per month.

``We're facing what could be a significant crisis,'' he said in an interview in London. ``All developers are feeling it and I don't know why they don't come out and say it.''

Job Losses?

The average value of approved Spanish mortgages fell 8.8 percent in March to 162,265 euros from an average 177,916 euros in February, the National Statistics Institute said last week on its Web site.

``If we do encounter problems in the labor market, then families and banks will have problems,'' said Enric Reyna, president of APCE, the Asociacion de Promotores Contructores y Constructores de Edificios de Barcelona y Provincias, in an interview. ``Interest rates have to be kept at reasonable rates to prevent problems because banks can't extend mortgage repayments much more.''

A 30 percent decline in house prices in two years would trim 0.4 of a percentage point to 0.7 of a percentage point from economic growth each year, International Monetary Fund economist Julio Escolano said in a May 18 report.

According to analysts at Ahorro Corporacion, who estimate that Spain only needs 400,000 to 450,000 new housing units per year, a 30 percent drop in new housing starts is necessary to balance supply with demand. A reduction of that magnitude would result in about 200,000 job losses, the analysts estimated.

In Sanchinarro and Las Tablas, Esperanza Aguirre, president of the regional government of Madrid, opened the first light railway stop last month. No passengers descended from or boarded the bright red-and-blue train this week when it stopped at the station during lunch time. Spaniards traditionally go home for lunch.

``Not even God lives here,'' Usua said.

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MessagePosté: Ven 08 Juin, 2007 12:07 
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Bernard Lama
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Les USA à la recherche de prêteurs

22 mars 2007Les USA vivent à crédit depuis de nombreuses années et empruntent au monde entier pour financer leur consommation. Que se passera-t-il lorsque les prêteurs feront défaut ? En décembre 2006, pour la première fois, les investisseurs étrangers n’ont pas été au rendez vous.


Bush a dépensé tout le capital réel des Etats-Unis
par William A. M. Buckler, Australie

En décembre dernier, l’afflux net de fonds étrangers investis en titres des Etats-Unis est tombé à 15,6 milliards de dollars. Il s’agit du chiffre le plus faible enregistré depuis près de cinq ans.

Où est votre argent ? Nous en avons besoin !

Cet afflux de fonds étrangers doit satisfaire aux besoins des Etats-Unis. Chaque jour ouvrable, le pays a besoin de quelque 3,5 milliards de dollars pour financer le déficit de sa balance des paiements courants, qui s’est élevé à presque 875 milliards par année durant les trois premiers trimestres de 2006. L’épargne intérieure faisant défaut, la demande de fonds des Etats-Unis dans le reste du monde a augmenté considérablement, absorbant ces dernières années environ 70% de l’épargne excédentaire mondiale. Or l’afflux de fonds étrangers vers les Etats-Unis a cessé.

Ainsi qu’une commission du Sénat l’a relevé, même une légère diminution de cet afflux - pour ne pas parler d’un arrêt ni d’une liquidation de titres causant un reflux - entraînerait une chute du cours du dollar.

Un fait alarmant : le déficit commercial des Etats-Unis

En 2006, le déficit commercial des Etats-Unis a battu le cinquième record mondial consécutif et atteint 836 milliards. Dépassant le déficit record de 504 milliards accusé en 2005, la balance des échanges de produits manufacturés des Etats-Unis s’est soldée par un déficit de 536 milliards en 2006.

Les pays sans outils sont stupides

L’investissement aux Etats-Unis est en train de s’effondrer. Ces trois derniers trimestres, l’investissement, surtout en nouveaux équipements, a ralenti sensiblement. En moyenne annuelle des trois derniers trimestres de 2006, ces dépenses n’ont augmenté que de 1,4%, contre un taux annuel de 9,5% durant les deux années précédentes. Cette évolution est le contraire du capitalisme.

Le Département du Trésor des Etats-Unis dissipe tout doute possible

Le rapport du Département du Trésor, révélant qu’un reflux de fonds étrangers de 11 milliards avait eu lieu en décembre, a déstabilisé les marchés financiers des Etats-Unis. De 84,9 milliards en novembre (chiffre révisé), les achats d’actions, de notes et d’obligations américaines par des investisseurs étrangers sont passés à 15,6 milliards net en décembre. Déduction faite de ventes par ces investisseurs de titres américains à court terme, tels les bons du Trésor et reconnaissances de dettes, ainsi que des swaps de titres, on obtient une vente nette par les investisseurs étrangers de 11 milliards. Actuellement, des étrangers détiennent des titres américains de tous types pour un montant qui dépasse 14 000 milliards. S’ils perdaient confiance dans leurs investissements aux Etats-Unis et commençaient à liquider, aucune instance ne pourrait les dissuader d’arrêter ce qui pourrait être l’une des plus grandes débâcles financières de tous les temps.

