The British equivalent of the FDIC, this Compensation Scheme — it was revealed Tuesday — now holds funds of just £4.4 million. Total U.K. bank deposits, on the other hand, total some £1.6 trillion. It doesn't matter that, in the wholly unlikely event of a total collapse in British banking, the fund could offer only 0.0002% in compensation. Forget the fact, too, that the U.S. insurance scheme, by comparison, holds 500 times as much cash for a population only five times the size.

Vous bénéficierez d'une performance unique, attractive et fixe de 30 %(3) du capital net investi (soit un taux de rendement actuariel annualisé de 9,23 %), versée par anticipation à horizon des 3 ans, si l'indice DJ Euro Stoxx 50 a progressé d'au moins 15 % depuis le 26 novembre 2007.
OU
si la condition de remboursement anticipé à horizon des 3 ans n'a pas été réalisée, vous profiterez alors, à horizon des 6 ans, d'une indexation significative égale à 200 % de la progression trimestrielle moyenne de l'indice DJ Euro Stoxx 50 depuis le 26 novembre 2007.

Bourse de Paris: le CAC 40 ouvre en baisse de 1,87% à 5.633,27 points

Pour les pros de la finance ,un placement garanti mais quelque peu opaque (à mon goût).Est ce vraiment intéressant d'y mettre par exemple 15000 Euros ?
Citation:
Vous bénéficierez d'une performance unique, attractive et fixe de 30 %(3) du capital net investi (soit un taux de rendement actuariel annualisé de 9,23 %), versée par anticipation à horizon des 3 ans, si l'indice DJ Euro Stoxx 50 a progressé d'au moins 15 % depuis le 26 novembre 2007.
OU
si la condition de remboursement anticipé à horizon des 3 ans n'a pas été réalisée, vous profiterez alors, à horizon des 6 ans, d'une indexation significative égale à 200 % de la progression trimestrielle moyenne de l'indice DJ Euro Stoxx 50 depuis le 26 novembre 2007. https://www.cmb.fr/creditmutuel/index_e ... space=part

JUSQU'A 30% SUR 3 ANS (donc jusqu'à 10% par an)

FCP indexé sur divers indices boursiers. Donc, tu peux te prendre une belle branlée, t'es bien dans la fourchette ]-inf ; +30%]

Gestion d'actifs: Commerzbank vend sa filiale française CCR à UBS

Fabrice Coffrini
La banque allemande Commerzbank a annoncé mercredi la cession de sa filiale française de gestion d'actifs, la Caisse centrale de réescompte (CCR), au suisse UBS pour 435 millions d'euros.

Commerzbank a précisé tabler sur une plus-value de 150 millions d'euros sur cette opération qui doit être finalisée début février sous réserve de l'agrément des autorités de tutelle, a indiqué à l'AFP le président du directoire de CCR, Daniel Terminet.

CCR, créée en 1938 et rachetée par la banque allemande en 1993, gère un portefeuille de quelque 17 milliards d'euros et emploie quelque 190 personnes reparties dans les trois fonds qui la composent.

Commerzbank a entrepris de se désengager de nombreuses activités à l'étranger. Elle a vendu récemment sa filiale britannique de gestion d'actifs Jupiter à des membres de sa direction et au fonds américain TA Associates pour plus d'un milliard d'euros.

"La nouvelle entité va renforcer la présence d'UBS en France et souligner son engagement sur le marché européen", a précisé John Fraser, directeur de l'activité "Global Asset Management" chez UBS.

Cette opération permettra également à la première banque helvétique "d'atteindre (ses) objectifs ambitieux de croissance en France", a souligné Gabriel Herrera, responsable Europe, Moyen-Orient et Afrique de "Global Asset Management".

UBS va verser 275 millions d'euros pour acquérir la totalité du capital du groupe CCR, ainsi qu'une somme d'environ 160 millions correspondant au rachat de la trésorerie estimée du groupe CCR à la clôture de la transaction, a indiqué la banque suisse dans un communiqué.

"Cette acquisition entre dans le cadre de notre stratégie qui vise avant tout une croissance organique, complétée par des acquisitions", a précisé à l'AFP une porte-parole d'UBS.

L'acquisition de CCR vient doubler les activités d'UBS en France, qui emploie dans le pays 519 personnes. La banque helvétique, présente depuis 2001 en France avec ses activités de gestion d'actifs, de gestion de fortune et de gestion institutionnelle, y gère au total 19,5 milliards d'euros d'actifs, selon la porte-parole du groupe.

La banque suisse avait réalisé récemment plusieurs acquisitions en Corée du Sud, en Inde et au Brésil.

Aucune décision n'a été prise pour l'instant sur le management de la banque française qui reste en place jusqu'à "nouvel ordre", a indiqué M. Terminet ajoutant que "tout restait ouvert" pour l'organisation à venir, dont une fusion avec une entité équivalente d'UBS en France.

A la Bourse suisse, UBS perdait à la mi-journée 0,63% à 63,40 francs suisses, notamment en raison des craintes liées aux rumeurs de dépréciations d'actifs supplémentaires de la banque américaine Merrill Lynch.

