Mais s'il faut à tout prix qu'il y aient des dérivés de l'opium en france officialisons le truc, le pavot ça pousse en france. Alors soit on officialise et donc on arrete de financer le terrorisme, soit on ferme les frontières et on remplit le rôle d'un état de droit. Qui a pour priorité majeures, la paix, la santé des citoyens, le bien vivre en commun.

Il n'y a que les labos et les mafieux qui ont interêt à ce que la consommation de drogue dure en france s'intensifie. D'autres pays européens ont vu des générations bousillées en trop grande partie à cause de la présence de dérivés d'opium. Des pays qui n'ont pu que constater la gravité du phénomène et qui ont su stopper la consommation de ce poison devastateur. Ca existe, quand on veut stopper la consommation de dérivés d'opium dans un pays européen , on le peut. Seulement, pour ce faire, il faut des frontières, en plus de la prise en charge des gens qui sont malheureusement tombés dedans.

A se demander si encore une fois Big pharma ne fait pas du lobbying pour laisser se développer la consommation de poison, et ce afin de fourguer de la methadone à vie à ceux qui essayent de s'en sortir.

Encore un résultat de la fuite du maire face aux violences enracinées au centre-ville et particulièrement aux alentours de son bureau depuis quelques années. Vu son inaction, ces nombreuses victimes semblent n'étre considérées que comme des cas particuliers d'une vision purement dogmatique, celle-ci lui permettant de ne pas se remettre en cause. Je rappelle que pendant le mandat de son ami Hollande, rien n'a été fait pour augmenter les effectifs policiers ou trouver des solutions alternatives alors que la situation s'était déjà bien dégradée. Bien facile après coup de critiquer Sarkozy pour les conneries faites avant et le gouvernement actuel lorsqu'on ne prend aucune initiative au moment adéquat.

Publié le 08 octobre 2021 sur le site du 3grammes

« Et là, le gars me jette face contre le sol » : agressée en plein centre-ville de Brest, Émilie raconte.

Alors qu’elle se rendait au travail, le mercredi 29 septembre vers 7 h 30, Émilie*, 23 ans, a été agressée par deux hommes, rue de la 2ème DB, en plein centre-ville de Brest. Cauchemars, stress, et parano… La jeune femme raconte « cette angoisse » qui la suit comme une ombre depuis dix jours.
Émilie raconte son agression dans la rue du 2ème DB, en plein centre-ville de Brest.
Émilie raconte son agression dans la rue du 2ème DB, en plein centre-ville de Brest. (Le Télégramme/Arnaud Morvan)
C’était un matin comme tous les autres. Le genre de journée sans histoire où l’on se lève en pensant à ce que l’on mangera le soir. Pour Émilie*, prête à attaquer sa journée avant que le soleil n’ait pointé le bout de son nez, le rituel matinal est immuable. À 7 h, la jeune femme saute dans le bus pour un petit quart d’heure de trajet depuis son appartement, dans le quartier de Kérinou à Brest, jusqu’à l’hôtel de Ville, distant d’un peu plus de deux kilomètres. Elle parcourt ensuite quelques centaines de mètres à pieds dans les artères du centre-ville, rue de Glasgow puis rue de la 2ème DB. Avant d’attraper son tram sur les rails de la rue Jean-Jaurès, direction Guipavas.

Depuis deux ans, ce trajet quotidien avait tout de la routine. Mais mercredi 29 septembre, deux hommes lui sont tombés dessus vers 7 h 30. « Je descendais la rue de la 2ème DB, en direction de Jaurès », retrace d’une voix posée Émilie, agent à Brest Métropole. « Il faisait nuit, j’étais toute seule dans la rue. J’ai l’habitude de prendre ce chemin, donc je trace ma route. Au niveau du parcmètre, je sens quelqu’un qui attrape mon sac à dos. Je vois deux gars derrière moi. Celui qui a attrapé mon sac me jette face contre terre. Ils me piquent mon portefeuille dans ma poche de pantalon et me demandent si j’ai un portable. Je dis non, alors qu’il était planqué dans mon sac à dos. Ils se barrent directement en courant vers Jaurès. Moi, je suis un peu sonnée… Je les ai insultés, j’ai même pensé à leur courir après mais bon… ».

