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MessagePosté: Lun 11 Juin, 2007 11:58 
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Bernard Lama
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Hue Cocotte Hue !

Citation:
Le pic du cycle haussier des taux de la BCE pas atteint /Wellink

FRANCFORT, 11 juin (Reuters) - Les taux d'intérêt de la zone euro n'ont pas encore atteint le pic de leur cycle haussier, estime le Néerlandais Nout Wellink, membre du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne.

"Nous avons pris un certain nombre de mesures de politique monétaire dans le passé et, comme nous l'avons bien sûr toujours dit, nous surveillerons la situation et attendrons les prochains indicateurs, mais je pense que nous ne sommes pas encore au bout du chemin", a-t-il dit à l'agence de presse Market News International en Moldavie.

La BCE ne doit pas baisser sa garde, remarque Wellink dans cette interview publiée lundi, en expliquant que la croissance de la zone euro s'est avérée plus forte que prévu et a relancé les secteurs faibles de l'économie.

Ces commentaires sont conformes aux anticipations des analystes, qui tablent sur une poursuite du resserrement monétaire après celui de 25 points de base qui a porté la semaine dernière le taux de refinancement de la BCE à 4,00%.

L'irlandais John Hurley, également membre du conseil des gouverneurs de la BCE, a pour sa part déclaré lundi que la banque centrale de la zone euro agirait comme il conviendra de le faire pour juguler les risques d'inflation à moyen terme mais ne préjuge pas de son action.

"J'insiste sur le fait que nos futures décisions ne sont pas prédéterminées et qu'il n'y a pas de pré-engagement à une future action politique quelle qu'elle soit", a-t-il dit lors d'une conférence à Dublin, en évoquant la possibilité d'un regain du taux central d'inflation à partir de septembre./DR

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MessagePosté: Mar 12 Juin, 2007 21:47 
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Bon je crois que c'est clair Sarko est à la masse !

Citation:
Nicolas Sarkozy a demandé aux banques de "faciliter l'accès au crédit pour le plus grand nombre et notamment de permettre à ceux qui ont des revenus irréguliers d'emprunter pour accéder à la propriété", a-t-il ajouté.


C'était en 1997 qu'il fallait faire ça pas en 2007 alors que l'immobilier est surévalué comme ce n'est pas permis... Si ce genre de déclaration est suivi d'effet nous allons avoir le même problème que les US avec les SubPrime.

Et pas un banquier qui ait les couilles de lui expliquer ce qui se passe aux US !


Citation:
Sarkozy demande aux banques de "faciliter l'accès au crédit pour le plus grand nombre"

Nicolas Sarkozy a demandé mardi soir aux représentants des banques de "faciliter l'accès au crédit pour le plus grand nombre", en particulier pour les emprunts immobiliers. Au cours d'une réunion à l'Elysée avec les représentants des banques, des assurances et des autres professions financières, "le thème de l'accession au logement a été un point central de la discussion", a rapporté le porte-parole du président, David Martinon.

Nicolas Sarkozy a demandé aux banques de "faciliter l'accès au crédit pour le plus grand nombre et notamment de permettre à ceux qui ont des revenus irréguliers d'emprunter pour accéder à la propriété", a-t-il ajouté. Cette question, ainsi qu'une amélioration de la transparence des services bancaires, figurent au menu du "plan d'action" dont M. Sarkozy a chargé son ministre de l'Economie et des Finances Jean-Louis Borloo.

Dans un communiqué, l'Elysée a ensuite précisé que M. Borloo devrait également organiser "le plafonnement des frais bancaires en cas d'incident de paiement", qui "sera prévu par décret".

Ce "plan d'action" portera aussi sur le renforcement de la compétitivité de la place financière de Paris et sur les moyens de "faciliter le financement des entreprises et notamment des PME", selon David Martinon. Sur cette question, un des objectifs est "d'orienter l'épargne des ménages vers les investissements les plus productifs", ce qui pourrait se faire par "une approche éventuellement rénovée de la fiscalité de l'épargne", a-t-il ajouté sans plus de précision.

