Super ...



http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/brest-officiellement-metropole-23-01-2014-2378459.php

Brest est officiellement une métropole. Le Conseil constitutionnel a, en effet, validé la loi créant la métropole du Grand Paris et une dizaine d’autres métropoles en France dont celles de Brest, Rennes et Nantes. La haute juridiction a ainsi jugé "conforme à la Constitution" l’ensemble de la "loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles".

Non, Fred. Pas si anondin que ça en fait, le statut de métropole.

Why Bruno ?

le changement c'est maintenant ?
ah non pas tant que ça !
François CUILLANDRE, maire, 58 ans
Bernadette ABIVEN, enseignante, 53 ans
Ronan PICHON, ingénieur en informatique, 43 ans
Gaëlle ABILY, cadre de la fonction publique, 41 ans
Patrick APPERE, retraité, métallurgiste, 60 ans
Tifenn QUIGUER, géographe urbaniste, 43 ans
Thierry FAYRET, ingénieur, 44 ans
Sylvie JESTIN, auxiliaire de puériculture et assistante familiale, 54 ans
Marc COATANEA, agent commercial, 40 ans
Nathalie CHALINE, formatrice, 49 ans
Alain MASSON, technicien DCNS, 60 ans
Claude BELLEC, retraitée, animatrice socio-culturelle, 64 ans
Michel GOURTAY, cadre dirigeant, 62 ans
Frédérique BONNARD LE FLOC’H, formatrice consultante, 43 ans
Réza SALAMI, commerçant, 50 ans
Julie LE GOIC, professeur d'histoire géographie, 35 ans
Robert JESTIN, cadre bancaire, 59 ans
Roselyne FILIPE, conseillère emploi à Pôle emploi, 54 ans
Pierre KARLESKIND, océanographe, 34 ans
Patricia SALAUN-KERHORNOU, cadre de santé, 43 ans
Eric GUELLEC, professeur des écoles, 45 ans
Rébecca FAGOT-OUKKACHE, chargée de communication organisme mutualiste, 30 ans
Charles KERMAREC, retraité France télécom, 58 ans
Isabelle MONTANARI, ergothérapeute, 34 ans
Fortuné PELLICANO, dirigeant d'entreprise, 58 ans
Isabelle MELSCOET, opticienne mutualiste, 43 ans
Jean Luc POLARD, retraité, cadre bancaire, 63 ans
Anne Marie KERVERN, retraitée, fonction publique territoriale, 68 ans
Hosny TRABELSI, professeur de physique-chimie, 49 ans
Christiane MIGOT, professeur-documentaliste, 58 ans
Yann GUEVEL, ingénieur en développement logiciel, 41 ans
Marif LOUSSOUARN, conseillère en Mission Locale, 58 ans
Jean Claude LARDIC, technicien au Service Hydrographique Océanographique de la Marine, 47 ans
Marie Pierre CREFF, animatrice secteur associatif, 58 ans
Marc SAWICKI, chirurgien-dentiste, 46 ans
Jacqueline HERE, contrôleur Direction Générale des Finances (détachée), 60 ans
Pierre GUEZENNEC, professeur de mathématiques, 45 ans
Marie GUEYE, travailleuse social, 50 ans
Yann MASSON, agent d'exploitation, 39 ans
Karine COZ-ELLEOUET, ingénieur territorial, 40 ans
Franck RESPRIGET, infirmier libéral, 42 ans
Yvette LE GUEN, sans profession, 50 ans
Jean Michel LE LORC’H, salarié Thalès, 56 ans
Emilie KUCHEL, responsable d'un centre social, 33 ans
Philippe PAPERON, artisan électricien, 56 ans
Marie Josée YAO, chargée de gestion, 47 ans
Fragan LEMENI, professeur d'histoire-géographie, 31 ans
Annick LE BONNIEC, aide à la personne, 63 ans
Sébastien CHAMBRES, comédien et metteur en scène, 38 ans
Céline SOULES, professeur d'histoire géographie, 48 ans
Daniel GUILLAUMIN, retraité de la métallurgie groupe SNEF, 64 ans
Catherine HUON, responsable Service Ressources Humaines dans l'enseignement supérieur, 58 ans
Rémi SALAUN, préparateur logistique DCNS, 52 ans
Patricia ADAM, députée, 60 ans
Pierre MAILLE, président du conseil général, 66 ans
http://www.francoiscuillandre2014.fr/l-equipe/liste

