Quand tu as connu thebaux et hartock, Coudert convient tres bien! Il a les epaules pour remplacer bizot qd il partira sans nous obliger a acheter un gardien au mercato!

Je serai pour donner sa chance à Coudert, si Bizot part, en recrutant un vieux gardien fiable en n°2.

La situation idéale en effet.
Du moins s'il est acquis de l'avis d'un vrai spécialiste du type Lachuer que Coudert est apte à être le N°1...N°1 !

Quel gardien de notre championnat pourrait jouer ce rôle de N°2, tuteur du jeune Coudert ?

Edit :
Un Lopes tricard à Lyon serait-il envisageable sérieusement ?

Les gardiens ont la particularité de quitter la compét à un âge avancé. Alors un vieux gardien ? Je dois avoir mes chances

Une petite tartine pour le goûter.

Ligue 1 (15e journée). Stade Brestois - Nantes : 4-1
A Le Blé, Grégoire Coudert avait la lourde tâche de remplacer au pied levé un Marco Bizot, magistral contre le PSV mais forfait, dimanche, en raison d’une blessure à l’épaule. Doté d’un bon jeu au pied, efficace sur sa ligne et auteur de six arrêts face à Nantes, dont deux déterminants, l’habituelle doublure du portier néerlandais a montré ses très bonnes prédispositions déjà aperçues la saison passée, même s’il a encaissé son premier but en championnat depuis son arrivée à Brest, en 2021. 

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« Quand il a eu des choses à faire, il les a bien faites, il était un peu déçu car il avait deux clean-sheet (contre Marseille puis à Strasbourg), la saison passée en L1 », expliquait Éric Roy après la rencontre. « Ça fait trois ans qu’on voit que c’est un très bon gardien, qui a le niveau Ligue 1 », ajoutait Brendan Chardonnet, qui a pu voir l’évolution de son coéquipier, passé de la réserve en National 3 à une solide doublure dans l’élite.

« Se chauffer avant la Coupe de France »

S’il ne bousculera pas la hiérarchie, Grégoire Coudert, qui n’avait pas encore disputé la moindre minute cette saison, a la confiance totale de son entraîneur. « C’est un garçon qui a une personnalité, qui est plutôt tranquille, qui dégage de la sérénité et la transmet à sa défense. Il a été rassurant sur ce qu’il a eu à faire, et notamment deux, trois frappes un peu soudaines où il était masqué. La difficulté pour un gardien, quand tu ne joues pas, c’est d’avoir cette capacité à gérer les distances, travailler avec une défense, les ballons dans la profondeur, l’environnement. Ce n’est jamais simple de se familiariser avec ça quand on est deuxième gardien et il l’a très bien fait, détaillait le coach brestois. C’était l’occasion pour lui de se chauffer avant la Coupe de France à La Roche-sur-Yon (N2), samedi (15 h