"C'est la première fois qu'un président de la République nous réunit en nous exposant quelles sont ses motivations", a salué le président de la Fédération bancaire française Charles Milhaud. Il a demandé "de faire en sorte que nous puissions contribuer au développement de notre pays" et "il aura derrière lui tous les acteurs financiers", a encore promis M. Milhaud.

Jean-Louis Borloo, qui a participé à la réunion, devrait rencontrer rapidement les professionnels du secteur ainsi que les associations de consommateurs et les représentants des entreprises pour pouvoir présenter en septembre ou octobre "un plan d'action le plus précis possible" sur ces sujets, a précisé le porte-parole de l'Elysée. AP

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MessagePosté: Mar 12 Juin, 2007 22:00 
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Inouï nous sommes en train de vivre de grandes chose :
les marchés obligataires américains en pleine déconfiture

les taux longs se tendent à une allure inouï...

http://www.marketwatch.com/quotes/tnx

+ 2.16 % en 1 journée !!!!

JE N'AI JAMAIS VU CA !

FacedeCraie si tu passes dans le coin ton avis m'intéresse...

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MessagePosté: Mer 13 Juin, 2007 9:16 
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Rising food prices take a bigger paycheck bite

The U.S. Department of Agriculture reported a 7.3% jump in food prices in the first quarter of 2007.
Okay, 7.3% doesn't match the 50% increase in gas prices.

Beurre 31%
Fromages, up 65%
Lait, up 117%
Poulet up 17.5%
Beef, select, up 12.8%

Maïs, soja, blé, avoine, orge are all up from 5% to 35%

http://www.marketwatch.com/news/story/w ... 0F10EBF%7D

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MessagePosté: Mer 13 Juin, 2007 16:32 
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Jean Pierre Bosser
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phev a écrit:
Bon je crois que c'est clair Sarko est à la masse !

Citation:
Nicolas Sarkozy a demandé aux banques de "faciliter l'accès au crédit pour le plus grand nombre et notamment de permettre à ceux qui ont des revenus irréguliers d'emprunter pour accéder à la propriété", a-t-il ajouté.


C'était en 1997 qu'il fallait faire ça pas en 2007 alors que l'immobilier est surévalué comme ce n'est pas permis... Si ce genre de déclaration est suivi d'effet nous allons avoir le même problème que les US avec les SubPrime.

Et pas un banquier qui ait les couilles de lui expliquer ce qui se passe aux US !


Citation:
Sarkozy demande aux banques de "faciliter l'accès au crédit pour le plus grand nombre"

Nicolas Sarkozy a demandé mardi soir aux représentants des banques de "faciliter l'accès au crédit pour le plus grand nombre", en particulier pour les emprunts immobiliers. Au cours d'une réunion à l'Elysée avec les représentants des banques, des assurances et des autres professions financières, "le thème de l'accession au logement a été un point central de la discussion", a rapporté le porte-parole du président, David Martinon.

Nicolas Sarkozy a demandé aux banques de "faciliter l'accès au crédit pour le plus grand nombre et notamment de permettre à ceux qui ont des revenus irréguliers d'emprunter pour accéder à la propriété", a-t-il ajouté. Cette question, ainsi qu'une amélioration de la transparence des services bancaires, figurent au menu du "plan d'action" dont M. Sarkozy a chargé son ministre de l'Economie et des Finances Jean-Louis Borloo.

Dans un communiqué, l'Elysée a ensuite précisé que M. Borloo devrait également organiser "le plafonnement des frais bancaires en cas d'incident de paiement", qui "sera prévu par décret".

Ce "plan d'action" portera aussi sur le renforcement de la compétitivité de la place financière de Paris et sur les moyens de "faciliter le financement des entreprises et notamment des PME", selon David Martinon. Sur cette question, un des objectifs est "d'orienter l'épargne des ménages vers les investissements les plus productifs", ce qui pourrait se faire par "une approche éventuellement rénovée de la fiscalité de l'épargne", a-t-il ajouté sans plus de précision.

"C'est la première fois qu'un président de la République nous réunit en nous exposant quelles sont ses motivations", a salué le président de la Fédération bancaire française Charles Milhaud. Il a demandé "de faire en sorte que nous puissions contribuer au développement de notre pays" et "il aura derrière lui tous les acteurs financiers", a encore promis M. Milhaud.