« Ces gens-là, ils font quoi de leur vie ? Ils s’amusent à faire des trucs pareils et, après, ils sont fiers d’eux ? »
Déboussolée par ce qui vient de lui arriver, Émilie décide de poursuivre sa route. En pleurs dans le tram qui la mène vers Guipavas, la Brestoise décide d’appeler son père. « Il est venu me chercher, je n’avais pas la force d’aller voir mon chef pour lui raconter. Je l’ai appelé plus tard… ». Elle porte plainte, un peu plus tard dans la journée au commissariat de Brest, en compagnie d’une amie. Une semaine avant, le mercredi 22 septembre, une jeune fille de 16 ans a été agressée sexuellement dans cette même rue de la 2ème DB.

Déjà agressée à Bellevue en 2016
Dix jours après les faits, Émilie est toujours en arrêt de travail. Les blessures physiques sont légères : quelques égratignures sur les jambes, dans le dos et sur la tête, ainsi qu’une petite entorse à la cheville. Mais psychologiquement, la douleur est toujours vive. « Tu te lèves tôt, tu vas au boulot et il t’arrive ça ! C’est révoltant. Ces gens-là, ils font quoi de leur vie ? Ils s’amusent à faire des trucs pareils et, après, ils sont fiers d’eux ? Je ne comprends pas ».

Aujourd’hui, Émilie « n’est pas dans le mood (dans la bonne humeur). Mon coach sportif m’a dit l’autre jour qu’il ne me reconnaissait pas. Je fais des cauchemars, je dors super mal ».

En 2016, alors lycéenne, elle avait déjà été agressée dans le quartier de Bellevue. « Trois gars m’avaient mis un sac-poubelle sur la tête pour me voler mes affaires. Je n’étais pas sortie de chez moi pendant trois ou quatre semaines… ». Cinq ans plus tard, accompagnée par la médecine du travail, par ses collègues « géniaux » et des amis, elle a décidé de sortir. « Tu remets beaucoup de choses en questions. Tu as de la méfiance envers tous les gens dehors, tu te mets à marcher vite sans raison ».

« Il faut que les gens sachent… »
Si Émilie a décidé de raconter ce qu’il lui est arrivé, c’est « pour toutes les filles qui n’en peuvent plus de se faire siffler, de se faire crier dessus ou agresser en centre-ville. Il y a déjà eu des agressions mais les gens ne le disaient pas forcément. Il faut parler, il faut que les gens sachent ce que c’est d’être bousculée et humiliée ».

La question de l’insécurité dans le centre-ville occupe une attention toute particulière à Brest depuis une quinzaine de jours. Du SOS lancé par les commerçants du bas Jaurès, aux réponses fermes du nouveau sous-préfet, le débat s’est également invité au conseil municipal jeudi soir. Mais cette ambiance pesante et plombante aux abords de la mairie, autour de la place de la Liberté et des artères proches de la rue Jean-Jaurès ne date pas d’hier. « Ça fait longtemps que je ne sors plus mon portable quand je marche dans la rue Jean-Jaurès. Quand je vois des gens bizarres, je change directement de trottoir. Je me mets pas loin des gens que je considère « sûrs », qui pourraient me défendre s’il m’arrivait un truc quoi. Aujourd’hui, on voit de moins en moins de filles se balader seules. Et très peu qui osent porter des jupes. C’est fou. Normalement, dans ta ville, tu te balades où tu veux, habillée comme tu en as envie. Et tu n’as pas peur de te faire taper en pleine rue… »

