Diable, une médaille d'or décerné à l'autre idiot.
Une médaille d'or de qui ? de quoi ?

La médaille d'Or du "plus beau doigt d'honneur effectué sur un terrain de L2 en 2004-2005", assurément.

Une fête sans alcool

http://www.guingamp.maville.com/actu/De ... idCLA=4514

dans le stade, à guingamp, l'alcool est autorisé ?

Ça s'est passé un 17 Mars :
2001 En Avant est humilié 6-1 au Roudourou par Rennes avec des buts de Danic et Leroux notamment.

Serais-ce un présage Je pense que oui

Football : Thierry Debès : « Le vrai derby breton »
Ce sera le septième derby contre Brest pour le capitaine guingampais
Thierry Debès, le capitaine d'En Avant n'est pas très heureux dans les derbys face à Brest. Il a envie que cela change.
Débarqué dans les Côtes-d'Armor en juin 2004, blessé la majeure partie de la saison dernière, Thierry Debès disputera ce soir son 7e match contre Brest sous le maillot d'En Avant. Le capitaine guingampais a vite pris la mesure de ce derby qui ne laisse jamais indifférent.

Et revoilà Brest ! Un adversaire qui donne au derby une saveur particulière.

« Et un adversaire qui ne me réussit guère. Ce sera déjà la septième fois que je les affronte (3 matches amicaux, 2 de L2 et 1 de coupe de France) pour un bilan négatif : 1 victoire, 2 nuls et 3 défaites. Nous ne faisons pas une fixation sur Brest mais je crois qu'ils ne nous aiment pas beaucoup (rires). »

Dans votre carrière, aviez-vous déjà connu ce type d'ambiance ?

« À Grenoble, le derby était contre Saint-Étienne même si pour les Verts, poids de l'histoire oblige, ce n'était pas un match particulier. À Strasbourg par contre, les matches contre Metz avaient une saveur particulière. Pourquoi ? Je ne le sais pas. C'était le derby de l'est entre deux villes situées à moins d'une heure de route. Mais on était accueilli là-bas par des banderoles du type « Bienvenue en France » ou « Bienvenue aux Allemands ». Et lorsque j'ai quitté le Racing, les supporters m'ont dit qu'ils étaient heureux que je ne signe pas à Metz. »

Depuis Strasbourg ou Grenoble, que représentait pour vous le derby breton ?

« Dans mon esprit, le derby c'était Guingamp - Rennes. Mais depuis que je suis ici, je mesure que le vrai derby breton c'est face à Brest. Visiblement les Brestois n'aiment pas Guingamp et les matches sont généralement chauds. J'ai du mal à comprendre cette animosité. Heureusement, nos supporters sont bien élevés. »

Concrètement, comment traverse-t-on un derby face aux Brestois ?

« Au jour d'aujourd'hui, ce derby ne me réussit pas vraiment. À l'image du match de coupe de France (N.D.L.R., 1-0 pour Brest le 11 décembre dernier). J'avais eu peu de ballons à négocier, j'avais surtout été chahuté par les ultras brestois durant une mi-temps. Les joueurs Brestois aussi, qui vous imposent un défi physique, savent vous rappeler qu'il est question de suprématie régionale, une notion très présente en Bretagne, comme en Alsace d'ailleurs ! »

La préparation a-t-elle été particulière ?

« On nous annonce que le stade sera plein, il y a plus de monde aux entraînements, on nous arrête dans la rue pour nous parler du match, mais la préparation est la même que celle pour la venue de Montpellier par exemple. Mais pour moi qui suis capitaine ce sont les 3 points qu'il y a à prendre et la possibilité de sauver une partie de la saison devant nos supporters. La différence c'est que ce derby se disputera sur fond de maintien. »

Dans le pire des cas, on gagne 1-0 but à la dernière minute, dans le meilleur on leur fout la tripotée de leur vie !