ANTICONS, en France un accusé est présumé innocent jusqu'à ce que l'accusation prouve le contraire

Fusillade sans précédent dans une université de Virginie
Reuters
Un tireur isolé a ouvert le feu lundi matin sur le campus de l'Institut technologique et université d'Etat de Virginie, provoquant la plus sanglante tuerie jamais commise dans une université aux Etats-Unis.

Le bilan est encore incertain. La présidence du Virginia Tech et la police locale ont fait état de 22 morts, dont le tireur. Mais la chaîne de télévision Fox News, citant des sources fédérales, parle de 32 morts.

Les tirs ont éclaté en début de matinée dans deux secteurs du Virginia Tech.

"C'est une tragédie aux proportions monumentales", a déclaré aux journalistes le président de l'université, Charles Steger.

Le chef de la police du campus du Virginia Tech, Wendell Finchum, a précisé pour sa part que le tireur était mort et que la police tentait de déterminer s'il s'était suicidé ou s'il avait été abattu par les forces de l'ordre.

"A cette heure, nous pensons qu'il n'y avait qu'un tireur", a-t-il dit.

A Washington, le président, George Bush, a fait savoir qu'il était "horrifié". "Sa réaction immédiate est une profonde inquiétude pour les familles des victimes, pour les victimes elles-mêmes, pour les étudiants, les professeurs et tous les habitants de Virginie qui sont confrontés à ce terrible incident", a ajouté la porte-parole de la Maison blanche, Dana Perino.

L'université, qui compte 26.000 étudiants, est située à Blacksburg, dans le sud-ouest de la Virginie, à environ 240 miles (400 km environ) de Washington.

DES TIRS A DEUX HEURES D'INTERVALLE

Selon le communiqué du président de l'université, le premier appel aux services d'urgence locaux du 911 a été passé vers 07h15 (11h15 GMT) lundi matin, signalant un incident dans le West Ambler Johnston Hall, un dortoir où vivent 900 étudiants.

"En plein processus d'enquête, environ deux heures plus tard, l'université a reçu des informations concernant une fusillade au Norris Hall (ndlr, un des autres bâtiments du campus)", poursuit le communiqué.

Les services locaux sont chargés de l'enquête, mais les agences fédérales sont prêtes à intervenir si les autorités de Virginie en éprouvent le besoin. Le FBI est également à pied d'oeuvre.

Le bilan est le plus grave jamais enregistré sur un campus universitaire aux Etats-Unis. Il dépasse la tuerie du 1er août 1966, lorsqu'un homme était monté au dernier étage d'une tour située sur le campus de l'Université du Texas, à Austin, et avait ouvert le feu sur les gens qui circulaient 27 étages plus bas. Il avait tué 15 personnes - dont sa mère et son épouse la nuit précédente - et fait 31 blessés.

Dans un communiqué, la présidence du Virginia Tech précise qu'une cellule de soutien sera mise à disposition du personnel de l'université. Tous les cours ont été annulés pour la journée.

Des psychologues sont déjà sur les lieux pour assister les étudiants.

Une cérémonie est programmée mardi à la mi-journée pour que toute la communauté fréquentant l'université puisse se réunir "pour commencer à gérer cette tragédie".

"C'est un sentiment de choc et de colère pour le moment", a réagi sur CNN une étudiante du Virginia Tech, Elizabeth Stewart.

Ah ben ça, ce sont les fameuses méthodes en vogue.
Ce n'est pas de sa faute, environnement famillial, détresse sociale, rejet de la société.
Redonnons lui sa chance...

C'est pipeau cet amendement. La vraie raison du maintien de la vente libre des armes, c'est le lobby des fabriquant de morts.

Pas bon pour le bizness de supprimer cet amendement !

Encore des jeunes étudiants qui en font les frais collatéraux.

From Publishers Weekly
Following up on his controversial study More Guns, Less Crime, economist Lott argues that widespread gun ownership prevents crime. He cites survey data and news reports to argue that the fear that victims might be armed strongly deters criminals, and that guns are used in self-defense or to ward off criminal threats about 2.3 million times a year. Because they impede law-abiding citizens' access to guns, even mild gun-control regulations-assault weapons bans, "one-gun-a-month" laws-actually increase crime, according to Lott, while right-to-carry laws lower crime and help prevent (or violently terminate) terrorist attacks and "rampage" shootings. Even measures to keep guns away from children, like "gun-free school zones" and "safe storage" laws that require guns to be locked away, are misguided because children need guns for self-defense (he cites news reports of kids as young as 11 gunning down criminals). The benefits of untrammeled gun availability are clear, Lott insists, and only the anti-gun bias and selective reporting by the media and government officials have kept this fact out of public consciousness. Lott supports his bold claims with elaborate statistical analyses that tease sometimes small effects out of the welter of factors that influence crime rates; there are lots of graphs and tables, and much space is devoted to scholarly discussions of statistical methodologies. Many readers will find these sections rough going, but Lott's provocative thesis is sure to stir interest among second-amendment stalwarts and gun-control supporters alike.
Copyright 2003 Reed Business Information, Inc.

C'est quoi le problème qu'il y a à posséder une arme?

Ben 32 morts par balle, ça te fait rien toi ? Ils vivent avec les armes là-bas, et sont conditionnés par l'utilisation des armes ! Regarde en Floride, tu as le droit de tirer si tu te sens menacé, on a largement dépassé le cadre de la légitime défense !