@Transam : et bien, vu de Paname, quelle « ambiance » à Brest ! Quel témoignage fais-tu là !
Je reviens (malheureusement) très très très rarement en pays brestois.
La dernière fois c’était le 10 août 2019 (pour montrer la ville à un ami Parigo et terminer le soir par SB29 - TéFéCé à Le Blé : 1-1).
Avant 2019, j’étais venu en… 2008 seulement…
Tu parles de la rue Jean Jaurès : indépendamment de l’improbable escalier de la Place de Strasbourg, mon ami et moi avons été pour le mois étonnés par le vide (presque le no man’s land parfois) de cette célèbre artère brestoise que j’ai connue dans les années 70 - 80 explosive d’animation, de vie, de commerces !
Là, rien, mis à part le bas de la rue (vers la place de la mairie) qui commence, on dirait, un peu à s’animer.
J’ai posé la question autour de moi et on m’a dit le tram, notamment, a tué l’activité !
Je ne suis pas anti-tram mais le « vide » (avec certaines fenêtres d’immeubles murées) de la rue Jean Jaurès, revue en août 2019, c’était très surprenant… sans parler maintenant de ton témoignage glaçant ci-dessus !!!
Après, j’ai aussi trouvé que de la place de la mairie à Recouvrance, c’était en revanche très amélioré, embelli, par rapport à ce que j’ai connu.
Mais vraiment glaçant ton témoignage ci-dessus !

Du mal à comprendre que le tram ait pu tuer l'activité du haut de Jaures !
Les travaux du tram très longs ont pu finir d'asphyxier une activité déjà morose dans ce quartier, morose du fait de la vétusté des immeubles.
Le tram aurait du être une chance pour ce quartier. Pour un commerce avoir le tram à proximité est une chance, théoriquement.
On a trop laissé le quartier se delabrer et une population se l'est attribué. On y trouve du hallal et du kebab et l'activité nuisible qui gravite autour de ces services.
Ne pas oublier que la justice et l'anti terrorisme se sont intéressés à un de ces commerces.

courage aux ouvriers qui travaillent avec ces pillages à répétition . actes isolés monsieur cuillandre ?
https://www.letelegramme.fr/finistere/b ... 7a3752d9df

Alban est un forumiste même s’il ne poste plus que très peu. Par contre, attention s’il’ chope quelqu’un, il n’est pas bien grand, mais il a la patate !

Courage aux ouvriers et excellente initiative de Alban pour faire bouger les choses.

parce que humblement j'en ai parlé ailleurs, parce que je n'ai jamais trouvé comment (à 9 ans !) rendre hommage à mon cher pot' Ronan, alors en toute modestie, mon cher copain, sache que je ne t'ai pas oublié, où que tu sois, Brest même Kérargaouyat toussaaaa, on rigolait bien

jamais je ne t'oublierai
d'ailleurs ils te rendent hommage, c'est bien.
désolé, depuis tant de temps je ne savais pas vraiment comment faire en sorte que Ronan et ses copains de ce jour funeste puissent rester dans les mémoires (pas de ceux qui ont toujours le chagrin) de notre chère ville, cet article sert à conforter. Jamais oublier.

Merci pour ce rappel de leur mémoire.

Je suis du même quartier, à 300 mètres de là et j’avais 10 ans. Je m’en souviens très bien. Je suis passé rue Anatole France le jour de l’explosion et je me rappelle de la trace laissée sur le mur par le corps projeté. C’est pas le genre de truc qu’on oublie. Je me souviens aussi des trous qui étaient faits sur les routes après pour laisser échapper le gaz.

