Et tu sais ce genre d'appel était plutôt tendance chez une certaine gauche des seventies...

Faut se remettre dans le contexte de la libération des moeurs qui a été très brutale et pour laquelle avait (a toujours ?) un retard monstre sur d'autres voisins comme l'Allemagne ou les Pays Bas.

Tu pourrais le retrouver, cet appel ?

source mooze = site "news" officieux du FN

Dimanche, dans son éditorial, Jean-Claude Guillebaud, journaliste à Sud-Ouest (et au Nouvel Observateur), écrivait à propos des années 70 et de la pédophilie: «Des crétins dans le vent allaient jusqu'à vanter la permissivité en ce domaine, sans que cela ne suscite beaucoup de protestations. Je pense à ces écrivains qui exaltaient dans les colonnes de Libération ce qu'ils appelaient "l'aventure pédophile".»

"Je faisais un cunnilingus à une amie. Sa fille, âgée de cinq ans, paraissait dormir dans son petit lit mitoyen. Quand j'ai eu fini, la petite s'est placée sur le dos en écartant les cuisses et, très sérieusement, me dit "à mon tour, maintenant". Elle était adorable. Nos rapports se sont poursuivis pendant trois ans.» C'est un homme qui parle. Il s'appelle Benoît. Son interview, titrée «câlins enfantins», est précédée d'une phrase du journaliste: «Quand Benoît parle des enfants, ses yeux sombres de pâtre grec s'embrasent de tendresse.» C'est terrible, illisible, glaçant. Et publié dans Libération le 20 juin 1981.

Une autre fois, en 1979, défendant à pleines brassées de mots et de pages un moniteur d'éducation physique condamné pour détournement de mineur, Libé titre «baudruche» une affaire qu'il estime se dégonfler. Des journaux avaient mis en scène des accusations de «prostitution enfantine», de «traites d'enfants». Tout cela était faux. Ce qui était vrai, en revanche, c'est que cet homme mêlait des enfants à ses saloperies d'adulte. Le journaliste de Libération interroge le juge d'instruction chargé de l'enquête. «Cet homme était-il violent avec les enfants?» «Non, répond le juge, mais il les faisait pisser et chier dans les partouzes.» «Mais y a-t-il proxénétisme?», continue le journaliste. «Non, mais il leur faisait faire des horreurs, jouer avec leurs excréments, ils en mangeaient.» Presque victorieusement, l'article estime avoir démonté la machination parce qu'aucune violence n'avait été exercée sur les enfants. Voilà. Alors «lâchez-nous les baskets», grondait l'article juste à côté, pour lequel cette «baudruche dégonflée» n'est rien de plus que l'expression d'«une campagne d'ordre moral».

Y'a pas vraiment de rapport entre altermedia et le FN, c'est plutôt un site NR et je ne vois pas vraiment ce que ça change. Si une tendance politique s'est toujours placée dans le camp de l'explosion de la vérité c'est bien l'extrème droite française et ce depuis l'Action Française.

Le fait qu'il soit financé par la juiverie capitaliste en se disant de gauche ne veut-il déjà par tout dire?

Halte au mythe palestinien !


La brutalité de la colonisation de la Palestine par les juifs n'est pas une anomalie de l'histoire. Elle n'est probablement pas plus violente et inhumaine que l'occupation du Languedoc par les troupes de Philippe Auguste et de Saint-Louis, pour ne citer que cet exemple. C'est une simple constatation.


Jacques Kupfer, dirigeant du Bétar

Jacques Kupfer était le dirigeant du Bétar en France dans les années 1980. Voici quelques-uns de ses propos relevés dans le livre d’André Harris et Alain de Sédouy, intitulé Juifs et Français (Grasset, 1979, Poche, 1980, pp. 328-344).
Ce juif Juif d’origine russo-polonaise a alors trente ans et se donne pour tâche, de conférences en meetings, de convaincre les juifs français de partir pour Isarël, de faire leur "alyah". Il se dit juif, et uniquement juif : "Je ne suis que juif, pas du tout français… Moi, j’en ai vraiment rien à foutre de la France… S’il n’y avait pas mon père, il y a longtemps que je serais parti en Israël… Ce n’est pas par ma volonté que je reste en France : je ne veux pas abandonner mes parents qui sont trop âgés pour refaire une nouvelle fois leur vie."
Jacques Kupfer voit donc l’antisémitisme d’un œil favorable : "Je souhaite qu’il y ait de plus en plus de croix gammées et de bombes contre les synagogues, dit-il : comme ça, les juifs finiront bien par se remuer le cul !…" C’est d’ailleurs exactement ce que nous dit ce Georges Friedmann en 1965 : "J’ai fréquemment observé, au-dehors des kibboutzim, que les Israéliens ashkénazes, en général des "anciens", réagissent de manière positive à toute nouvelle annonçant une manifestation d’antisémitisme de par le monde. Ils la soulignent et tendent à en grossir l’importance." (Fin du peuple juif ? Gallimard, 1965, p. 289).