Si l’afflux de fonds cesse

Si l’argent étranger cesse d’alimenter le système financier des Etats-Unis, les modalités internes des crédits se détérioreront aux Etats-Unis, puisque les fonds qui affluaient seront absents. Ils ne pourront plus être dépensés ni prêtés. Si la Réserve fédérale, dirigée par Bernanke, veut s’y opposer, elle devra remplacer les fonds étrangers qui manquent. Si elle s’en abstient, les marchés monétaires des Etats-Unis réagiront et les taux d’intérêt monteront dans le pays.

Deuxième effet au sein du système financier américain : les cours des titres de tous les types fléchiront. La demande étrangère antérieure, qui se chiffrait à près de 1 000 milliards par an, disparaîtra. Le troisième effet sera une diminution de la demande de dollars. Elle aura lieu dans le monde entier, car près de 1000 milliards de demande étrangère annuelle auront changé de destination.

Aucun changement en vue, à moins que les Etats-Unis ne changent de politique

Si les Etats-Unis ne se résolvent pas à changer de politique de crédit et de politique monétaire, la machine à crédits continuera de générer de nouveaux prêts internes, dont le montant sera évidemment dépensé. Comme une partie des achats portera sur des biens étrangers, les énormes déficits de la balance commerciale et de la balance des paiements courants ne diminueront pas beaucoup. L’actuel reflux de dollars se poursuivra, mais la demande mondiale de billets verts fléchira. Des effets de change s’ensuivront. La valeur mondiale du dollar chutera.

Si les fonds étrangers quittent le pays ...

Le souvenir des 11 milliards qui ont quitté le système financier des Etats-Unis en décembre se perdra sans doute dans la brouhaha quotidien qui agite les marchés financiers. Mais si ce reflux atteint 50, 100 ou 500 milliards par mois, le système financier américain - tout comme le dollar - pourrait être victime d’un terrible conflit. Les dernieres études mondiales indiquent que les détenteurs étrangers de titres américains en possèdent pour un montant qui dépasse 14 000 milliards. Pour leur part, les Etats-Unis possèdent des avoirs, titres et biens à l’étranger d’une valeur excédant 9 000 milliards. La différence constitue l’endettement net des Etats-Unis dans le monde, estimé actuellement entre 4 100 et 4 700 milliards.

Si vous commencez à vendre, nous devrons en faire autant

Si les détenteurs étrangers actuels de titres américains commencent à accélérer la liquidation, le système financier des Etats-Unis devra réagir par la vente de ses propres avoirs à l’étranger afin de recueillir des liquidités pour couvrir ces ventes de l’étranger. Là se trouve le réel danger mondial. Cette situation pourrait facilement aboutir à une liquidation mondiale mutuelle et destructive. C’est précisément ce type d’événements qui s’est révélé si destructeur au début des années trente.

Les ordres de remboursement passés d’un pays à l’autre ont abouti à des ventes massives de titres de tous types. Des ventes d’urgence de biens ont suivi, ce qui a conduit à une chute des prix. Au total, de nombreux prêts apparemment fiables et maintes entreprises solides sont tombés en déconfiture. A leur tour, des banques et d’autres bailleurs de fonds ont été atteints et se sont également effondrés.

Marcher au bord du gouffre

L’économie mondiale est comme une automobile roulant entre deux précipices, avec les Etats-Unis au volant. Si le conducteur levait le pied de la pédale d’accélération du mécanisme de crédit, il déclencherait la récession aux Etats-Unis qu’il a tenté si longtemps d’éviter. Si les étrangers retiraient leur argent de l’économie et du système financier des Etats-Unis, le résultat serait identique et le pays ferait face à la récession. Les théories économiques et l’enseignement de l’histoire montrent qu’une telle récession est inévitable. Pour l’empêcher, les Etats-Unis peuvent accélérer l’expansion de leurs crédits et accroître encore le déficit de leur balance commerciale et de leur balance des paiements courants, priant les étrangers de continuer à acheter et à rembourser leur monnaie aux Etats-Unis. C’est ce qui s’est passé depuis que les Etats-Unis ont flirté avec la récession à partir de l’an 2000 et que la Réserve fédérale, dirigée par Greenspan, a abaissé son taux directeur à 1%, accélérant ainsi l’expansion du crédit.