Et moi aussi, avec des potes, j’ai exploré des souterrains et des blockhaus avec des torches rudimentaires. Il y en avait plein à Saint-Pierre. Ça aurait pu être nous… J’ai eu droit à un sacré sermon de ma mère. Déjà qu’elle voulait pas qu’on aille dans les blockhaus avant…

Je ne savais pas qu’il y avait une stèle à leur mémoire. Elle a été mise dans leur quartier, donc, mais pas sur le lieu de l’accident. Je me suis arrêté il y a 2-3 ans, et je déplorais justement qu’il n’y ait rien à cet endroit. J’irai me recueillir devant cette stèle.

j'avais le même âge que Ronan, ce jour là, férié, j'avais accompagné mes parents à la "campagne"
en rentrant et remontant la rue Anatole France avant de tourner à gauche avenue de l'E.N. (où nous habitions) nous fûmes surpris de voir plein de gens dans la rue et des morceaux de journaux voletant partout. Kermesse dont nous n'aurions pas été au courant ?
bref, lendemain matin, ma maman et ma sœur me voient arriver au p'tit déj'
la suite fut cruelle, même si elles surent m'annoncer de façon "simple" la réalité à laquelle je devais désormais me confronter. Je ne décris pas la suite, nous ne sommes pas sur un site de psychothérapie
moi aussi j'ai pas mal exploré les alentours, on trouvait des balles Allemandes, voire des flingues Américains dans les jardins de nos parents ; mon père dut casser un morceau de blockhaus dans le jardin quand il fit construire la maison à l'épok (j'ai pas vu: tout juste né). J'me rappelle d'un peu plus vieux que moi, voisin, qui exhibait une mitrailleuse Thompson (inutilisable) trouvée par son père dans leur jardin.
Plus tard je fus au keuneu, et là depuis le (dessous du) CIN tu pouvais faire des parcours incroyables !
les chleux z'ont laissé des trucs de dingos point de vue souterrains.
Kreiz' : jamais trouvé une MG44; probap' que d'autres en ont vu.
Tout cela fait partie de Brest, je ne veux surtout pas remonter ces souvenirs cruels pour je ne sais quelle raison futile, juste être modeste témoin de l'histoire de ma TRES chère ville.
MIG', clur (copiright Tiflo) que les trous dans l'asphalte des trottoirs furent des témoins journaliers de cet évènement, les enfants qui devinrent ensuite ados durent voir ce rappel de l'événement longtemps, mais rien à voir avec la douleur des pauvres parents de ces jeunes copains.
Maintenant que je connais l'existence de cette plaque, j'irai ...

Nous étions voisins Muzo! Je me souviens des landes dans lesquelles, accompagné de camarades plus âgés, nous faisaions la chasse aux vipères, un peu plus bas que chez toi! Maintenant c'est un dédale de rues aux constructions plutôt cubiques... assez laides.
Par contre, j'ai vu ces mêmes camarades, sortir une mitrailleuse du sable (modèle allemand ou américain) à Trégana (?). Ca ressemblait à une 12.7. Mon pote l'avait prise pour une racine et avait trébuché. Elle sortait du sable légèrement. Le père l'a rénovée et démilitarisée, puis je l'ai vue exposée dans l'entrée chez eux.

ha ouais ? tu habitais à Kerargaouyat aussi ?
j'habitais au 10 de l'Avenue de l'Ecole Navale.
quasi chez les gendarmes maritimes, qui avaient de belle filles d'ailleurs
c'était quand même un quartier sympa, tranquille, plein de pompons rouges et de pingouins (double langage entre mots Brestois et mots de la Royale (Marine Nationale, pffff ....), à ne pas confondre).
J'ai tellement aimé ce quartier, ses gens, le Mesdoun (!), et je l'ai connu avec 2 façons de le vivre, en étant un habitant, et aussi un membre du keuneu. Nous étions pas mal à rentrer dans ce Lycée (Collège au début, jusqu'en septembre 1981, réforme HABY oblige) depuis le quartier, quelques uns ont fini dans le grand corps, d'autres non, Daltonien
pffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff
Rien ................... Triste ...........

huuum certes j'habitais là, mais les honorables personnes qui y habitent désormais n'ont rien à voir avec moi, la maison fut vendue. Je leur souhaite bon séjour si elles lisent ce fofo.
Et toi, Rieder, tu habitais où ? tu réponds ou pas, c'est un peu perso, la rue ? voire "moins" ?

