Stats : mise à jour : Satriano 0 but et Mounié idem.

Il a ce qui reste primordial pour lui... la tune !

Ce n'est pas travailler plus pour gagner plus mais jouer moins pour gagner plus

Aïe aïe aïe le karma…

Mauvais choix ou "heureusement pour nous" et surtout malheureusement pour lui: Le Lensois Martin Satriano gravement blessé à un genou

Mode rancunier : karma, fallait pas jouer à la diva et revenir à la maison !

Mode compatissant : triste pour toi Vamos, ta carrière n'est décidément pas un "long fleuve tranquille". Tu nous a déjà montré ne jamais rien lâcher, ton caractère t'aidera.

La série B italienne ou espagnole va réfléchir à trois fois avant de recruter el goleador l'année prochaine.

Prompt rétablissement à lui !

Bon rétablissement et malheureusement, la poisse continue pour lui : mauvais choix de club où il ne jouait pas et maintenant une grave blessure. Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas.

il aurait pu vivre cet exploit à salzburg, c'est ainsi, la carrière est faîte de choix et il ne faut pas se tromper. j'espère qu'il rebondira après sa blessure, et prendra les bons choix ensuite. Mais il faut être lucide, il n'a pas l'aisance d'un Sima devant le but, il restera un besogneux avec un gros coeur, mais limité.

On peut l'oublier lui

On peut aussi se dire qu'on l'a échappé belle, peut-être.
Comme il n'est que prêté, Lens n'aura pas le doit à un joker médical.

Ce brave Martine est passé à côté de son destin...Il était vraiment fait pour Brest comme un certain Cabañas...

Il n'était quasi rien avant son premier passage, puis de nouveau quasi rien avant de revenir...

Il a mal choisi son destin cet été, en omettant qu'il était fait pour Brest...Il a eu un gros manque de lucidité dans sa décision finale...

Il aurait dû passer cette saison à Lens, en étant seulement numéro 5 en attaque, derrière Sotoca, Saïd, Labeau-Lascary et Nzola...

Vraiment ballot, il pourra durant longtemps s'en mordre les doigts...

Bon rétablissement évidemment.

Bravo Kalif. On a la classe ou on l'a pas

Merci loup.

C'est navrant puisque évidemment comme toi cher Bleizh, je l'aimais beaucoup. Un Eric Roy par exemple a su parfaitement sentir les choses question destin, mais pas notre Uruguayen malheureusement...