Jean-Louis Borloo, qui a participé à la réunion, devrait rencontrer rapidement les professionnels du secteur ainsi que les associations de consommateurs et les représentants des entreprises pour pouvoir présenter en septembre ou octobre "un plan d'action le plus précis possible" sur ces sujets, a précisé le porte-parole de l'Elysée. AP




et pas un banquier pour expliquer a phiphi ce qui se passe aux us non plus....


mais reviens ur terre la france tu connais ok ....mais faudrait que quelqun t explique la realite du terrain aux us....ta credulite est a mourrir de rire(un fois de plus des copier colles c est bien mais veirfie tes sources et la veracite de celles ci)

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MessagePosté: Jeu 14 Juin, 2007 10:56 
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INCROYABLE : le taux de l'argent au jour le jour (Eonia) prend 7% dans la journée !

http://www.fininfo.fr/fininfong/GetTaux ... 2CXX%2C244

TouT Va BieN ! ™

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MessagePosté: Ven 15 Juin, 2007 23:38 
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http://www.latribune.fr/info/Faut-il-s- ... Online.nsf

Citation:
Journal

La Tribune - 15/06/07 - 862 mots
le débat du jour
Faut-il s'inquiéter de la hausse des taux longs ?
Les taux d'intérêt des obligations américaines à 10 ans sont montés à leur plus haut niveau depuis cinq ans. Les marchés financiers prennent enfin en compte la vigueur de la croissance aux États-Unis et les mises en garde répétées des banquiers centraux sur les risques d'inflation. L'époque de l'argent bon marché semble ainsi toucher à sa fin.

Nicolas Bouzou, économiste, directeur d’Asteres
Oui : " Un retour à la normale, mais porteur de menaces " (Nicolas Bouzou)

On ne peut pas nier que le marché obligataire américain est nettement surévalué, c'est-à-dire que les taux d'intérêt sont bien trop bas par rapport à la croissance mondiale qui reste forte. Et ce, même si l'inflation reste relativement faible. La remontée des taux longs aux États-Unis et en Europe peut ainsi apparaître comme un ajustement nécessaire et sain. Les anomalies finissent en effet toujours par se corriger. Mais ce " retour à la normale " est porteur de lourdes menaces. D'autant que l'on ne peut exclure, loin de là, une poursuite de la hausse, qui plus est avec des à-coups, car les mouvements sont toujours brusques sur les marchés obligataires. Certes, il n'existe pas encore de réelles anticipations inflationnistes mais la croissance est plus importante que prévu en Europe, le marché du travail aux États-Unis est toujours robuste et les importations venant des pays " low-cost " sont de moins en moins bon marché. Autant d'éléments qui peuvent soutenir un mouvement généralisé de hausse des taux. Lequel touche directement l'ensemble des actifs liés à la dette - comme l'immobilier - et tous les compartiments du marché de la dette, comme le financement des opérations de rachat avec de la dette (LBO) ou le gigantesque marché des dérivés de crédit. Ces risques potentiels sur les compartiments du marché de la dette ne doivent pas être négligés. Enfin, les marchés actions, toujours portés par les fusions et acquisitions (grâce d'ailleurs aux LBO) et les bons résultats des entreprises, pourraient connaître des lendemains plus difficiles.

Christian Parisot, économiste chez Aurel Leven
Non : " Les taux devraient rester à leurs niveaux actuels " (Christian Parisot)

La hausse des taux longs aux États-Unis est plutôt une nouvelle rassurante ! Elle traduit en effet une prise de conscience des marchés financiers de la solidité de la croissance aux États-Unis et dans le monde. Jusqu'ici, les marchés étaient restés sourds aux messages du président de la Réserve fédérale sur les risques d'inflation. Ils privilégiaient un scénario de ralentissement de l'économie américaine et anticipaient plutôt une nouvelle baisse des taux. Or la croissance américaine et mondiale reste soutenue. Un autre élément, plus nouveau, vient conforter l'analyse des banquiers centraux sur les risques d'inflation : les pressions désinflationnistes des pays à bas coût, comme la Chine, sont de moins en moins fortes. Ainsi, les prix des produits importés de Chine aux États-Unis ont augmenté de 0,1%en glissement annuel contre un recul de 1,4 % un an plus tôt. Dès lors, des taux réels aussi bas ne reflétaient plus la réalité économique et c'est désormais une probabilité d'une hausse des taux courts à la fin de l'année qui est privilégiée par les marchés. Nous sommes ainsi passés, comme c'est souvent le cas sur les marchés, d'un extrême à l'autre ! Pour autant, les taux longs devraient rester à leurs niveaux actuels. D'abord, parce que le risque d'inflation existe mais reste contenu. Ensuite parce que les gérants, avec la hausse des rendements, vont revenir progressivement sur les marchés obligataires et freiner ainsi la hausse des taux. Mais le message est clair : l'époque de l'argent bon marché touche à sa fin et cela va permettre de renouer avec des comportements plus vertueux et moins spéculatifs.