J'habitais de l'autre côté de la lande, rue Gicquel Destouches (impasse à l'époque). Avant, j'habitais dans un hlm, boulevard Jean Moulin qui a été revendu en appartements privés depuis. Il donnait sur la morgue (?)

Mon père, fonctionnaire, avait eu un prêt intéressant et avait acheté un terrain dans cette impasse. Prêt en grosse partie remboursé avec l'inflation. Il avait fait les plans.... dans l'esprit de l'époque, c'est à dire le moins de matériaux possibles. Il a fait un cube avec des fenetres, quelques pierres apparentes et a fait signer un architecte.

Une petite verrue, pas chère, avec vue sur la rade et le Portzic, maison blanche pas loin quoa!

A vue de nez, par la lande en contrebas de chez toi, j'étais à 400-500 mètres de chez toi. Il y a avait des champs cultivés à Keratry.

A l'époque, je faisais des fugues. Une fois mon père est venu me chercher au poste de la base, dans laquelle on m'avait retrouvé. Une autre fois, m'ennuyant à un repas dominical de famille, j'ai disparu. On m'a cherché partout. Au bout de quelques heures, un véhicule de police avec un un mégaphone a sillonné le quartier. On m'a retrouvé endormi sous mon lit en fin d'apres- midi. J'avais joué avec mes soldats sous le lit (combat de nuit quoa ) et le sommeil m'avait surpris. C'est une partie de mes exploits qui faisaient rire mes neveux quand ils étaient gamins!

Et puis un jour, mon père m'a emmené au port de co. Il y avait une livraison de soja et des larmes ont glissé sur ses joues. Il m'a dit qu'on quittait Brest. Ces larmes, je les ai eues de façon pratiquement continue, quand avec Riederette j'ai fait le chemin du péno jusqu'à cette maison à pied en 2005. Ces larmes, je les ai encore quand mes souvenirs s'attardent sur le paradis de mon enfance... La nostalgie, l'émotion, quoa!

J'ai des super souvenirs de ce quartier.

Je me rappelle de Stéphane L. .

Nb: le cube est au 8 de la rue Gicquel-Destouches

La fugue était donc un virus brestois. Dès la maternelle place Sanquer, j'en étais adepte aimant musarder au vent qui montait de la mer.
Vu le cube sous le soleil, pas si vilain. Brestois, ni beau, ni laid. Simplement brestois

Le cube avait un superbe cèdre bleu du Liban devant... Ca mettait le blockhaus en valeur. Le problème, ca a du être les racines qui ont dû fragiliser le monument. Les nouveaux proprios n'ont pas eu besoin de l'avis des bâtiments historiques pour procéder à son abattage.

Les voisins c'était Marine et arsouille.



Tout à fait! Ca reste identitaire de Brest... La reconstruction avec ce qu'on a... Et ca a perduré... Je me rappelle les baraquements. Mes grands-parents ont hébergé une famille de brestois apres la guerre à Douarnenez pendant pas mal de temps. La misère noire que c'était! Toute l'architecture brestoise demeure enrobée dans cette histoire tragique. L'architecture reste tributaire de la manne financière pour une bonne partie. Mais c'est pas essentiel. L'utilitaire, dans le contexte, a pris le dessus quoa!

Ca me fait penser à l'association des castors.

https://www.castorsouest.eu/histoire-de ... -de-louest

les castors



Nb: Je me moque de la maison car mon père en est très fier sur le plan esthétique... Et c'est un moment de rigolade à chaque fois qu'il l'évoque!

Ras le bol de ce principe de précaution à outrance des autorités qui ferment le Vallon de Stangalar tout le week-end.
Les habitants du haut du vallon voulant se rendre au moulin blanc n’ont d’autres choix que de prendre la route de Quimper ou du Rody pour y descendre.
Le risque de se faire renverser est plus grand que de prendre un arbre sur la tête avec un vent de 20 km/ heure.

J’ai très envie de vous emmerder.. !