Oubliez kerbrat et baysse, il faut absolument recruter Loïc Perrin

Très expérimenté, rapide, beaucoup d’engagement sur les tacles. Et en plus il a un prénom breton ce qui prouve à coup sûr qu’il donnera tout pour le club

Il est libre, en pleine forme, une occasion en or

Kerbrat a été 16 fois titulaire la saison dernière en L2 chez l'un des plus gros budgets . Pour mettre les choses en perspective , Chardonnet la saison de la montée de L2 en L1 ne l' avait été que 10 fois .
La saison dernière en L1 , çà n' a pas empêché Chardonnet d'être très bien avec 12 matches au compteur ...
Il faut se méfier des idées arrêtées ou préconçues .

Pour les adeptes du jeunisme : Montpellier 8ème du dernier championnat de L1 avec pour titulaire au poste de défenseur central :

https://www.transfermarkt.fr/hilton/profil/spieler/4811

Pour les amnésiques , Brest n'avait pas vu le jour là bas ...

Perrin serait évidemment une superbe recrue malheureusement improbable.

Je l'avais vaguement évoqué....
Je continue de penser que c'est de moins en moins improbable....
A prendre en considération son rôle sur le terrain,ET celui dans le vestiaire...
Y'a pas beaucoup d'équivalent,libres.....
On sait tous que le Loïc fera pas les 38 matchs...(normalement)

Même s’il n’a pas confirmé officiellement sa retraite, le scénario cauchemardesque vécu vendredi soir renforce la thèse selon laquelle il a disputé le dernier match de son exemplaire carrière (469 matches, 30 buts avec les Verts depuis 2003). Perrin ne devrait toutefois pas l’annoncer cette semaine. Il préférerait s’accorder le temps de digérer avant de parler. Pour présenter publiquement ses excuses à Mbappé – ce qu’il a aussitôt fait auprès de l’intéressé – et annoncer qu’il arrête. Sa prolongation de contrat d’un mois se terminant le 31 juillet, il ne devrait pas prendre part au match amical contre Bordeaux, samedi (18 heures) à Geoffroy-Guichard. À partir de cette date, Perrin pointera au chômage. Et après ? Une clause dans son contrat engage le club à l’intégrer dans le secteur professionnel. Si elle sécurise son avenir, elle n’est toutefois pas très précise (pas de définition d’un poste ou d’un salaire). Perrin, qui a commencé à prendre des cours d’anglais, pourrait dès lors se voir proposer de découvrir différents services du club et entamer des études au CDES (Centre de droit et d’économie du sport) de Limoges.

Qu’est-ce qui vous manquera le plus ?

Le vestiaire et sa vie. Cela fait près de trente ans que je vis dedans. La gagne, aussi. J’ai ça dans le sang. Ce sera spécial de voir un match en tribunes, dans une ambiance de folie à Geoffroy-Guichard, en me disant que je ne pourrai plus être sur le terrain. Il me faudra faire le deuil et donc, m’occuper autrement, pour passer à autre chose. Parce que l’adrénaline du match et de la compétition, je ne la retrouverai pas.

Même pas dans un autre sport ?

J’aimerais en faire plein. Mais mon genou ne va pas aimer le tennis et le badminton. Le vélo, oui.

Comment envisagez-vous votre seconde carrière ?

Au club. On commençait à en parler avant le confinement. Aujourd’hui, il n’y a rien de concret, au-delà de ma clause de reconversion. Elle faisait partie des négociations, quand j’ai prolongé, il y a six ans. Je n’avais pas envie d’arrêter sans savoir quoi faire. Et je n’ai toujours pas cette envie. Là, ça se rapproche. Donc, ça se précise. Le terrain, c’est ce que je connais le mieux. Mais je ne resterai pas dessus.