La grippe, on t'inocule un bout du virus. Pour l'ARN, c'est un "message".
Pour la grippe, tu fais donc une réponse immunitaire et les anticorps produits trouvent le virus que l'on t'a injecté.
Pour l'ARN, tu fais donc une réponse immunitaire et les anticorps produits ne trouvent rien puisqu'on t'injecte une notice comme tu dis mais pas d'ennemi.
Donc si les anticorps ne trouvent pas l'ennemi, que font-ils en attendant une éventuelle contamination pour pouvoir faire leur taf ?
Sur ce que l'on entend comme effets déjà existants :
Vont ils attaquer la membrane du cœur ? Vont ils dérégler les menstruations ? Vont ils se balader un peu partout ? Peuvent ils faire autre chose que ce que la notice leur a programmé puisqu'ils ne trouvent pas de cible (certains généticiens l'envisagent comme possibilité) ?
Sont ils si spécifiques à la Covid-19 qui a déjà se multiples variants ? Sont ils vraiment efficaces puisque les vaccinés (×2 ou ×3) attrapent aussi le virus ?
Je ne sais pas et je pense que personne aujourd'hui n'est capable de pronostiquer ce qu'il va se passer avec cette thérapie car c'est très compliqué à saisir (je ne prétends en rien connaitre la suite ni avoir des compétences en virologie mais je m'interroge beaucoup sur le principe un peu contraire à la nature).
Si ça marche, c'est fabuleux, si ça foire, ça peut faire des dégâts sur un nombre jamais vu d'humains d'autant plus que les injections se multiplient par individu.
Dans le doute, abstiens toi disait l'autre. Je suis l'autre.
Finissons sur un scénario catastrophe : imaginons que ton corps décide, suite à ces injections, qu'il lui faut désormais une notice pour chaque production d'anticorps et qu'il se mette donc à ne plus produire ce qu'il faut sans aide extérieure. Un reset du système immunitaire puisqu'on en modifie le fonctionnement.
pour le message pas pour le clap de fin