Une énigme chasse l'autre
La journée de mercredi a été mouvementée sur le marché obligataire, déjà secoué par plusieurs alertes : le taux de l'emprunt américain à 10 ans a touché un plus-haut de 5,32 % avant de refluer quelques minutes plus tard vers 5,25 %. Ce mouvement brusque, certes habituel sur ces marchés, traduit la grande nervosité des banques et des fonds spéculatifs. Pourtant, clament les économistes, la remontée des taux se justifie par une croissance économique soutenue, qui a déjoué les anticipations des marchés. La fameuse "énigme" soulevée en 2003 par l'ancien président de la Réserve fédérale, Alan Greenspan, qui s'interrogeait sur l'absence de réaction des taux longs à la hausse des taux directeurs des banques centrales, semble donc se dissiper. Toutefois, une sourde inquiétude persiste. Et après ? La hausse ne va-t-elle pas s'emballer, avec, à la clé, une crise sur les obligations et une désaffection des investisseurs pour tous les produits de dette et ses dérivés, dont les volumes ont explosé ces dernières années ? Si, pour l'heure, personne ne table sur ce scénario catastrophe, tout le monde y pense. En attendant, une autre énigme attire l'attention des marchés : la relative indifférence de la Bourse aux soubresauts du marché obligataire. Pourtant, une hausse des taux n'est jamais une bonne nouvelle pour les actions.


Moi aussi il y a des choses que je juge surprenante...

Citation:
la relative indifférence de la Bourse aux soubresauts du marché obligataire. Pourtant, une hausse des taux n'est jamais une bonne nouvelle pour les actions.


Surprenant, surprenant : "This time it's different" ?

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MessagePosté: Sam 16 Juin, 2007 3:42 
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Patrick Colleter
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phev a écrit:
Rising food prices take a bigger paycheck bite

The U.S. Department of Agriculture reported a 7.3% jump in food prices in the first quarter of 2007.
Okay, 7.3% doesn't match the 50% increase in gas prices.

Beurre 31%
Fromages, up 65%
Lait, up 117%
Poulet up 17.5%
Beef, select, up 12.8%

Maïs, soja, blé, avoine, orge are all up from 5% to 35%

http://www.marketwatch.com/news/story/w ... 0F10EBF%7D
The Bureau of Labor Statistics calculates that food inflation is running at a 6.7% seasonally adjusted annual rate through the first four months of 2007 -- three times the core rate and more than three times last year's 2.1% increase.OK, 6.7% doesn't match the 40% increase in gas prices. But it's almost as troubling.
Is it real? If you've been grocery shopping lately, you know the answer.
Here's another sobering set of facts. As reported recently in the Wall Street Journal commodity "cash prices" section, wholesale prices of key food items have risen dramatically from a year ago:
Butter prices are up 31%
Cheddar cheese prices, up 65%
Nonfat dry milkprices, up 117%
Broiler chickens, up 17.5%
Beef, select, up 12.8%

