Doux Jesus, il y a donc de sacrés experts en éducation sur ce forum.

Le socialisme n'a a mon sens pas grand chose à voir là dedans. Pour côtoyer des diplômés d'universités de l'est dans les années 80, ils sont particulièrement costauds dans leurs domaines respectifs, bien plus que les français en général, et à des années lumières des ingénieurs low-cost des universités maliennes ou marocaines.
Ils m'ont expliqué la différence entre leurs études et celles de leurs enfants en France. Pour eux, c'était la recherche de l'excellence avec en toile de fond le fait d'en faire profiter le régime. Alors qu'en France, c'est l'égalitarisme qui prime. La majorité des profs sont fondus dans un moule soixante-huitard trotskiste, pas pareil.
Ici, le but n'est plus l'instruction, mais l'égalitarisme, et vu ce qui déboule depuis 30ans, rien d'étonnant à ce que l'on troc le passé-simple contre la pâte à modeler.

Si je ne me trompe pas, la Bretagne est devenue le lieu le plus demandé pour les mutations des profs d'Île de Frônce depuis quelques années ?
Pour le climat sûrement...

Le système des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) que tu évoques a été un peu préservé du désastre car les enseignants y font de la résistance. En gros, les programmes en sup et spé "baissent" mais les profs parviennent plus ou moins à colmater les brèches, car les textes de concours sont ambitieux et nos élèves de prépa sont brillants. Par conséquent, l'écart entre les étudiants de prépa marocains (ou tunisiens) et les français est minime. Par contre, notre collège et notre lycée sont de véritables champs de ruines en sciences dures, et le phénomène s'accélère.
Dernier point, le pire ne concerne pas les programme de mathématiques, mais ceux de physique-chimie, là où les connaissances d'un étudiant actuel de terminale (spé physique) sont du niveau de celles d'un étudiant de seconde d'il y 25 ans.

Je n'arriverai jamais à ta réputation de plantage, devenue légendaire. Je l'admets.

Le système des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) que tu évoques a été un peu préservé du désastre car les enseignants y font de la résistance. En gros, les programmes en sup et spé "baissent" mais les profs parviennent plus ou moins à colmater les brèches, car les textes de concours sont ambitieux et nos élèves de prépa sont brillants. Par conséquent, l'écart entre les étudiants de prépa marocains (ou tunisiens) et les français est minime. Par contre, notre collège et notre lycée sont de véritables champs de ruines en sciences dures, et le phénomène s'accélère.
Dernier point, le pire ne concerne pas les programme de mathématiques, mais ceux de physique-chimie, là où les connaissances d'un étudiant actuel de terminale (spé physique) sont du niveau de celles d'un étudiant de seconde d'il y 25 ans.

Toujours pas un expert non plus en répartie à ce que je vois...

Si je suis constant, cela ne fait aucun doute, toi tu régresses. Vite un smiley à ton secours !

Oui, c'est vrai. Je pense même que certains sans moquerie pourraient remplacer l'actuel ministre de la dite éducation. Dire que sa frangine a attrapé le Goncourt ( qui ne vaut plus rien comme le BAC sinon le prix de l'opportunisme ), je me demande d'où sort cette famille... Y'a comme des bizarreries.

Un meneur d'homme remarquable, MDZ en est un autre

Tu es reparti, sans répartie, dans tes attaques niveau cour de récré. Ta constance dans la nullité est impressionnante.
Il ne doit vraiment pas avoir beaucoup de faux billets pour tes spectacles.

Merci