Je ne remets pas 1 ct dans ton juke-box,sans saveur....

Fais gaffe, tu as perdu le goût.

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Extraits :
« Le Covid-19 a été la goutte d’eau, j’en avais marre » : ce médecin est parti exercer aux antipodes

Mars 2020, le Covid-19 et le premier confinement en France. Depuis deux ans, comment ce coronavirus et les conséquences de la pandémie ont-ils changé nos vies ? Des hommes et des femmes témoignent. Épuisé et échaudé par la gestion de la pandémie, le Dr Michaël N. a fermé son cabinet dans le Var pour aller exercer en Nouvelle-Calédonie.

« Le Covid-19 a été la goutte d’eau. J’en avais marre. J’étais épuisé. Je travaillais comme un fou. Et je n’avais pas envie de faire un burn-out ou de terminer comme tous ces médecins dépressifs. » Le Dr Michaël N., 46 ans, a fermé son cabinet fin 2020. Dix-sept ans qu’il était installé au Beausset, dans le Var. « J’ai eu un peu l’impression d’abandonner mes patients, de les lâcher. J’ai un peu culpabilisé. Mais ils ont compris », estime le médecin.

Direction la Nouvelle-Calédonie avec sa femme, psychologue, et leur fils, alors âgé de 9 ans. Il voulait partir loin. Sa famille était partante. Ce territoire d’outre-mer avait la particularité de ne pas être touché par le Covid-19 à ce moment-là. Et il pouvait facilement y travailler.

C’est de là qu’il nous raconte le parcours qui l’a conduit aux antipodes. Pour lui, il est 22 h, douze heures de décalage avec la métropole. Il a fini sa journée de travail. Il est toujours médecin. Mais plus serein.

« Je bossais énormément »
Avec le recul, il parle de « fatigue », « d’overdose », de « ras-le-bol » et « d’usure » pour dépeindre son état d’esprit de 2020. « J’avais un gros cabinet dans le Var et avais construit une maison de santé. Je bossais énormément, j’étais aussi médecin coordonnateur gériatre dans une maison de retraite, maître de stage pour des étudiants en médecine. Je faisais des gardes aux urgences… », décrit-il.

Michaël N. se souvient du début de l’épidémie en Europe, avant les annonces d’Emmanuel Macron. « Je me battais avec la mairie pour prendre des décisions. Je leur ai dit : on va protéger nos anciens en les confinant. Je sentais que ça allait mal tourner. Je me suis fait rabrouer par la mairie. » Il confine tout de même l’Ehpad, « un petit établissement public, familial et pas très cher ». « C’était la bonne décision : nous n’avons eu aucun décès », souligne-t-il encore aujourd’hui.

« Les déficiences monstrueuses du système français »
Deux mois plus tard pendant le premier confinement, il fait part de son désarroi dans le journal Var matin . « C’était un coup de gueule. Je trouvais que c’était le bazar. Les professionnels étaient perdus. Ça partait dans tous les sens, avec des décisions contradictoires – mettre le masque, ne pas le mettre. Il y avait des problèmes d’approvisionnement aussi. »

On bosse, on a le nez dans les livres, on sacrifie nos plus belles années pour être efficace […] et, finalement, quand on sort diplômés, notre parole n’a pas toujours de poids

Pour lui, cette crise a un peu plus mis au jour « les déficiences monstrueuses du système français ». « On a des besoins humains, on a besoin d’être attractif. Les infirmières sont payées des misères et font des horaires de fou. Il y a aussi les aides-soignants et les autres professionnels de santé. Le système était déjà essoufflé bien avant le Covid. Là, c’était la goutte d’eau », répète le Dr Michaël N.

Publiée en décembre 2021, une enquête de la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) menée auprès de 1 100 établissements de santé (publics, privés non lucratifs et privés lucratifs) indiquait que 1 245 infirmières et infirmiers avaient démissionné en un an.

Le Dr Michaël N. évoque aussi la défiance vis-à-vis de la parole des médecins. « Quand on fait douze ans d’études, c’est long. On bosse, on a le nez dans les livres, on sacrifie nos plus belles années pour être efficace, on apprend pour ne tuer personne et, finalement, quand on sort diplômés, notre parole n’a pas toujours de poids. » Face à l’administration, aux politiques mais aussi pour certains patients, selon lui.

« On a revécu normalement, sans Covid »
Avec son épouse et leur fils, ils sont donc partis en Nouvelle-Calédonie. La famille passe alors quinze jours confinée à l’hôtel, avant de profiter de l’été austral. « On est sorti, on a fait un resto, on a revécu normalement. Sans Covid. » Le soleil, la mer turquoise, les îles. « Ça m’a permis de souffler quelques mois puis de retourner me battre contre le Covid. » Car le coronavirus n’a pas finalement pas épargné la Nouvelle-Calédonie. « Mon expérience métropolitaine m’a beaucoup aidé », relève-t-il.

Pourquoi n’a-t-il pas aussi changé de métier ? « Je ne sais faire que ça…, répond-il, en riant. Je n’avais jamais vraiment imaginé arrêter mais je voulais exercer autrement. C’est sympa d’aller sur la plage, mais je reste quand même médecin. C’est un super boulot. J’avais besoin de me rendre utile. »

Le Dr Michaël N. travaille à nouveau en cabinet, comme généraliste, mais aussi comme gériatre pour plusieurs maisons de retraite. « J’ai redécouvert mon métier, confie-t-il. Nous avons beaucoup appris et changé notre vision des choses sur la vie, le monde, la crise du Covid-19 et la métropole. » Et pas parce que sa famille et lui peuvent nager le week-end dans des eaux transparentes.

Les vrais médecins ont continué à soigner malgré les contraintes et les interdictions.

Allergie massive aux cacahuètes à l'Open de tennis de Miami : 15 abandons.
Pour info, cela ne s'était jamais passé dans un tournoi de tennis avant.
Les responsables de l'ATP s'interrogent...c'est bien !

Dr Scouty va enquêter...
On attend son analyse avec impatience

Des côtes fissurées peut être ?

Le coup du Terrier peut-être (plus connu sous le nom du lapin)

Pour ne rien voir, tu dois avoir un début de myxomatose.

@ Doc Scouty

T'as des nouvelles du Covid des côtes de Nadal ?
Et le malaise d'Eriksen ? Moderna ou Pfizer ?
Et Terrier ? Il va mal ?

Pourquoi tu me parles d'Eriksen ? Je ne l'ai jamais associé au vaccin Covid. Les autres oui. Sois aussi précis qu'une aiguille, ça changera un peu....
15 abandons dans un tournoi ATP : du jamais vu !!
Sinon, est ce qu'il faut t'appeler agauchegauchegauche au regard de ton nombre de doses ?

Docteur Scouty,votre mémoire est aussi défaillante que vos analyses footballistiques (jurisprudence Kiki/Chardo/Charbo...).

Donc tournoi de Miami,le monde vous écoute ?

@agauchegauchegauche
15 abandons ce qui n'est jamais arrivé.
Je penche pour une overdose de cacahuètes voire une série de côtes fissurées sous l'action du vent violent de Miami.
Tout est possible pour les crédules en football et en sciences !

Diagnostic irréparable !

Vous exercez où à part sur AB Dr Scouty ?