A l’instar de Jabotinski, le fondateur du Bétar, Jacques Kupfer entend régénérer le peuple juif. Jabotinski "considérait que le juif de cour, celui qui avait un protecteur, devait disparaître, ainsi que le juif du ghetto qui acceptait les coups. L’un et l’autre devaient céder la place à un nouveau type de juif : capable de combattre et qui apprenait à le faire. Jabotinski voulait que le juif se débarrasse de toutes les souillures, et aussi des idées reçues dans la Diaspora. Nous considérons par exemple, que ce ne sont pas les goyim qui ont créé le ghetto mais les juifs eux-mêmes qui s’y sont enfermés… A l’origine, le ghetto devait être accepté librement, puis les goyim l’ont bouclé. C’était l’endroit où on pouvait librement porter la kippa et vivre en juif, ce qui rendait très difficile les contacts avec l’extérieur. La judaïté ne se perdait pas."

Pour Jacques Kupfer, les juifs du monde entier n’ont d’autre destin que de vivre en Israël. Et à la question du journaliste : "Comment expliquez-vous que si peu de juifs français partent en Israël", il répond : "Mais parce qu’ils sont malades ! Je le dis sans méchanceté, car moi aussi j’ai des traces de cette maladie. Deux mille ans de ghettos, je vous le répète : c’est une maladie qui rend très difficile le fait de se transplanter." Et il insiste sur ce point : "Le peuple juif est malade de deux mille ans de gola [diaspora, ndlr]".
La France lui semble alors être un pays en décomposition : "Quand on parle aujourd’hui en France d’honneur national, de dignité et de fierté de la nation, quand on dit cela en français, on passe pour un débile attardé. Ça ne correspond plus à rien. En hébreu, à l’intérieur du peuple juif, tous ces mots ont une réalité vécue au jour le jour… Pour nous, il n’y a pas une bourgeoisie et une classe ouvrière qui s’opposent. Il y a un peuple juif uni dans un État."
Et il ajoute encore : "On aimerait bien, à partir d’Israël, aider la France à retrouver certaines voies, une certaine dignité qu’elle nous paraît avoir perdue."

Bien sûr, Jacques Kupfer ne nous parle pas du rôle de ses congénères de tous bords dans la dissolution des valeurs nationales, mais au moins, il reconnaît aux Français le droit d’être maître chez eux : "Je nie toute légitimité pour un État juif de régner sur Belleville, la rue des Rosiers et le faubourg Montmartre."

Les nationalistes français se reconnaissent naturellement dans les valeurs que semble défendre ce Jacques Kupfer. Par conséquent, il faudrait nous expliquer pourquoi nous devrions obligatoirement souhaiter la destruction de l’État hébreu. En vérité, le discours antisioniste dominant a pris une place sans doute beaucoup trop importante dans nos milieux, au point que ceux qui se permettent d’émettre une opinion légèrement différente sont immédiatement dénoncés comme des partisans de "l’axe américano-sioniste". Pour notre part, nous sommes d’accord, sur ce point, avec l’analyse de Pierre Vial et Guillaume Faye. On pourra aussi lire l’intéressant article d’Eugène Krampon, avec quelques réserves tout de même, sur le chapitre religieux :
http://www.reflechiretagir.com/rea09.html

L'argent des jeux en tout genre revient-il encore dans les caisses de retraite ? (prévu pour çà au départ! Et il n'y a jamais eu autant de joueurs) ? NON! ;

Je trouve ridicule votre façon de vouloir mettre les "vieux" au rencart, voire à la morgue sans passer par la case départ!

On veut monter les nouvelles générations contre les anciennes!
C'est dingue et insupportable!

Vous allez accepter de bosser jusqu'à vos 70 ans pour toucher une pension de merde ? A mon avis non !!!

Les jeunes sont trop amorphes, de vrais légumes impossible de les monter contre les vieux... Autrement cela fait longtemps qu'ils les auraient dérouillé... La génération de 68 ne se serait pas laissée faire comme la génération d'aujourd'hui dans les conditions actuelles...
Et ce sont les générations anciennes qui pour préserver leur part du gateau (ben oui il ne grossit plus au niveau global) ont mis les jeunes dans cette merde (héhé les égoïstes).