Le cliché énormissime. Les blancs sont riches et les noirs pauvres, le Nelson Mandela local est enfermé dans une geôle faciste en compagnie d'Abdel Chemoul d'ailleurs. Paraît qu'ils n'ont pas la 5...

Je confirme. Et même que les chintoks font du travail au noir le soir après leur taf pour se faire un bol de riz en extra.... Tous les gros marchés publics du BTP sont gagnés par les Chinois en Algérie. La main d'oeuvre algérienne n'a plus qu'un seul espoir pour vivre-sans-travailler ... devinez lequel ? La solution de facilité c'est ... ? allez, un petit effort ... Le RMI c'est où ? Le mariage blanc c'est où ... ? Les allocs c'est où ... ? Où est-ce qu'on peut siffler l'hymne national d'un pays en agitant le drapeau de l'Algérie ? Vous avez trouvé ?

Mais y aura encore des pignoufs pour dire que c'est la faute de la France ! Les colons sont bridés mais c'est de notre faute !

Quelques articles:
Les Algériens face à l’immigration chinoise
Les Chinois, nouvelle main-d'œuvre du BTP algérien
Une présence chinoise de plus en plus importante en Algérie

Le Chinois serait-il philanthrope ?!

Sinon sur l'argument : "tu y'es pas allé, donc tu peux pas en parler". Pas la peine d'aller aux Antilles pour se faire une opinion.

Vas passer un an en Asie, puis un an dans un pays d'Afrique sub-saharienne. L'expérience de terrain vaut mieux que n'importe quel discours.

Il n’y a pas de békés guadeloupéens, au sens strict de «béké» - descendant des propriétaires esclavagistes. Au moment de la Révolution, les békés de Guadeloupe ont été guillotinés. Pendant cette courte période, ceux de Martinique l’ont livrée aux Anglais. Sous cette protection, ils ont survécu. Quand on parle aujourd’hui des békés de Guadeloupe, il s’agit soit de békés martiniquais qui se sont installés dans l’île (on en retrouve certains dans la grande distribution), soit de Syro-Libanais et de Blancs venus d’Italie ou de métropole.
(...)
Aujourd’hui, la revendication identitaire de ceux qui continuent à se dire nationalistes n’est pas une réaction anticoloniale, mais la stratégie d’une «élite indépendantiste» pour occuper une place dans un système social inchangé. Avec un défaut supplémentaire : les nouveaux avantages ne vont pas aux plus défavorisés, mais à ceux qui se disent leurs «légitimes représentants». Il n’y a plus de volonté d’indépendance, mais la démission de cette volonté n’est pas assumée. D’où un double jeu : on accepte tacitement le système, on accède à des postes élevés dans le système administratif, tout en continuant à tenir un discours nationaliste. Le mouvement actuel est un révélateur des faux-semblants d’un nationalisme bourgeois où une élite cherche à asseoir son pouvoir en s’appuyant sur les problèmes de la population. C’est d’autant plus habile que ce pouvoir est exercé à l’ombre de la République française ; et d’autant plus irresponsable. Mais la population, même si elle n’est pas satisfaite de la situation actuelle, sent qu’elle serait la première à faire les frais de l’indépendance. Il lui suffit de regarder ce qui se passe dans le reste de la Caraïbe.
(...)
Les peuples antillais sont arrivés à l’existence civique dans le contexte de la Révolution française. La Révolution, c’est la coïncidence entre la lutte contre l’esclavage et la Déclaration des droits de l’homme. Quand les troupes révolutionnaires sont arrivées de France, les soldats et les esclaves insurgés se saluaient d’un «Bonjour citoyen !» C’est cela, l’imaginaire antillais. Et c’est pour cela que la Guadeloupe et la Martinique sont profondément attachées à la France et à la République. Elles ne sont pas dans la République par accident ou par calcul, mais à cause de la Révolution. Il y a ici une passion de l’égalité républicaine. Le drame, c’est que la République n’a pas tenu ses promesses.

Et v'là que ça rebondit à la Réunion ! Super !

Tu vas devoir rester chez toi. Files moi ton billet d'avion.

Nan je vais être coincé là-bas tu veux dire !

Un abri pour toi super Vanneur... 2ème Rpima PC Château-Jobert... le morlaisien, oh combien émérite, de l'étape... Plumelec power!

Madagascar : des élèves du lycée français bloqués plusieurs heures

La situation a été tendue toute l'après-midi de vendredi, heure locale, au lycée français d'Antananarivo. Des manifestants, partisans de Andry Rajoelina, le maire de la capitale qui s'oppose au président, ont tout d'abord "protégé" la maison de ce dernier pour empêcher la police d'y entrer. Or cette maison se trouve près du lycée. Les protestataires ont alors dressé des barrages à l'entrée et à la sortie de l'établissement pour empêcher les élèves -1.700 sont inscrits- de quitter les lieux.

A ce moment, les autorités consulaires ont demandé à la direction de confiner les élèves dans les salles de classe. Encadrés par les enseignants, ils ont reçu des rafraîchissements. Les parents ne pouvant pas contacter le lycée et l'ambassade de France par téléphone - LCI.fr a également tenté de les joindre, mais les numéros d'appel étaient effectivement saturés ou inaccessibles-, c'est par l'intermédiaire du site internet de l'établissement qu'ils ont pu suivre l'évolution de la situation, via des communiqués du proviseur. Vers 17h30, heure locale (15h30 à Paris), Joël Lust, qui avait dans un premier temps déconseillé aux familles de venir chercher leurs enfants, leur en a donné l'autorisation, mais uniquement "à pied et en faisant preuve de prudence".

"Passage en force"

Contacté vers 18h30, heure locale, par LCI.fr, un parent d'élève français soulignait que la situation était encore tendue puisque des "coups des feu étaient entendus ici ou là dans le quartier". Tout s'est débloqué quelques minutes plus tard. Les lycéens ont alors pu quitter les lieux petit à petit, plus ou moins dans le calme. "Mon fils m'a expliqué qu'ils avaient dû un peu forcer le passage. Mais il n'y a pas eu de blessé", explique le parent d'élève à LCI.fr.

Vers 19h10, heure locale (17h10 à Paris), le proviseur, toujours par l'intermédiaire d'un nouveau communiqué sur le site internet, confirmait que tous les élèves avaient été évacués aux Charmilles, la résidence des personnels de l'ambassade de France à Ivandry. Ils ont alors attendu la tournée de ramassage en bus ou que leurs parents viennent les chercher.

Les manifestants se sont quant à eux dispersés dans la capitale, où des incidents étaient signalés ici ou là comme ces derniers jours.

Point de métaphore... J'évoquais juste un pépin. Super Vanneur....

Et bravo pour l'un de tes premiers messages sans smilies et avec des mots... lol lol lol

Le post de Bertt'a certainement influencé. Bonne continuation.