La Tribune.fr - 22/10/07 à 15:29 - 166 mots

Allemagne
Commerzbank s'attend à des pertes sur le subprime supérieures aux attentes
Selon le président du directoire Klaus-Peter Müller, les pertes de la banque allemande liées au subprime, ces prêts immobiliers à risque aux Etats-Unis qui ont déclenché cet été la tempête boursière et financière, seront sans doute plus importantes que prévu.
Si l'action Commerzbank recule fortement ce lundi à la Bourse de Francfort,c'est en raison des déclarations de son président du directoire Klaus-Peter Müller. Ce dernier a reconnu dans le Financial Times Deutschland que les pertes de la banque allemande liées au subprime, ces prêts immobiliers à risque aux Etats-Unis qui ont déclenché cet été la tempête boursière et financière, seraient plus importantes que prévu.

Elles risquent en effet de dépasser le montant de 80 millions d'euros évoqué jusqu'à présent.

Le patron de la deuxième banque allemande cotée estime cependant qu'il n'est pas nécessaire de modifier les prévisions de résultats du groupe pour 2007.

Société Générale : rumeurs d'offre sur Commerzbank
FPS - 16/10/07 07:28

Des rumeurs de concentrations bancaires courent de nouveau en bourse, malgré le retour des inquiétudes liées à la crise crédit. La deuxième banque allemande, Commerzbank, fait ainsi l'objet de nouvelles rumeurs d'offre, avec pour prédateurs envisagés, la Société Générale et l'italienne Intesa Sanpaolo. Cette rumeur a fait gagner hier 1,12% à l'action Commerzbank, à l'inverse de la tendance générale du marché, ce qui porte la progression du titre à près de 5% en cinq séances.
Les rumeurs de consolidation bancaires impliquant la Société Générale sont récurrentes en bourse, voyant tantôt l'établissement français comme une proie ou comme un prédateur.
Le 4 octobre dernier, un grand broker anglo-saxon avait de nouveau cité la "Socgen", mais aussi sa rivale BNP Paribas, la britannique Barclays Bank et l'espagnole BBVA comme des cibles potentielles d'OPA.

Les prix des produits agricoles en France continuent d'augmenter fortement, avec une hausse de 6,2% en septembre et de 18,3% sur un an, a annoncé mercredi l'Insee.

La progression est particulièrement forte pour les céréales, avec une hausse de 20,5% en septembre, en données corrigées des variations saisonnières (CVS), ajoute l'Institut de la statistique.

Le prix du blé tendre, qui sert à fabriquer le pain, progresse de 23,2% en septembre. Il a doublé en un an.

Les cours des protéagineux et oléagineux croissent respectivement de 24,7% (96,6% sur un an) et de 12,5% (47,3% en glissement annuel).

Les prix des fruits sont très supérieurs à ceux de septembre 2006 (+23,7%) alors que ceux des légumes sont légèrement en baisse (-3,9%). La bonne qualité du raisin stimule la demande et les prix (+38,6% sur un an) mais les coûts de la laitue d'hiver et de la tomate baissent (respectivement -33% et -4,4%).

Le cours du porc reste déprimé (-9% en glissement annuel), du fait du haut niveau de la production européenne et des difficultés rencontrées sur les marchés d'exportation, alors que le prix des aliments composés pour porcins augmente fortement (+29,2% sur un an), ce qui explique la crise actuelle que traverse la filière.

En revanche, ajoute l'INSEE, les prix du veau (+11,8% en un an) et des volailles (+13,8% en glissement annuel) répercutent les hausses de prix de leur alimentation.

BCE/Pour Jean-Claude Trichet, la lutte contre l'inflation reste essentielle

Francfort (AWP/AFX) - Le président de la Banque centrale européenne Jean-Claude Trichet a réaffirmé le caractère crucial pour la BCE de lutter contre toute menace de dérapage des prix, sur fond de tensions inflationnistes dans la zone euro, dans un discours diffusé mercredi.

«Un engagement crédible pour un maintien de la stabilité des prix est essentiel», a déclaré le Français mardi soir lors d'une conférence à l'université de Harvard aux Etats-Unis, selon le texte diffusé par la BCE sur son site internet.

Cela est d'autant plus crucial alors que la mondialisation de l'économie peut dans certains cas «conduire à des changements de prix assez rapides», a-t-il souligné.

Dans ce contexte, la «politique monétaire doit garantir que les attentes d'inflations soient bien ancrées, ce qui signifie un fort engagement en faveur d'une poursuite de la stabilité des prix», a-t-il insisté.

Ces déclarations ne sont pas anodines alors que refait surface le débat sur les risques de surchauffe des prix, liée à l'énergie chère et à l'envolée des étiquettes sur certains produits alimentaires. En septembre, l'indice des prix à la consommation harmonisé a augmenté de 2,1% dans la zone euro, sa plus forte progression depuis un an, et a dépassé l'objectif à moyen terme de la BCE d'une inflation légèrement inférieure à 2%.

Certains hauts responsables de la BCE, l'Allemand Axel Weber en tête, se sont prononcés indirectement en faveur d'une nouvelle hausse des taux directeurs.

La BCE a renoncé début septembre à resserrer la vis comme elle l'avait initialement prévu, en raison du plongeon des marchés au mois d'août dans le sillage de la crise du crédit hypothécaire à risque aux Etats-Unis.

Le retour à un calme relatif sur les marchés financiers fait revenir au premier plan les craintes pour l'inflation.

L'institut a relevé ses taux à huit reprises depuis décembre 2005. De 2%, le principal taux d'intérêt directeur a grimpé à 4%.

afx/rp

(AWP/24 octobre 2007 11h32)