@Lorenzo, en effet je ne l'avais pas mis:

Hier en avant match dans l'Equipe

https://www.youtube.com/watch?v=aAvbqokW43I

Si vous voulez entendre Marco parler français

Quelqu'un aurait-il l'article complet SVP?

https://www.ouest-france.fr/sport/footb ... 419da1008e

BIZOT sur le 3G ce matin
Arrivé en 2021 au Stade Brestois, qui affronte ce mardi (21 h) le PSV Eindhoven en Ligue des champions, le gardien a forgé, aux Pays-Bas, sa renommée autant que son tempérament empathique et humain.

Marco Bizot va retrouver le PSV Eindhoven, qu’il a affronté plusieurs fois lorsqu’il jouait aux Pays-Bas.

Ligue des champions (6e journée). Stade Brestois - PSV Eindhoven, mardi (21 h)
« Je me souviens qu’il était originaire de Zwaag, une petite ville à une demi-heure d’Alkmaar. » Les souvenirs de Ricardo van Rhijn, son ancien coéquipier, sont intacts : Marco Bizot a longtemps fréquenté cette bourgade de 3 000 âmes, en Frise-Occidentale. Après y avoir grandi, l’actuel portier du Stade Brestois était retourné y vivre, du temps où il évoluait à l’AZ Alkmaar. Aux portes du Markermeer, vaste étendue d’eau pratiquement enclavée au milieu des Pays-Bas.

« Il n’est pas de ce genre de joueurs qui vivent collés au club ou au stade », décrit de lui Alfons Arts, son ancien entraîneur au SC Cambuur. Celui qui, aux hôtels de luxe, préfère le camping en famille, avait fait de la proximité avec la mer l’un de ses prérequis au moment d’opter pour la cité du Ponant, en 2021. À 10 ans, il avait déjà pris le large une première fois, en allant faire ses gammes au sein de l’académie de l’Ajax Amsterdam.

« Quand on était jeunes, il ne faisait pas partie des grandes gueules de l’équipe mais c’était plutôt un garçon calme, tranquille, se remémore l’ex-international Ricardo van Rhijn (8 sélections), issu de la même génération (1991). Quand je l’ai retrouvé des années plus tard à Alkmaar, j’ai constaté qu’il s’était affirmé dans sa personnalité. Il avait sa propre vision, se moquait de ce que les autres pouvaient penser de lui. »

« Il a toujours été très ouvert, compréhensif de tous types de pensées »


Fils et petit-fils de gardien de but, le jeune Marco a partout laissé, aux Pays-Bas, l’image d’un garçon à la fois mûr et plein de questions. « Il n’hésitait pas à parler avec nous de sa vie privée, de ce qui se passait à la maison, avec ses parents, sa copine, mentionne Alfons Arts, qui l’a lancé en pro à Cambuur. Il y avait pas mal de choses qui pouvaient trotter dans sa tête, le faire stresser. C’est aussi notre rôle de faire sentir au joueur qu’on est là pour lui, qu’on veut l’aider. »

Presque en retour, mais encore plus par passion pour les rapports humains, Marco Bizot n’a jamais rechigné, par la suite, à échanger, donner de son temps, de sa personne. Comme lorsqu’il a accompagné, bien des années plus tard, un réfugié érythréen dans son intégration à Alkmaar. « Ça traduit la personne qu’il est, sa volonté d’aider les autres, parfois issus d’une position plus difficile dans la société, sans attendre aucune compensation, salue Ricardo van Rhijn. Il a toujours été très ouvert, compréhensif de tous types de pensées, de personnes. Il aime quand les gens ne jugent pas un livre à sa couverture, quand on laisse chacun vivre comme il veut. »

Peut-être est-ce là un trait typiquement néerlandais : la franchise, l’honnêteté, parfois directe mais rarement brutale. « Nous, les Néerlandais, particulièrement ceux qui viennent des plus petites villes, nous prenons les choses avec beaucoup de simplicité », résume van Rhijn.

Aux côtés de Virgil van Dijk et Arne Slot
Sur le terrain, barré par la concurrence à l’Ajax, Bizot s’émancipe finalement à Cambuur puis à Groningen, où il découvre la première division à 21 ans. Il y côtoie un certain Virgil van Dijk, même âge, futur taulier des Reds de Liverpool et capitaine des Oranje, la sélection néerlandaise. Après un passage à Genk, en Belgique, le gardien se révèle définitivement tout près de ses terres, sous les couleurs de l’AZ Alkmaar. Et notamment sous les ordres d’Arne Slot, aujourd’hui heureux successeur de Jürgen Klopp chez les Reds.

Celui qui reste sur quatre victoires de rang face au PSV Eindhoven, obtenues entre 2019 et 2021, s’est fait un nom aux Pays-Bas au cours de ces quatre années. « Son choix d’aller à Brest avait surpris, raconte Johann Crochet, journaliste pour RMC et suiveur assidu du football néerlandais. Le choix logique après l’AZ, c’était plutôt aller dans les quatre grands championnats européens. » Un certain contrepied, qui rappelle celui de décliner un rôle de troisième gardien à l’Euro 2024, pour plutôt passer du temps en famille.

Un vrai bon mec qui laissera une trace indélébile dans les mémoires des supporters brestois.
Excepté celle de Dudu bien entendu !

Elles sont où les starlettes? Les suceuses de l'Equipe, du Télégramme, d'ici c'est vraiment con?

Dudu va t'il venir nous chanter une chanson avec son orchestre de bal musette ?!
Ah non, il n'intervient QUE pour critiquer.......

Du talent et de la moule ce soir, tout ce qui fait grand goal.

"Brest goalkeeper Marco Bizot has been named Player of the Match. UEFA's Technical Observer Panel said: "He made four top drawer saves in difficult circumstances. His reflexes and game reading gave Brest the foundation to score the opening goal against the run of play in the first half. A continuation in the second half gave Brest the opportunity to win the tie. Strong in the air, confident with his distribution, all-round excellence. Brest became the first team to stop PSV scoring in nine months." (UEFA.com)

La dernière phrase me laisse sur le cul

Tout à fait!

Bien que je ne sais trop comment ils en arrivent à une déduction pareille, si tu regardes leurs résultats, même récents...

Un p'tit 9 dans L'Équipe pour Superma...rco !

T’es où DuDu??

Toujours dans le vrai. Match exceptionnel hier tout en reconnaissant qu'il n'est pas dans sa meilleure forme depuis quelques semaines (stats à l'appui).
Probablement motivé contre ses compatriotes, il a surtout confirmé son point fort sur sa ligne mais aussi son point faible (sortie ratée quand il se fait lober, merci Chardonnet).
Bref, fan de ce gardien, il marquera l'histoire du club.

Il ne pouvait en être autrement
Heureusement que c'était un club néerlandais en face, c'est ça qui a fait qu'il était infranchissable.
ça tient à pas grand chose un résultat en football.