Personnelllement j'y crois parce que j'ai confiance en Greg.

je ne connais pas trop Honorat donc aucun jugement, en revanche sur le fait de vouloir le joueur depuis longtemps je ne peux m'empêcher de pense à P.Lasne donc...

Je suis le premier à reconnaître que Lorenzi c'est autrement plus sérieux et professionnel que Martins, mais de la à se dire qu'il ne fait jamais d'erreur...

T"es mignon Oceanoupoulis mais tu diras dire ça au PSG pour Choupo Moutic !
Ah si des erreurs il y en a. Kiki par exemple...

Le mec joue 450 minutes en 9 matchs (3 buts, 1 passe) : donc il fait mieux et plus qu'une grande majorité des attaquants de ligue 1 mais son raté monumental va le poursuivre toute sa carrière.

Scout dans sa démonstration fallacieuse démontre les limites des stats mal utilisées. Il suffit de considérer la domination parisienne sur la ligue 1 et la palanquée d'occasions qu'ils se créent à chaque match pour largement relativiser les stats de Choupo

Les postes ciblés

Les dirigeants brestois ont fixé trois postes prioritaires. Ils recherchent d’abord un latéral droit, poste qu’ils veulent « rajeunir » après la non-reconduction de Belaud, deux milieux excentrés et un attaquant de pointe. Remplacer Castelletto dans l’axe de la défense n’est à ce jour pas une priorité alors que Bain, Duverne et Chardonnet sont sous contrat. « On verra en fonction des opportunités du marché », glisse le directeur sportif du Stade Brestois, Grégory Lorenzi.

Quant au dossier Romain Faivre, il n’avance pas si vite que ça. Oui, Brest est intéressé par le jeune milieu de terrain monégasque, non on n’est pas tout près d’un accord.

L’enveloppe financière

Le Stade Brestois a dépensé 7 millions d’euros à l’intersaison dernière et dispose d’une enveloppe supérieure cette année. S’il avait acheté Diallo et Cardona pour plus de deux millions d’euros chacun l’an passé, Brest peut monter encore le curseur à 3 ou 4 millions, mais ne fera pas beaucoup de coups à ce tarif.

Le marché français

« La crise n’a pas calmé les choses », râle Grégory Lorenzi. Les cibles brestoises : Grbic, Honorat, Vagner notamment sont chères, un peu trop à l’heure actuelle pour le club finistérien. Brest s’est positionné sur Grbic, le buteur clermontois. Mais il sera compliqué pour le club finistérien de l’accueillir.

Certains concurrents ont un tout autre standing et bien plus de surface financière que Brest pour qui Clermont demande trop. Ou le prix demandé baissera, où il ne sera pas Brestois. « Il y a des sphères dans lesquelles on n’ira pas », prévient Grégory Lorenzi. Et pas sûr que Brest soit aujourd’hui une priorité pour le joueur, même s’il veut du temps de jeu. Les enchères montent aussi pour Honorat et Vagner. Et ça ne fait donc pas l’affaire des Finistériens.

La concurrence

Sur ce marché estival, Brest joue dans la cour de Metz, Lorient ou Lens, et doit faire concurrence aussi à Strasbourg ou Reims par exemple qui se positionnent sur les mêmes joueurs. Certains clubs sont prêts à casser leur tirelire avec l’augmentation des droits télé et d’autres à fournir des émoluments aux joueurs que Brest n’offrira pas. Même si le club sait devoir augmenter le curseur s’il ne veut pas essuyer de refus.

Le déficit d’image

Brest est un jeune club en Ligue 1 et ça joue dans l’esprit des joueurs qui entendent se faire voir à cet échelon. Un stade vétuste, ça ne fait pas non plus rêver malgré la chaude ambiance de Le Blé. C’est aussi un élément qui ne joue pas pour le Stade Brestois.

L’étranger

Le marché français étant compliqué et cher, Brest lorgne des championnats étrangers, à l’est de l’Europe notamment. Les joueurs y sont plus abordables. Mais on ne fait pas forcément du meilleur buteur de Slovénie un titulaire en Ligue 1.

Des prêts ?

Brest devrait opter pour un ou deux prêts cette saison maximum. L’idée est toujours d’investir pour avoir plus de stabilité.