parce que tu crois qu'il lit le forum?

excellent!


ps: eh mich ' , tu pourras changer de speaker s'il te plait ?

Ben justement. Et comment se fait-il que tu ne les cloues jamais au pilori? Ces deux là avaient monté le dossier de reprise qu'ils avaient défendu au tribunal de commerce en 91, pourquoi n'ont-ils pas insisté? Pourquoi n'ont-ils pas pris la présidence du club au moment où justement personne n'en voulait? Pourquoi ne prennent-ils pas le club en main aujourd'hui?
Peut-être parce que leur place dans l'ombre est beaucoup plus confortable que celle de Jestin qui est "descendu" quand les résultats sont mauvais.
Ils attendent quoi? La L1 et le nouveau stade pour sortir de l'ombre?

Il doit bien rigoler Jestin en lisant le forum .... ....
C'est certain que vous feriez mieux à sa place ....

En même temps, je ne vois pas pourquoi tu interviens ici. Le président de ton club préféré, c'est NLG non ?

À l'IUT, l'année démarre par une dictée !

Audrey et Michael, hier, en exercices de dictée, à l'IUT de gestion de Grenoble. Ouest-France
Inquiets du faible niveau des bacheliers, des professeurs réhabilitent l'orthographe. Les élèves s'y remettent, tant bien que mal.

GRENOBLE (de notre envoyé spécial). - Drôle de surprise, lundi, pour des étudiants de Grenoble. Les 180 élèves de l'IUT de gestion des entreprises et des administrations ont débuté leur intégration par une dictée de deux pages. « Comme des enfants du primaire », s'en amuse l'un d'eux.

Le texte de l'épreuve annonce d'emblée les intentions des enseignants : « Munis de votre baccalauréat [avec deux c !], vous voilà admis dans une filière d'excellence », commence Marie-José Saillen, professeure de techniques d'expression. La suite de la dictée est plus brutale : « Syntaxe défaillante, orthographe négligée : tel est le triste constat fait par vos professeurs du second degré. » Plus question que cela continue avec ceux de l'IUT : « Nous sommes persuadés qu'il est possible de pallier vos lacunes par un travail régulier et méthodique. » Fin de la dictée.

Retour au Bled

Les potaches qui se rêvent dans le costume d'un cadre de banque ont été priés de commencer par acheter le Bled. Mais oui, le Bled, ce petit manuel de grammaire rébarbatif dont les grands-parents nous parlent avec des trémolos dans la voix.

Ce mercredi, à l'IUT, Michael Bécheret, 18 ans, sort déjà le sien de son cartable. Bleu ciel pétant, « avec des règles à apprendre, surlignées en jaune », pouffe sa voisine Audrey, une liane de 17 ans. En guise d'amuse-gueule, la professeure a conseillé les pages 40 à 48. Michael, crâne rasé branché, feuillette la chose et lève les yeux au ciel : « Le participe passé, épithète ou attribut... » Quasi du chinois.

Ses copains rient jaune. Les quinze premiers jours, ils vont tous se coltiner trois heures et demie de révisions en grammaire et orthographe. Avec trois dictées sanctionnées par une note comptant pour le contrôle continu. « Ensuite, on devra se perfectionner tout seul », précise une petite blonde. « Les enseignants promettent quelques piqûres de rappel et, pour la première fois à l'IUT, un retrait de deux points sur chaque copie d'examen chargée de fautes. »

Une mesure vécue comme injuste ? Même pas. « Sur les trente de mon groupe de travaux dirigés, un seul a fait moins de cinq fautes à la dictée, reconnaît Audrey. Et la moitié, plus de quinze fautes. » Plus tard, cela risque de faire tache sur une lettre de motivation ou une note à un client...

En deux jours, ce message choc de l'équipe enseignante a déjà été bien assimilé. « Il y a un problème d'orthographe. » Et pas qu'à Grenoble. « Question de générations, poursuit Michael. Celle des SMS et tout ça... Et puis, il y a eu du laisser-aller en primaire. Pas assez de par-coeur. » C'est-à-dire ? « J'en sais rien. Mais on n'arrête pas d'entendre que c'était mieux avant... »

François CHRÉTIEN.

Que c'est désespérant de lire toujours les mêmes rengaines!