Ce bilan est le fruit du travail qui a été accompli par une équipe de gauche dans toutes ses composantes. Au cours de ce mandat, la solidarité de l’équipe n’a jamais été mise en défaut. Beaucoup de choses ont été faites, d’autres restent à faire car de nouveaux enjeux apparaissent et une ville et les attentes de ses habitants évoluent en permanence. Nous devons donc rester mobilisés pour y répondre. Durant ce mandat, nous avons travaillé dans deux directions complémentaires :

- faire de Brest une ville où il fait bon vivre tous ensemble et partout dans la ville

- faire de Brest la métropole occidentale de la Bretagne.

Pour ma part, je suis fier de ce qu’est notre ville aujourd’hui. Une ville en mutation, résolument tournée vers l’avenir. Le mandat de Maire reste pour moi le plus beau des mandats électifs et je souhaite continuer à servir notre ville et à porter ses projets.

Ensemble, pour Brest, tenons le cap.
http://www.francoiscuillandre2014.fr/le-bilan

Je croyais qu'ils étaient débordés de boulot dans l'enseignement?

Punaise , ca c'est du bilan ... En meme temps, comme ils sont complètement "a l'ouest" , c'était quand pas trop difficile a réaliser comme objectif ...
A part cela , l'emploi et tout ca ... il y a un mot la-dessus dans le bilan ... la flemme de lire ce tissu de bullshit.
Des entreprises qui ferment et une ville qui se vide petit a petit, pas de quoi fanfaronner au niveau du bilan, non ?

C'est quand même curieux tous ces gens qui arrivent à Brest. A peine arrivés ils ont déjà des logements, cartes de bus ... Que ce soit des migrants ou des gens avec des papiers français. Brest ville d'accueil

Pendant ce temps-la, les brestois s'en vont chercher du travail ailleurs car leur région meurt.
Combien d'expats ? Combien auraient aimé avoir le choix de rester au pays ? On n'entend jamais parler de ce genre de chiffres , ou plutôt il ne faut surtout pas en parler.
Je ne parle pas pour moi, expat pour des raisons sentimentales ( la fluctuation de la fesse oblige ... ) mais au lieu de faire le beau dans les soirées p'tits fours avec pour bilan " nous sommes LA metropole occidentale" dont tout le monde se fout, il vaudrait mieux travailler a la politique de l'emploi dans la région.

Toutafé, j'ai quitté la ville pour cette raison même si je suis resté dans le département. Et je suis furax, ça se pavane sous les slogans "retenons la jeunesse diplômée", mes burnes. Les petites communes finistériennes, bien plus accueillantes, solidaires et moins grises tendent la main avec le sourire.

Et quand je reviens chez mes vieux en immeuble, je constate que les noms breizhoneg ont presque tous disparus en dix ans seulement... Deux idées, la première, les gens ne veulent plus de leurs noms et changent volontairement pour une consonance plus française pour l'adaptation, la deuxième plus probable, le vivre ensemble ne fonctionne que dans la bouche de ceux qui ne le vivent pas sauf en journée dans les associations, fêtes... Tellement facile de prôner l'égalité des chances lorsqu'on regarde Bellevue de la Cavale Blanche, une vallée séparant la merde du caviar.

Que Brest devienne une ville de chômeurs, j'en ai plus rien à foutre, ça fait surtout mal au coeur pour un ti'zef... On voit d'ailleurs l'énergie déployé par la municipalité pour sauver Jabil et je pense que l'opposition n'aurait pas fait mieux.

En tout cas, au vu du débat hier sur Tébéo, Cui-Cui a le chemin grand ouvert. Malgorn était brouillonne, et surtout Prunier semble pas si défavorable que ça au bilan du maire actuel... lui qui passe son temps à critiquer Pellicano ne fait guère mieux que lui.

Le mec de "Colère de Brest" est affligeant : stupide idéologue, mais faut l'excuser, à 28 berges, il fait encore des études d'ethnologie.... on le retrouvera sur une liste PS locale dans 15-20 ans.

