Marc Coatanéa tête de liste... Au moins ça résume l'affaire.
Ce qui suit n'est pas mieux : Ferrand, Bui, Bras, Lebranchu...
Le pire étant que le PS va quand même gagner.

Que des planqués de la fonction publique qui n'ont jamais rien fait de leurs dix doigts.

Un sondage donnerait le PS à 46 % au 2ème tour, l'UMP à 36 % et le FN a 18 %...

Le vote FN, c'est du pain-béni pour le PS. D'ailleurs le PS mise là-dessus pour s'accrocher à ses strapontins.

Pour un breton, et encore plus lors d'élections régionales, c'est vraiment le vote masochiste et contre-productif par excellence.

http://www.francetvinfo.fr/elections/re ... 36591.html

La gueule de la Bretagne rabougrie...un représentant de 70 piges (sans doute un projet de la "gauche moderne" : travailler jusqu'à 70 berges) qui part, revient, place des polichinelles...à la tête d'une Bretagnette de + en + faible qui pourra être fusionnée en 2 coups de cuillère à pot avec la Sarthe et la Vendée...le tout avec un gouvernement qui sera peut-être pas très proche politiquement de Le Drian en 2017 (contrairement aux régions voisines)...je donne pas cher du retour des impôts versés par les bretons.

Intéressant.

Le coup de couteau de l'UDI Lagarde dans le dos de Marc Le Fur. Rien d'étonnant de la part de ce sinistre personnage
http://www.lepoint.fr/regionales-2015/r ... 9_2592.php

Lagarde fait la même chose en Midi-Pyrénées-Languedoc, les 2 régions avec l'Aquitaine où le PS a de bonnes chances de gagner d'après les derniers sondages.

Franchement je vois pas trop ce que ça change pour les électeurs. L'UDI n'a pas de signification politique propre.

Le Fur ne plait pas à des élus UDI notamment pour ses positions très bretonnes (Réunification, langues régionales) en particulier le maire de Paimpol, De Chaisemartin (made in Neuilly-sur-Seine comme un nombre incalculable de politicards français).

Enfin bon tout cela ne changera rien, avec un FN au 2ème tour, la Droite a 0 chance en Bretagne. A moins que Troadec accède au 2ème tour ce qui donnerait un peu plus de suspense.

La Bretagne étriquée aura donc un septuagénaire "de l'opposition" en 2017, dont le principal fait d'arme politique aura été d'être le VRP de l'industrie nucléaro-militaire française.