Non, il y en a plus que deux. Je ne compte pas le diabète gestationnel car il est très généralement temporaire mais il en existe d'autres à classer dans les "diabètes secondaires" dont un que j'ai découvert à la suite d'une rencontre avec une souffrante. Le problème est que les souffrants des types secondaires sont tellement peu qu'ils sont encore moins visibles que le type 1. Leur maladie a des particularismes qui font qu'ils se sentent seuls et sont toujours obligés de tout réexpliquer. C'est fatiguant. Mais tant que les media et les quelques médecins mis en lumière (pour de bonnes raisons bien sûr ) continueront avec leurs généralités, rien ne changera.
Ca me fait penser au sketch de Coluche :
"Dieu a dit : « Il y aura des hommes blancs, il y aura des hommes noirs, il y aura des hommes grands, il y aura des hommes petits, il y aura des hommes beaux et il y aura des hommes moches, et tous seront égaux » ;
Et puis il a dit : « Mais ça sera pas facile…».
Et puis il a ajouté : « Il y en aura même qui seront noirs, petits et moches et pour eux, ce sera très dur. »."

Pour les type 1 et le sport, je ne suis pas d'accord car les efforts qu'ils effectuent pour soigner leur maladie leur sert au final car ils mangent mieux et ne fument généralement pas (dans l'idéal). C'est dès qu'un problème arrive que les choses se compliquent. Par exemple, un diabétique de type 1 met souvent bien plus de temps à récupérer d'une angine car il y a l'infection à soigner et ses conséquences (glycémie en vrac). Le problème pour les type 1 est plus le pied que l'Etat leur met sur la gueule alors qu'ils n'ont rien fait pour choper cette maladie.
J'avais été étonné dans les années 2000 que le stade n'ait pas de nutritionniste, élément essentiel pour performer. Bon il n'avait pas de traducteur non plus hormis Licka.

A noter la énième passe dé' de Honorat hier pour le but du Borussia contre Sarrebruck en 1/4 de finale de la coupe d'Allemagne.
Insuffisante pour éviter l'élimination surprise de sa formation contre une D3.
Il fait une belle saison très visiblement loin de chez nous.