J'ai vu le débat également, hahaha Le Quentin Marchant ! J'ai rarement vu un glaouch pareil !
Mais le plus triste dans cette affaire, vu la triste réputation de notre ville (Brest la "rouch" qui tache), c'est qu'il risque d'y avoir suffisamment de gogos prêts à voter pour lui pour que le frisotin trouve opportun de lui refourguer un emploi fictif (même situation que pour notre cher Julie en sommes).

Ceci mis à part, Prunier est toujours aussi pathétique, et Bernadette est quant à elle extrêmement décevante !
Enfin bref, Cuillandre sera réélu, pas besoin d'être la pythie pour pouvoir l'affirmer.

Je me suis dit la même chose... On avait l'impression que c'était l'élève à coté de son maître.

De toute façon dans tout les cas Cuillandre sera réélu au second tour. Ces élections ne serviront qu'a réélire un nouveau conseil municipal... Il n'y qu'une droite uni qui peu battre la gauche brestoise...

On peut surtout s'attendre une nouvelle fois à une victoire haut la main de l'abstention, qui est de loin le parti majoritaire à Brest.

MUNICIPALES 2014 À BREST – LETTRE OUVERTE DU COLLECTIF CASSS-PAPIER AUX LISTES S’Y PRÉSENTANT.
19 FÉVRIER 2014 NETDRUIDE LAISSER UN COMMENTAIRE
Lettre ouverte aux candidat-e-s à l’élection municipale brestoise!
Brest : métropole ouverte et solidaire ?
Pour qui ?
pas pour les personnes pauvres en tout cas !

A travers cette lettre ouverte, nous vous interpellons sur la situation des personnes sans logement vivant sur Brest, ou dit plus clairement des personnes vivant et se retrouvant à la rue sur Brest.

Il y a quelques années, environ 3 ans, nous avons découvert que des personnes, notamment des familles avec des enfants et nouvellement arrivées se retrouvaient à la rue à BREST; en été comme en hiver.

Alors que depuis toujours la ville de Brest ne laissait jamais des personnes à la rue dans un esprit de solidarité et d’entraide qui la caractérisait, puisque le simple fait d’envisager des personnes à la rue, des familles a la rue, c’est-à-dire des enfants dehors, sans toit sur la tête, ce simple fait était inadmissible et inhumain.

Au départ la plupart des institutions politiques et administratives (Mairie, Conseil Général, Préfecture à travers la Direction Départementale de la Cohésion Sociale, DDCS) ont bien pris en charge ces populations sans sourciller, chacune y répondant avec ses compétences propres.

Puis, devant un «désordre public» qui perdurait sur la voie brestoise, ces mêmes institutions ont commencé à se dégager et à vouloir se refiler le «bébé».

Le résultat fut un rapide changement d’attitude et de pratiques, les collectivités locales (Mairie et Conseil Général) se déchargeant totalement sur les services de l’État, oubliant leur propre pouvoir en la matière :
- pour le Conseil général, la protection de l’enfance en danger, ( des enfants vivant à la rue ne sont-ils pas en danger ? )
- pour le maire de Brest, agent de l’État sur sa commune et ayant des pouvoirs de police, veilleur social, (le bon ordre, la sûreté, la salubrité et la sécurité des populations sur son territoire).

Mais, à force de faire le singe «qui ne voit pas, qui n’entend pas et qui ne parle pas», à force de rejet de compétence en rejet de compétence… qui sera compétent lors de la mort de la première personne dans les rues de Brest ?

La mairie ou la préfecture ?

Et dérives et oubli des lois les plus élémentaires en terme d’égalité et de solidarité envers toutes personnes.

Petit à petit, nous avons pu remarquer un glissement de toutes ces parties, la Préfecture qui a restreint l’accès du 115 (numéro d’Urgence Sociale anonyme et gratuit), en donnant des critères de plus en plus durs.

De tout le monde logé, on est passé aux consignes de loger uniquement les personnes malades avec certificat et aux familles ayant des enfants de – 12 ans puis les familles ayant des enfants de moins de 4 ans…

….à plus de prise en compte du tout de ces personnes migrantes quelle que soit leur situation !!!!.

Pour interpeller tout à chacun-e, le CASSS-paPIER avec des citoyen-ne-s, d’autres structures brestoises associatives, syndicales et politiques, avons occupé l’espace public pour dénoncer ces dérives insupportables.