l'idée principale de cet article c'est que le prix de la bouffe a pris 6,7%/an
ce qui est pas mal mais n'est rien comparé à l'augmentation de l'essence (qui au passage est de 40% et non pas 50% comme Goebbels phev veut le faire croire) même si cela est presque aussi choquant.
d'abord faut savoir quelle est la base de ces prix ...
par exemple pour l'essence qui a augmenté de 40 % (le prix varie selon l'endroit où t'habites) chez ma belle famille ils paient 3 dollars/gallon en ce moment ... faites le calcul et ne confondez pas gallon britannique et gallon ricain et par contre comparez au litre d'essence en France.
pour le "lait" :lol: le non fat dry milk c'est pas du lait ....
sinon pour les subprime ça représente moins de 10% des credits hypothécaires et avec un marché du travail ricain qui va assez bien c'est pas ça qui va faire péter la machine.
sinon pour les taux , réponse de mon banquier pour un emprunt d'une belle sonnette : 4% en in fine sur 15 ans.
bref une petite réponse vite fait à tes interprétations qui, comme toujours , sont catastrophiques au propre comme au figuré et qui ne méritent aucun commentaire, juste là j'ai craqué devant le niveau de ta connerie


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MessagePosté: Sam 16 Juin, 2007 7:15 
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Jean Pierre Bosser
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vous me pompez le noeud a publier de chiffres qui sont faux......

prix du gallon d essence ici y a un an: 3, 29 USD
aujourdhui prtix du gallon d essence 3, 39usd

la realite des prix aux us je la vis tous les jours les chiffres que vous donnez sont faux

VERIFIEZ VOS SOURCES et si vous ne me croyez pas venez ici je vous ferai decouvrir les prix.....je peux vous dire que mon pouvoir d achat ici s est grandement ameliorer au cours de l anee passee.....

arretez de vous masturber sur les usa et regardez ce qui se passe en france le prix des cereales n a til pas prix une claque ces deerniers temps?

un truc qui augment tous les jours et de plusieurs % cest la credulite de phiphi il croit tout ce quil lit il croit tout ce quil copie colle...demain il lira sur un site web que lon peut aller en marchant a pied sec a groix et bien il ne remettra pas cette affirmation en doute , il ne cherchera meme pas a verifier sa veracite....

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MessagePosté: Sam 16 Juin, 2007 13:47 
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Pour moi le non fat dry milk c'est la poudre de lait sans ses matières grasses, si ce n'est pas cela... Ben je ne sais pas ce que c'est.

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MessagePosté: Mer 20 Juin, 2007 22:19 
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Remontée des taux longs, le marché obligataire prend peur...

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 972,0.html

Citation:
Les marchés obligataires prennent peur et les taux d'intérêt à long terme remontent

Les marchés obligataires mondiaux ont subi, au cours des dernières semaines, un mini-krach. Moins médiatisée que l'aurait été un plongeon des Bourses, cette chute des emprunts d'Etat pourrait pourtant présenter des conséquences économiques autrement plus graves.

La hausse des taux d'intérêt à long terme qui l'accompagne - le rendement d'une obligation progresse quand son cours baisse - pourrait peser sur les investissements des entreprises, affecter le marché immobilier et renchérir le coût des dettes publiques. Et provoquer, in fine, un ralentissement de la croissance, voire une récession. C'est ce scénario noir qui s'était produit en 1994, à la suite du resserrement monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed).


C'est aux Etats-Unis que la flambée des taux a été récemment la plus spectaculaire. Le rendement du bon du Trésor à dix ans, qui se situait à 4,65 % il y a un mois, est remonté jusqu'à 5,30 %, son plus haut niveau depuis avril 2002. Le Japon n'a pas été épargné : les rendements des emprunts à long terme y sont remontés de 1,65 % à 2 %. Pas plus que l'Europe. En France, le taux de l'emprunt d'Etat français à dix ans est passé, depuis la mi-mai, de 4,2 % à 4,7 %.

Plusieurs éléments se conjuguent pour expliquer cette hausse brutale. La première tient au comportement de la Banque centrale chinoise. Cette dernière vient d'annoncer une prise de participation de 3 milliards de dollars (2,3 milliards d'euros) dans le fonds d'investissement américain Blackstone.

Cette opération marque une rupture dans la stratégie de Pékin qui, jusqu'à présent, plaçait la moitié de ses excédents commerciaux gigantesques dans les emprunts d'Etat américains. Les réserves de change chinoises s'élèvent à 1 200 milliards de dollars, dont la moitié environ placés en bons du Trésor. Cette désaffection de Pékin vis-à-vis des obligations américaines, au profit des actions, risque de rendre plus difficile - donc plus coûteux - le financement du déficit des Etats-Unis.

