I guess he's not.
De Santis un angelo ? A ti que te parece Luciano ?
Mes excuses sincères, pour les insultes proférées envers los EEUU. Mais bon... l'attentat du Nordstream par ex, c'est compliqué à digérer. L'élément du mouillage dans nos eaux en plus, j'aime pas ça du tout, logique. D'ailleurs je n'entends pas les écolos tout faire pour que l’enquête avance à propos du plus grand acte de terrorisme écologique jamais perpétré.
Et puis les français n'ont qu'à être assez intelligents, pour ne pas gober les bêtises qu'on leur raconte, il doit y en avoir de plus en plus. Les français doivent mesurer le sale état dans lequel se trouve l'once sam ; Et réaliser que ce n'est pas parce que Joe Biden est président, qu'il est sain d'esprit. Cela me met mal à l'aise de voir cet homme en décrépitude, perdre ses sens et son esprit face caméra. Partir comme dans des delirium, au sein même de la maison blanche. Heureusement qu'il n'y a pas de micros qui enregistrent ses crises de démences, son irritabilité soudaine et vulgaire. La claque qu'il a pris, quand tu revisionnes des échanges/débats télévisés il y a 20 ans de cela, avec Scott Ritter en face, inspecteur aux Nations unies à l'époque.
De Santis, c'est le gouverneur de la Floride ? A ce qu'il parait il a été gentil quand il y a eu les ouragans dévastateurs. Je ne connais pas son camp politique, je ne l'écoute pas, ni Trump, ni Oprah Winfrey. Par contre j'ai écouté Ice Cube * dernièrement, il était intéressant, il m'a surpris.
Je ne connais pas non plus la teneur réelle des partis politiques aux EEUU. De toute façon il semblerait que là bas aussi, le pouvoir politique s'est fait supplanter par le pouvoir financier. A la base pouvoir financier, tu te dis que ce sont donc des gens responsables en costard qui "rule the world". Le problème c'est que la dégénérescence et la démence a aussi gagné des esprits de ces chers tenants du pouvoir financier, malheureusement. Et pour de plus en plus de gens finalement, pour péter ce nouvel ordre mondial qui plante toujours plus de drapeaux jours après jours, il faudrait interdire le Wef, le démanteler. Supprimer le Wef et mettre à nu la société secrète des Bill Gates, Rockfeller et autres ultra-actionnaires. Le Deep State plus les globalistes du reste du monde. C'est eux le problème, "Know your ennemy".
J'ai plus d'attente envers les contre pouvoirs américains, qu'envers les contre pouvoir en France ou en Europe. C'est pour ça que je guette depuis le début comment ça évolue aux USA. Tout n'est pas à jeter par là bas. Ce n'est pas parce que leur politique étrangère est nuisible depuis des décennies, que tous les américains sont des imbéciles heureux et qu'il faudrait tous les mettre dans le même sac. Il doit bien subsister quelques esprits éclairés qui ont une autre vision de leur pays. Comme Jeffrey Sachs que j'avais écouté lors de l'intensification du conflit en Ukraine.
Pour moi à la base les USA c'est un concert de Paul Simon à Central Park, c'est Nirvana, c'est Rage against the machine, c'est Body Count, c'est Rahzel, c'est Dusky, c'est Jimmy Hendrix, c'est les Pixies, c'est l'homme aux 3 platines Jeff Mills. C'est Dan Marino et c'est John Wall.
Les USA c'est aussi le pays d'origine du Sonic Youth de Thursten Moore, de Kim Gordon, de Lee Ranaldo et de Steve Shelley.
Un pays capable de tout, du meilleur comme du pire.
* C'est marrant d'observer Ice Cube , représentant enblématique du hip hop et des cultures urbaines, se positionner comme opposé à la cancel culture, au wokisme. De l'entendre dénoncer ces tendances que nous subissons aussi ici, à chercher la division entre les gens, à insuffler la peur dans les esprits. J'ai toujours su que même si je n'adhérais pas à certains "Lyrics", il y avait aussi des parts de vérités et de bon sens, même chez les têtes de file du rap des 80/90 aux USA. Il suffisait de faire le tri, mais pour cela c'est mieux de comprendre les textes, afin de tenter de faire preuve d'empathie pour celles et ceux qui demeurent encore curieux.
Et j'ai vite mesuré la source d'erreur sociologique, qui pouvait mener certains à mal comprendre les textes et le message réel des leaders de la rue aux USA. Et cela je m'en suis rendu compte en écoutant KRS One et notamment son tître "Sound of da police". La vérité c'est que je n'ai jamais vraiment cherché à comprendre les Lyrics car c'est le "son" qui me plait, les "vocals", la basse, et la production qui fait que ça sonne très bien dans les enceintes. Et je n'entendais pas de haine dans les textes, de la colère oui sur certains tîtres. Notamment contre les "pigs". Le message de ces gens là ce n'était pas : "il ne faut plus de flic du tout". C'était alerter et dénoncer les pratiques des flics ripoux, ceux qui font des abus de pouvoir et au final qui ne représentent pas les vraies valeur de l'uniforme. Donc moi cela ne me dérangeait pas d'entendre ce message. Tout ce que je craignais, c'est que des gens généralisent ce message en simplifiant à une sorte de : "tout les flics sont des ripoux". Alors que ce n'est pas le sens du message de l'époque. D'autant qu'ils savent très bien l'importance d'avoir une police réglo dans des endroits ou le crime organisé avait déjà pris pied depuis presque toujours.
Mais les gens ici en france croient que "Sound of da police" veut dire "assassin de la police", alors que non. Et moi jamais je n'écouterais ni n'aimerais une chanson qui comporte de telles paroles. Mais des gens croient ça, que les paroles cela veut dire ça. Alors qu'en fait KRS One imite le son des gyrophares de voitures de police, c'est tout. Il formule un contexte, il décrit une scène témoignant de tranches de vie dans le Bronx. A aucun moment il ne prononce les paroles que les auditeurs français qui écoutent ça, croient qu'il prononce. Et cette erreur de compréhension je l'ai capté très vite, dès que je passais cette chanson en soirée. Les gens n'avaient rien compris... Ouille. C'est le genre de détail qui a plus d'importance qu'on ne le croirait, sociologiquement. C'est un exemple d'une conséquence que nous subissons, et dont l'une des causes est la baisse de la maitrise du langage, et de la faculté à se poser les bonnes questions pour être sûr d'avoir compris. A se demander si cela n'arrange pas certaines personnes, qui "rule da world".
Et par extension/projection, je me suis dis (fin des années 90) que même s'il y avait du bon rap (ce n'est pas à moi d'en juger), je me doutais que cela pourrait aussi être source de propagations/diffusions d'idées à la con et d'idées pré conçues. Pondues ou permises, par des cerveaux que ça arrange bien de semer le bordel, dans des pays qui allaient très bien. Et qui à présent voient le poids de leur propre culture, impacté par la place que prend l'industrie du hip hop "commercial". Celui qui a perdu son essence même. Par l'appropriation des droits et la diffusion des grandes majors, utilisées à bon escient, selon de quel côté on se place. Bref.
_________________ Je pense donc je suis, même si je sais que je ne sais pas.
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