Notamment, nous avons occupé (de quelques heures à quelques jours) différents bâtiments publics appartenant à la Préfecture, au Conseil Général, à la Mairie de Brest…le local du Parti socialiste…

Au début de ces actions, nous étions reçu-e-s, écouté-e-s et nos interlocuteurs et interlocutrices alertaient, comme c’est leur devoir, les services d’État concernés.

Puis, nous avons vu petit à petit des huissiers suivis de la police nationale qui nous évacuaient de plus en plus violemment (une des dernières fois dans le hall de la mairie de Brest, une femme enceinte, après avoir été bousculée, se retrouvait aux urgences).

Devant ce glissement inacceptable, pouvons-nous rappeler que dans le préambule de sa constitution de 1958, la République française dit son attachement aux principes de la déclaration des Droits de l’Homme de 1789 et au préambule de la constitution de 1946 qui stipule entre autres : «…le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. »

Mais aussi : «La Nation assure à l’individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement. Elle garantit à tous, notamment à l’enfant, à la mère et aux vieux travailleurs, la protection de la santé, la sécurité matérielle, le repos et les loisirs. Tout être humain qui, en raison de son âge, de son état physique ou mental, de la situation économique, se trouve dans l’incapacité de travailler a le droit d’obtenir de la collectivité des moyens convenables d’existence. »

Que de ce fait, les différentes autorités publiques doivent se soucier et garantir à ces personnes les droits les plus élémentaires que sont un toit, une alimentation… ?

Au regard de la préférence nationale mise en place par les services de l’État (consigne de la DDCS au 115 de ne plus prendre en charge les personnes migrantes) et non contestée par les différent-e-s édiles municipaux ou départementaux, doit-on comprendre que les personnes migrantes sont des sous-êtres humains ?

De plus, nous souhaitons rappeler que le droit en la matière est clair, et notamment, le Code de l’Action Sociale et des familles dans son article L.345-2-2 stipule que :

« Toute personne sans abri en situation de détresse mentale, psychique et sociale a accès, à tout moment, à un dispositif d’hébergement d’urgence. »

Devant cette situation dramatique, nous vous rappelons aussi, que selon l’art. L. 2212 du Code général des collectivités territoriales, l’art. L642 et suites du Code de la construction et de l’habitation, issu de l’ordonnance du 11 octobre 1945, et en vertu des pouvoirs de police, le ou la maire a la possibilité de prendre un arrêté de réquisition des logements vacants, comme l’a fait le maire de Saint-Denis en février 2009.

C’est l’une des demandes que porte notre collectif.

L’autre réponse récurrente est le manque de moyen, quand on sait que les solutions proposées sont majoritairement des chambres d’hôtel, qui ont forcément un coût exorbitant, alors que de nombreux logements vides (appartenant à des institutions publiques comme la ville de Brest, comme Brest Métropole Habitat,…ou à des personnes privées) existent sur l’agglomération brestoise.

Selon l’INSEE, le nombre de logements vacants sur Brest en 2009 est de 6.225, que l’on peut mettre en parallèle, à une stabilité et une régularité de personnes à la rue qui oscillent entre une cinquantaine de personnes à un maximum d’une centaine !

Aujourd’hui, de nouveau, des personnes se retrouvent sans logement, vivant dans des conditions d’extrême précarité (dans des couloirs, des lieux publics…), dans la rue.

Considérant le constat énoncé ci-dessus sur les personnes à la rue,
Considérant les pouvoirs du ou de la maire comme garant-e des lois de la République sur sa commune, comme officier-e de police judiciaire,
Considérant les nombreux logements vides sur Brest et les pouvoirs donnés au maire pour des réquisitions (loi Dalo confortée par la loi Duflot) :

Quelle position avez-vous face à ces situations de détresse humaine ?

Quelles propositions concrètes feriez-vous si vous étiez élu-e-s pour permettre à ces personnes et/ou familles de ne plus vivre ces catastrophes humanitaires à Brest même ?

En vous remerciant de l’attention portée à cette lettre ouverte et des réponses que vous nous ferez parvenir, nous vous prions de recevoir l’expression des nos cordiales salutations.



Le CASSS-paPIER ( cassspapiers.gwiad.org)

Pour répondre : Courriel = cassspapier@no-log.org

C/O Le CLAJ
2, rue du Dr Gestin
29200 Brest
http://www.galeresdebrest.fr/2014/02/19 ... resentant/