Comme tu dis week end de meerde ... Tain ils négocient super bien leurs derbys : victoires face à Lorient , Rennes et Nantes ! On serait resté en ligue 1 on y avait droit !

Comme quoi on a bien fait de descendre

Vincent Richetin a donné la victoire à Plab' contre Pontivy.

ribéry au cfc, un beau sous entendu qui indique bien que malgré les belles aventures possibles, brest ne reste qu'une étape pour tous joueurs un peu ambitieux...

"on était en coupe de france contre nantes, mon père m'a dit 'peu importe si tu gagnes ou pas, faut que tu brilles.'.. et j'ai fait un bon match, j'ai brillé, après, nantes et metz se sont intéressés à moi..."

Qu'est que c'est mérité pour Nolan son joli but contre les mickeys de Marseille.
Quel régal de le voir jouer et se donner à fond sur le terrain.Certains devraient en prendre de la graine .
Son état de fatigue à la fin du match résume toute son activité sur le carré vert.

Ouais gros match de l'ancien idole de Le Blé. Il s'est battu comme un lion tout le match. Il est récompensé par un but sur la fin pour toute sa hargne qu'on lui connaît. N'oublions pas le péno non sifflé non plus...Ca se siffle pour Paris ou l'OM ce genre de fauchage de gardien...

Haha on dirait Dupont ou Fan-Slip 29, "On siffle jamais pour mon équipe"

Un peu marre des gens qui chialent sur la médiocrité de l'arbitrage en France

Très beau but, le centre est juste parfait aussi, dommage qu'on voit pas ça de nos latéraux..

2 revenants titulaires ce soir : Ba et Raspentino

Tiens vu tout à l heure Yann Danielou sur le banc de L ACA...

Le moineau migrateur !

http://www.letelegramme.fr/sports/divers/coupe-de-france-8e-tour-cherbourg-stade-brestois-samedi-18-h-goavec-le-moineau-migrateur-05-12-2013-2327565.php

Surnommé « le moineau » depuis son passage au Stade Brestois de 1977 à 1980, Denis Goavec, aujourd'hui entraîneur de Cherbourg, volede club en club. « Toujours à la recherche d'émotions fortes », confie-t-il.


« Je ne calcule rien. Moi, je suis dans le coup de coeur ». Voilà comment Denis Goavec parle d'une carrière qu'il qualifie lui-même d'« atypique ».À 56 ans, « le moineau » migrateur s'est donc posé à Cherbourg, un club qui « a failli mourir cet été et qui repart de zéro ». Ça ne lui fait pas peur. Sa vie d'entraîneur se poursuit comme elle a toujours filé, d'aventure en aventure. Nul ne sait quand ni où elle finira. Et surtout pas lui : « Je ne suis pas dans la routine, j'ai horreur de ça ».

Sa femme à Plérinson fils à Plouzané

Denis Goavec puise toute sa force de la Bretagne. Il n'y est pas né mais c'est ici que repose sa vie. Sa femme habite à Plérin et l'un de ses fils, Maël, joue au foot à Plouzané. Et, pour ses débuts d'entraîneur, il a tout d'abord fait monter Saint-Brieuc de DSR en Ligue 2 alors que « je ne savais pas vraiment si ça allait me plaire. Je ne pouvais rêver mieux car j'ai trouvé un groupe incroyable, celui des Satorra, Druon, Carteron, Eouzan. Des mecs qui faisaient tout à fond : le foot comme la fête. Maintenant, les jeunes, ils font tout à moitié ». Ce n'est pas à lui que ça arriverait.Alors que le foot féminin n'était qu'à ses balbutiements, il n'a pas hésité à diriger les filles de Saint-Brieuc à la demande de Françoise Jézéquel. « Vous l'avez déjà vu jouer au foot ? Elle était incroyable... » Il a aussi foncé en Avignon lors de cette année exceptionnelle en tant qu'adjoint de Michel Estevan lors de la montée du club en Ligue 1 avec « des mecs qui venaient de nulle part ». Il a aussi été sélectionneur du Bénin sans l'être : « Il y a avait de tels conflits à la Fédération que je n'ai fait qu'attendre. Je n'ai jamais entraîné mais j'ai adoré ce pays ».Il a aussi entraîné le deuxième club de la République démocratique du Congo, l'ASV Kinshasa... et ses « 120.000 spectateurs pour les matchs de Ligue des champions d'Afrique. J'en avais la chair de poule. J'ai toujours recherché ça, ces moments d'exception. Et recevoir Brest en est un pour nous ». Surtout pour lui.

« J'étais trop jeunepour entraîner Brest »

Car c'est bien à Brest que Denis Goavec a vécu ses plus moments de joueur avant d'y vivre l'un de ses seuls regrets de sa carrière d'entraîneur. « J'avais connu un insolent succès avec Saint-Brieuc mais j'étais trop jeune pour entraîner Brest. Je n'étais pas prêt. Le club était en pleine traversée du désert. Je n'ai pas retrouvé ce que j'avais vécu en tant que joueur. Voir les tribunes clairsemées, je ne m'y attendais pas ». C'était en effet une autre époque que celle qu'il avait connue comme joueur et qui l'a profondément marqué. « Sans hésiter, ce sont mes meilleurs moments de joueur. J'étais un p'tit jeune de 19 ans qui débarquait de la région parisienne et j'ai été frappé par l'humilité des Lenoir, Bernard, Loulou Floch. Ah, Loulou Floch, c'était une star humble. Je garde toujours cet exemple en tête. Et je ne suis pas le seul à avoir été profondément marqué par l'union entre l'équipe et le public brestois. J'ai eu la chance de vivre le foot à ce moment-là ».

Eric Daniellou
Tags : coupe de France stade brestois

« Ah, Loulou Floch, c'était une star humble. Je garde toujours cet exemple en tête ».

Denis Goavec entraîneur de Cherbourg.

C'est triste pour Bastia je trouve d'afficher Adama Ba titulaire dans un club de Ligue 1 alors qu'on sait ce qu'il a fait à Brest.

Mais si jamais il explose à Bastia, tant mieux, sinon, tant pis !

Il n'était pas titulaire mais a remplacé Khazri blessé au bout de 15min.

Autant pour moi, je me basais sur l'info de Quag, j'avoue que je suis beaucoup moins la Ligue 1 depuis le début de saison

A gauche alors ? C'est d'autant plus étonnant dans ce cas

Pas vraiment vu dsl, un peu pareil la L1 c'est allumé à la TV mais je ne suis pas attentivement, juste tilté là dessus en entendant le nom de nos anciennes vedettes.