Exact, bonne rentrée de Traoré.

Grand match de Florian, félicitations mon gars t'es au top !!!

La classe à Dallas
On a le chic pour blinder l'axe centrale. Là dessus, le club est équipé. Dommage qu'il ne soit pas avant centre ...

T'es sur que tu ne voulais pas plutôt dire la classe à Darlas !!!

Si Kantari et Martial ne restent pas on tient la notre défense centrale pleine d'avenir en plus

et tu rêves l'ami Lejeune est prêté et j'aimerais par la même savoir la somme qu'il faudrait débourser pour l' enrôler en fin de saison mais j'ai bien peur qu'elle soit bien trop élévée pour nous

acheté 1 million à Istres. il a peu joué la bas donc j'imagine que sa valeur marchande n'a pas ou peu augmenté

De toute façon, le club connait le montant de l'option d'achat, négocié avant son arrivée, c'est à dire, sans savoir s'il allait briller ici !

Florian Lejeune est arrivé cet hiver à Brest en provenance de Villareal. Contexte sportif difficile pour ce défenseur central de seulement 21 ans qui risque d'être une des clefs du Stade Brestois dans la course au maintien. A-t-il les nerfs assez solides pour briller en fin de saison ? Notre chroniqueuse, Oriane Marrec, a pris une heure pour tenter de cerner ce joueur prometteur.

Florian Lejeune, grand blond de 21 ans, peu connu encore du grand public. En effet, quand on le « googlelise », on trouve peu de choses à son sujet. Jeune homme très discret, apparemment bien dans ses baskets. Quand on le croise, toujours un regard, un sourire… et le casque vissé sur les oreilles.

Que trouve-t-on dans son Ipod ? « Du rap français comme Booba, La Fouine, Rohff, Sexion d’Assaut ; du rap US, du reggaeton. Je suis accro, ça me canalise. Quand je ne les ai pas avec moi, je deviens fou ! Je trimballe partout mon casque et mon Ipod. Je peux te dire qu’ils ont sacrément voyagé ! Jusqu’en Colombie ! Je ne suis pas bien sans ». Et de la variété française, jamais ? « Si, j’aime bien les Enfoirés. Je regarde l’émission avec ma copine ».

Le sport sinon rien !
Florian a mené une existence simple, entre l’école et le foot amateur. « Depuis tout petit, j’ai toujours eu un ballon entre les mains. Chaque Noël, chaque anniversaire, j’avais le droit à un nouveau ». Une collection impressionnante qui s’est arrêtée « vers l’âge de dix ans ». « Ce n’était plus possible, il y en avait trop ! », s’amuse-t-il.

Joueur amateur, le rêve de devenir pro reste sans cesse dans son esprit, même lorsqu’il quitte Paris pour le Sud de la France, à l’âge de 13 ans. Quand il débarque, il fait des premiers essais dans des clubs, mais ça ne marche pas, du moins pas tout de suite. Florian poursuit ses études. « Je n’aimais pas l’école. J’étais fainéant, parce que ça ne me parlait pas. J’ai très vite lâché. Ma mère était stressée et me disait de faire quelque chose de ma vie ! J’ai vite compris que sans le sport, je n’étais rien ».

À 17 ans, lors d’un entraînement à Agde, on lui propose un essai au club professionnel d’Istres. Sa bonne étoile s’agite. Le destin s’en mêle. On lui propose au même moment un emploi à Agde. Dilemne. « J’en ai discuté avec mon père. Il m’a dit : « Écoute, il s’agit d’un an à Istres, après tu verras ». On a pesé le pour et le contre ensemble, mais il m’a fait comprendre que c’était à moi que revenait la décision, que c’était ma vie ».

Sacré bourlingueur
Florian quitte le nid familial et prend son envol. Le grand saut. « Ça n’a pas été difficile. Entre mes 15-16 ans, j’ai passé un an à Sète. Au début, je rentrais tous les week-ends à la maison. Et puis, il a fallu progresser et donc récupérer. J’ai diminué les sorties et au final, je rentrais une fois par mois », rigole-t-il.

S’en suit une vie de bourlingueur : après Paris, Béziers, Sète, Adge, Istres, c’est à Villareal puis à Brest qu’il file. Compliqué ? « Je m’adapte facilement. Ça ne me dérange pas. Je suis un peu timide mais j’ai toujours vécu le moment présent à fond. C’était soit le foot, soit rien, je ne voulais pas d’un boulot comme tout le monde, je savais que ce n’était pas moi ». Il a bien essayé… Les stage obligatoires ? « Au bout d’un jour, j’en avais marre ». Le travail en pharmacie ? « Ca ne me correspondait pas ».

Heureusement pour lui, le foot devient son vrai métier. En 2011, il signe pour deux ans au Villareal CF. Direction l’Espagne ! « La première année, je ne me suis pas embêté, reconnait-il. Il y avait un Français, donc on parlait français tout le temps. Après j’ai pris des cours. Au bout de deux ans, je parlais couramment, je pouvais prendre la parole en conférence de presse ». Tout s’est enchaîné très vite et nous voilà aujourd’hui à Brest à discuter paisiblement.

Sur les traces de son père
Une heure est passée. Florian est effectivement très zen. D’où lui viennent donc cette tranquillité, cette humilité ? « Je ne me prend pas la tête, c’est aussi simple que ça. Il faut rester cool. Que je sois à Manchester ou à Brest, je suis bien, je fais ce que j’aime. C’est tout ».

C’est tout ? « Oui, je suis comme tout le monde et ça ne m’a pas perturbé ». C’est son père qui doit être très fier de le voir réussir. Cette carrière s’est jouée à une discussion. C’est un rêve pour lui de le voir jouer chez les pros ? « Mon père est parti l’an dernier… Il était gardien de but en football amateur. Oui, je pense que c’était un rêve… ».
http://www.septjoursabrest.fr/2013/03/2 ... rometteur/

Il a montré qu'il avait des capacités mais on le met sur le banc....

Il doit s'demander c'qu'il est bien venue foutre a Brest aujourd'hui!

Blanc, non-musulman, plutot pas mauvais au foot, il n'avait aucune chance au Stade Brestois.

Il ne joue pas il ne restera pas. Dommage ... Kantari, Traoré c'est tellement mieux ...

Martial aura fait un superbe numero 10 pour les bicots.

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