Les récentes adjudications de bons du Trésor américain ont reflété cette tendance, la demande de banques centrales étrangères ayant été moindre que d'habitude. "Les nations en développement cherchent de plus en plus à acheter des actifs autres que les obligations pour diversifier leurs vastes réserves de changes et gonfler leurs retours sur investissement", souligne Sal Guatieri, économiste chez BMO Capital Markets.

COÛT DU TRAVAIL EN CHINE

Au-delà du risque que la Chine fait peser sur les obligations américaines, les emprunts d'Etat des grands pays industrialisés souffrent des craintes d'un retour de l'inflation. Au cours des dernières années, les prix des biens et des marchandises avaient été tirés vers le bas par la concurrence des pays où le coût du travail est faible Mais celui-ci, notamment en Chine, augmente au fur et à mesure que le niveau de vie global de la population s'élève et que la main-d'oeuvre qualifiée y est moins abondante. La mondialisation ne présente plus aujourd'hui, dans ce contexte, les vertus désinflationnistes qu'elle avait hier.

A cela s'ajoutent des prix de l'énergie toujours très élevés et des taux de chômage historiquement bas qui favorisent l'apparition de tensions sur les salaires. "Aux Etats-Unis, la diffusion progressive de la hausse des prix du pétrole, l'augmentation des tensions sur le marché du travail et la progression du taux d'utilisation des capacités de production vont provoquer une accélération des indices de prix ces prochains mois", notent les économistes d'Aurel Leven.

Même constat en Europe, où les salaires ont tendance à augmenter plus vite que la productivité et où, de surcroît, le crédit et les agrégats de monnaie progressent à un rythme très soutenu. Une telle abondance de liquidités fait craindre des tensions sur les prix. Même si les niveaux d'inflation restent aujourd'hui très bas, son accélération attendue constitue une double menace pour les marchés obligataires.

D'une part, une inflation plus élevée a pour effet d'éroder la valeur réelle du capital remboursé à l'échéance et des coupons fixes versés annuellement : ceci incite les investisseurs à se tourner vers les actions, qui offrent des dividendes variables et sont du coup beaucoup moins pénalisées.

D'autre part, les craintes inflationnistes laissent envisager un resserrement général des politiques monétaires dans le monde. La Banque centrale européenne, la Banque d'Angleterre, celles de Suisse, d'Australie, de Nouvelle-Zélande, viennent de durcir les conditions de crédit tandis qu'aux Etats-Unis, les espoirs d'un assouplissement monétaire se sont évanouis. Or tout relèvement du loyer de l'argent à court terme se répercute, de façon mécanique, aux échéances plus éloignées de ce que les spécialistes appellent la courbe des taux.

Dans ces conditions, tout est en place pour que "la hausse des taux longs se poursuive", estiment les analystes d'Aurel Leven. Reste à savoir à quel rythme. "La surprise est venue de la brutalité du mouvement des dernières semaines. Une telle brutalité est pourtant relativement habituelle : les mouvements de taux longs sont toujours ou presque très concentrés dans le temps. A court terme, on peut ainsi tabler sur des mouvements beaucoup plus modérés."


J'ai suivi cela tous les jours la semaine dernière la montée des taux longs a été très impressionante en quelques jours, on est passé de 4.70 si ma mémoire est bonne à un pic à 5.30 % (il est redescendu depuis).

A vu de nez je place le "baromètre" sur Tempète à 5.20 %...

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MessagePosté: Mer 20 Juin, 2007 22:31 
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phev a écrit:
J'ai suivi cela tous les jours la semaine dernière la montée des taux longs a été très impressionante en quelques jours, on est passé de 4.70 si ma mémoire est bonne à un pic à 5.30 % (il est redescendu depuis).