Conséquences économiques d’une transformation du commerce extérieur américain

La détérioration croissante de la balance commerciale américaine rend une forte récession aux Etats-Unis absolument inévitable, dès lors que les bailleurs de fonds étrangers arrêtent de prêter et commençent même à retirer leurs fonds. Le problème ne se limite pas aux Etats-Unis. Les pays dont les exportations indispensables à l’économie nationale dépendent des Etats-Unis feront également face à une récession. Ces récessions « complémentaires », qui toucheront les Etats-Unis et de nombreuses nations exportatrices autour de la planète, se nourriront les unes les autres. Il est consternant, mais vrai, que ce fait soit déjà avéré et que cela perdurera. C’est une réalité devenue incontestable depuis que les Etats-Unis se sont risqués sur la voie d’une expansion toujours plus forte du crédit. Depuis lors, le résultat final était prévisible. La seule question était de savoir quand cet événement aurait lieu. Les flux monétaires qui convergent du monde entier vers les Etats-Unis sont la cause fondamentale de cette situation. Observez ces flux, ils constituent un indicateur essentiel.

Où est l’argent gagné ?

Pour la première fois depuis 2002, les sociétés qui font partie de l’indice Standard & Poor-500 ne sont pas parvenues à accroître leur bénéfice d’un pourcentage à deux chiffres. Selon S & P, l’écart entre les résultats et les prévisions a atteint depuis deux ans des proportions jamais observées. La croissance des bénéfices de ces sociétés a été juste au-dessous de 10% au quatrième trimestre de 2006, incitant à penser que la période de taux de croissance à deux chiffres qui a duré dix-huit mois touche probablement à sa fin. Les taux des prévisions relatives au premier trimestre de l’année en cours ont été réduits. D’après le Thomson Financial, le consensus des analystes questionnés table sur une croissance des bénéfices de 4,6% au premier trimestre de 2007. Deux mois auparavant, le taux correspondant était de 8,7%. Diminuant de moitié au premier trimestre, le taux de croissance des bénéfices aux Etats-Unis fait entrer le marché des actions dans une période dangereuse.

La géopolitique de la récession en vue aux Etats-Unis

Le monde entier regarde. En Europe, au Japon, en Russie et en Chine, ils regardent. C’est un truisme s’appliquant à tous les empires passés - et les Etats-Unis sont certainement un empire, avec leurs multiples bases militaires éparpillées sur l’ensemble de la planète - que d’affirmer que le reste du monde attend le premier signe de faiblesse de l’empire avant de se mettre à son compte. Une récession serait un tel signe. Aucun empire mondial n’est parvenu à se maintenir sans s’appuyer sur une forte économie. Le président Bush a dilapidé cette économie. Il a dépensé le vrai capital des Etats-Unis.


TouT Va BieN ™

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MessagePosté: Ven 08 Juin, 2007 12:34 
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Patrick Colleter
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phev a écrit:
Citation:
S’ils perdaient confiance.......
Si l’afflux de fonds cesse...........Si l’argent étranger.......Si la Réserve fédérale........Si les Etats-Unis.....Si les fonds étrangers quittent le pays ...
.......Si vous commencez à vendre.....Si les détenteurs étrangers.... Si les étrangers retiraient leur argent

si un programmeur est un super connaisseur en economie :lol: :lol: :lol:
dans chaque taf, dans chaque secteur , tu auras toujours des problèmes qui surgiront mais à chaque problème sa solution qu'elle soit compliquée à mettre en place ou à trouver ... sinon ça ferait longtemps qu'on boufferait tous l'herbe par les racines
tu as vraiment du mal à comprendre ça , c'est pas parce que y'a des signes que t'as le cancer que tu vas crever ...


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MessagePosté: Ven 08 Juin, 2007 14:30 
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Bernard Lama
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Le swap 10 ans à 4.84 % aujourd'hui...

https://entry4.credit-suisse.ch/csfs/ma ... uactive=10

Les marchés obigataires US ont lourdement chuté hier...

L'OAT TEC 10 ans est à 4.61 % en ce moment...

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