Idée moyenne, on ne va plus suivre grand chose. Y'a pas mal de sujets que je ne lis plus sur "Le Péno" car ils ne sont pas accrocheurs.

Il symbolise alors la toute-puissance de l'Eglise, cultivant son isolement, luttant contre une Europe qui ne serait pas fidèle à la défense de ses racines et ses valeurs chrétiennes. En 2000, contre le gouvernement Simitis (Pasok, autrement dit socialiste), il fait descendre dans la rue jusqu'à 500 000 personnes pour protester contre la suppression de la mention obligatoire de la religion orthodoxe sur les cartes d'identité grecque. Un combat de deux ans qu'il perdra.

Il devient le porte-parole des milieux nationalistes et conservateurs, qualifiant l'homosexualité de "tare", les Turcs de "barbares", moquant les Européens qui n'avaient pas commencé "à créer une civilisation quand les Grecs construisaient le Parthénon". Il flatte les réflexes antiaméricains, qualifiant les attentats du 11-Septembre de "punition divine".

Le 4 mai 2001, il prend à contre-pied un pays très anti-catholiques et reçoit Jean Paul II. C'est sans précédent. Mais il adresse au pape un discours d'une rare violence. Tout y passe : la "manie destructrice des croisés" ; le sac de Constantinople par les Latins (1204) ; le "prosélytisme" des "uniates" (communautés de rite byzantin annexées par Rome), puis le manque de sensibilité catholique pour les tragédies qui ont frappé la Grèce.

Malgré des prises de position controversées, Mgr Christodoulos était populaire, parce que proche du peuple grec pour qui l'Eglise est l'institution qui a préservé la continuité de la culture et de la langue, garanti la liberté contre les Ottomans, enseigné la nation, propagé les idées d'émancipation, et enfin pris la tête, au XIXe siècle, du combat pour l'indépendance. ...

tu veux dire, pas assez rémunérateur peut-être ...

Un topic "Miss Bonnasses" ?