A vu de nez je place le "baromètre" sur Tempète à 5.20 %...

je me prends du 4% en fine sur 15 ans pas trop mal non ? (surtout vu le montant emprunté :wink: ) ... le prêt se met en place ... après c'est les 11 jours ... 5,20 en 2000 j'empruntais à ce taux (en in fine aussi sur 12 ans) et j'étais super content comme quoi ... que j'ai renégocié en nov 2005 avec l'ensemble de mes emprunts.. un gain sympa


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MessagePosté: Jeu 21 Juin, 2007 16:51 
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Les taux anglais à 5.75 % dès le mois prochain...

http://www.marketwatch.com/News/Story/b ... A04B922%7D

Bank of England held rates on tight 5-4 vote in June
Governor's vote for rate increase seen indicating further hike as soon as July

LONDON (MarketWatch) -- The Bank of England's Monetary Policy Committee came within a single vote of lifting interest rates at its June 7 meeting, it revealed Wednesday, putting the market on alert for another hike as soon as next month.
The MPC voted 5-4 to leave the key rate on hold at 5.5%, a much tighter vote than the 7-2 result many economists were expecting.
Crucially, Bank of England Governor Mervyn King was one of the members calling for a hike, marking only the second time in the last ten years that the governor has been outvoted in a rate decision. Read commentary on King's vote.
"The Bank of England has put the markets on notice to batten down the hatches for a July rate hike," said David Brown, chief European economist at Bear Stearns.
"It was not just the close run vote, but the fact that King threw his weight behind calls for a hike in June that shrieks out higher rates ahead.
"The bank still remains behind the curve on inflation and it is clear the reason they delayed from more aggressive rate action so far is the worry that they might have shocked the markets," said Brown, who is forecasting that the cost of borrowing will rise to 6% later in the year.
In its minutes, the committee said one of the reasons it held rates was that a hike could have pushed the yield curve higher, which it said "would not be warranted."
The bank added that a rise in market interest rates over the month had already provided a degree of monetary tightening, which "gave the committee the scope to hold the bank rate this month before considering whether to raise again."
The U.K.'s FTSE 100 index (UK:UKX: news, chart, profile) pared gains after the release and was up around 0.3%, or 16.60 points at 6,666.80 in afternoon trading. See London Markets.
Sterling strengthened against all its major rivals, adding 0.3% against the greenback to $1.9926. See live foreign exchange quotes.
David Buik at Cantor Index said that following the hike, his firm is offering odds of 11/8 against sterling reaching $2 by the close of business Friday.
The MPC said members calling for a rate hike argued there was "no compelling reason to wait," as there was little news to affect the judgment that inflation risk remained to the upside.
"Moreover, by raising now, the peak in interest rates could eventually be lower," those members argued, according to the minutes.
The bank's May inflation report had already signaled that rates would likely rise again and the U.K. economy has continued to grow robustly, with house price inflation remaining high, but the vote still came as a surprise, said Raymond Van der Putten, an economist at BNP Paribas.
"Normally the MPC avoids making back-to-back changes. Nevertheless, despite last month's interest rate hike, already four members wanted to hike again at the June meeting," he said in a note to clients.
The June decision came with inflation standing at 2.8%, well above the government's 2% target, though down from a 3.1% peak earlier in the year. See archived story.
Details of the MPC's meeting were revealed as other European central banks have been raising rates. Also Wednesday Sweden's central bank raised its main rate a quarter of a point to 3.5%, and indicated that rates will likely have to rise again. See more global markets coverage.
The Swiss National Bank recently raised its rate a quarter-point to 2.5% and the European Central Bank, which sets rates for the 13 countries that use the euro, raised its key rate to 4% earlier this month, with analysts seeing rates rising to 4.75% or even 5% in 2008.

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MessagePosté: Jeu 21 Juin, 2007 18:57 
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Patrick Colleter
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phev a écrit:
Les taux anglais à 5.75 % dès le mois prochain....

tu sais à combien était les taux avant 2000 ? et je t'assure il y avait de la vie si si même si internet n'était pas aussi développé qu'aujourd'hui


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MessagePosté: Jeu 21 Juin, 2007 19:21 
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Jean Pierre Bosser
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prix de l essence en baisse aux usa et ce n est pas un copie colle qui me le :roll: :wink: :lol: dit

quand jai fait mon plein il y a 10 jours prix du gallon: 3,59 USD

ce matin je fais le plein (meme station) : 3,29 USD le gallon....

ni copier colle, ni traduction cest la realite du terrain mon cher phiphi....

ces prix je ne les lis pas sur le net ....

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http://www.menbrial.com/


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