J'espère que tu vends aussi autre chose, parce que les crédits immobiliers, ben cela va être bientôt la morte saison...

de plus les banques ne veulent plus préter sans apport conséquent... car comment obtenir une garantie suffisante sur un bien qui se déprécie d'année en année.

Mais dans l'exemple précis, je tenais juste à faire un comparatif entre différentes périodes, l'une avec des prix bas et tx hauts, l'autre avec des prix haut et taux bas...mais bon il faut que tu ais toujours raison donc tu continues tes palabres contradictoires en déviant peu à peu les exemples donnés, pour au final tomber sur une explication qui te semble juste.

Première nouvelle... Rolling Eyes

Non si les prix commencent à baisser, les gens n'achètent plus car demain ce sera moins cher, cela s'appelle la déflation...

C'est symptomatique de ce type de marchés ou les tendances sont longues et prononcés.

En 1997 plus personne ne voulait acheter, de plus les banques ne veulent plus préter sans apport conséquent... car comment obtenir une garantie suffisante sur un bien qui se déprécie d'année en année.

préambule :
Par exemple, après l'explosion de la bulle internet, des investisseurs ruinés ont souhaité obtenir réparation. La majorité des démarches n'ont pas abouti, par manque de preuves. Les établissements financiers ont argumenté qu'il était impossible de prévoir l'explosion de la bulle internet. Sans connaissance des dangers de la bulle, il est impossible d'obtenir réparation.

Si votre organisme financier ou votre intermédaire commercial ne vous ont pas mis en garde contre les dangers de ruine en investissant dans l'immobilier, il existe peut-être, au cas par cas, des voies de recours pour obtenir réparation de préjudices éventuels. Si nous ne pouvons pas vous aider dans vos démarches, nous vous encourageons à porter un regard neuf sur votre situation financière, pour comprendre les raisons de la débâcle.

Bernanke estime que les taux sont à des niveaux "plus normaux"

WASHINGTON (Reuters) - Ben Bernanke, le président de la Réserve fédérale américaine, a déclaré s'attendre à une poursuite du ralentissement de l'inflation en 2008.

S'exprimant devant la commission bancaire du Sénat, il avait auparavant expliqué que la Fed tablait sur un ralentissement de la hausse des prix dès 2007.

Il a ajouté qu'après la série de relèvements des taux d'intérêt décidés depuis juin 2004, les taux avaient été ramenés à des niveaux plus normaux.

"Nous avons commencé à un niveau extraordinairement bas d'environ 1% et nous avons dû agir à de nombreuses reprises pour ôter du système ce degré extraordinaire d'accommodation monétaire", a-t-il expliqué.

"Je dirais que nous avons supprimé pour l'essentiel ce degré extraordinaire d'accommodation de la politique monétaire et que nous sommes, à ce stade, beaucoup plus proches d'un niveau normal de taux d'intérêt."