militons pour Assadourian ?...

C'est évident . La promotion en interne doit s'appliquer , et ce serait un beau signal pour les jeunes , un signe fort de la part du club de leur faire confiance . Après il n'a peut être pas tous les diplômes requis c'est là qu'est l'os !

bof, pas sûr que ça marche avec des pros.

Disons que dans le genre : j'ecoute personne et je fais keske j'veux il est encore pire que Dupont!

Certes, mais en dehors d'une petite partie du Léon, tout le monde s'en fout des compos du ch'ti.
Il présente l'avantage de la discrétion, et donc d'une relative tranquillité.
Reconstruire au calme ...

Non, construire, mais pas avec le ch'ti, ni Domenech.

A Brest, l'avenir se précise ...

Alors que la venue du leader, Dijon, se profile vendredi soir, l'avenir du Stade Brestois se construit en coulisses entre l'actuel président, Yvon Kermarec, et son probable successeur, Denis Le Saint, qui devrait rapidement annoncer ses intentions.

Au Stade Brestois, dans les bureaux, au bord des terrains, on se prépare à la suite. Après trois années de présidence, Yvon Kermarec, actionnaire majoritaire à hauteur de 51%, arrive au bout de son mandat et a déjà annoncé son intention de rester au club tout en passant la main à la présidence. Le seul candidat connu à ce jour, Denis Le Saint - co-président, avec son frère Gérard, du club de handball féminin, le Brest Bretagne Handball, appelé à jouer les premiers rôles en LFH dès la saison prochaine, et du groupe éponyme en pleine croissance, deuxième distributeur de fruits et légumes en France notamment (1) - prépare depuis plusieurs mois son arrivée à la présidence. Selon plusieurs sources concordantes, l'annonce n'est plus qu'une question de timing et devrait être officielle dans les prochaines semaines, peut-être avant la fin du mois.

Quel entraîneur ?

Avec 43 points depuis sa victoire à Valenciennes (0-1) vendredi, le Stade Brestois est sauvé et possède même encore une infime chance de monter en Ligue 1. Le critère sportif n'est donc pas un obstacle. Denis Le Saint a donc les mains libres pour décider du bon moment, sachant qu'il n'y en aura pas de mauvais puisque tout semble réuni pour que le passage de témoin se fasse en douceur.
Pour l'heure, il n'y a pas urgence et le moment choisi ne sera pas lié, en tout cas, à l'annonce du futur entraîneur. C'est le dossier principal, celui sur lequel Denis Le Saint planche depuis plusieurs semaines déjà, le club ayant entre les mains une longue liste de CV de candidats postulant à la succession d'Alex Dupont, en fin de contrat et sur le départ. Denis Le Saint a ainsi rencontré Pascal Dupraz il y a quelques mois, mais ce ne sera pas lui puisque ce dernier a pris la direction de Toulouse et de la Ligue 1. Ancien joueur du Stade Brestois de 1982 à 1986, Dupraz remplissait pourtant tous les critères correspondant au profil souhaité par Denis Le Saint. Il pencherait plutôt vers un Breton ou un ancien joueur du club, ou, du moins, vers un entraîneur qui parle au football breton.
Et qui, surtout, serait capable de porter un projet qualifié par beaucoup comme un projet recentré sur l'identité locale et régionale, certains évoquant également l'idée d'une mutualisation des moyens dans certains domaines (partenaires, public..) entre le club de foot et le club de hand.
Un vaste chantier
S'il est central, le dossier de l'entraîneur n'est pas le seul chantier qui attend le futur président, l'été prochain faisant figure de véritable virage pour le club. Les grues construisent le centre de formation, qui sera prêt pour l'été à Penhelen, une pelouse hybride sortira bientôt de terre au stade Francis-Le Blé et Denis Le Saint participe activement aux négociations concernant l'éventuel déplacement du centre d'entraînement des pros sur les installations de l'AL Coataudon, à Kerlaurent, sur la commune de Guipavas. Beaucoup de dossiers restent également en suspens dans le secteur sportif : les éducateurs du centre de formation, le staff d'Alex Dupont (2) et 14 joueurs sont en fin de contrat (3), sans parler de la situation du directeur sportif Jean Costa, qui a signé un CDI à son arrivée l'été dernier et dont l'avenir au club reste incertain. Assis aux côtés du président Kermarec, samedi, pour assister au 8e de finale de Coupe Gambardella entre Brest et Lille, puis de passage dans les vestiaires pour féliciter les jeunes et glissser un « bravo coach » à Eric Assadourian avant de glisser une tape amicale au capitaine Corentin Jacob au moment de quitter le stade, Denis Le Saint avait enfilé le costume de président, samedi soir, un costume qu'il portera bientôt. C'est tout sauf anodin d'avoir choisi ce match de jeunes disputé à Le Blé, passerelle entre le présent et le futur, pour se mettre un peu plus en avant. On peut même y voir un côté symbolique : ce match de Coupe Gambardella représentait bien l'avenir du club à double titre. Un avenir qui se précise... (1) Le réseau Le Saint, c'est 1.200 salariés en France pour un chiffre d'affaires annuel de 350 M€. (2) Eric Guichard (entraîneur adjoint), Julien Lachuer (entraîneur des gardiens), Anthony Grech-Angelini (préparateur physique). (3) Hartock, Belaud, Lorenzi, Fanchone, Brillault, Sankoh (p.), Grougi, Ranneaud, Doumbia, Cuvillier, Alphonse, Sea (prêté à Amiens), Koubemba (p.), Sané.
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/football/a-brest-l-avenir-se-precise-15-03-2016-10993644.php#FUASgBEAd80M6PVU.99

Le début de quelque chose de grand.

Le Saint, démission !

Enfin un avenir encourageant pour nous pauvres supporters, ca fait plaisir!

La ligue 1 en 2020 ?

Le Saint, le Messi ?

Le après lui ça sera magnifique

attendons de voir avant de juger...

Je ne vois pas en quoi Raymond est un problème pour certain ?
Si il s'entoure de 1 ou 2 joueurs d'expériences et s'il garde des gars comme Ewolo pour tenir les vestiaires et canaliser les joueurs un peu plus dissipé, je pense que ça pourrait être bon pour le club.
Le gars avait dit dans son biopic il y a quelques années que durant un stage de préparation à Plouguerneau (pour l'euro 2008 il me semble) qu'il était tombé amoureux de la pointe bretonne, et pour moi, les amoureux de mon pays, adoptif ou non, sont les bienvenues alors je lui laisse ma chance