Gibus parcourt tous les "maville.com" de l'Ouest de la France, et ptet même les nouveaux de méditerranée !!!!!!!!! C'est sympa les stages

faites l'amour!

arrêtez la bibine!

Nouveau pseudo de Lev ou de co-pdt

Ce qui est tout de même fou sur les articles de Gibus, c'est que ces gars sont en état de récidive pour la plupart et sur les mêmes victimes. Bien entendu toujours sur fond d'alcool.

Malheureusement, un pote flic à Brest me dit que les femmes battues sur Brest sont bien plus nombreuses qu'on le pense et que 95% des cas sont liés à l'alcool.

D'ailleurs les 3/4 du boulot qu'il a a faire est lié à la présence d'alcool.

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Vannes. Il tue sa femme et se suicide
Un homme âgé de 41 ans a abattu sa femme avec une carabine, hier matin, sur un parking du centre-ville de Vannes. Il s’est ensuite donné la mort sous les regards de nombreux témoins. Le couple, domicilié à Poitiers, était en instance de divorce. Les enquêteurs privilégient la thèse du crime passionnel.
Thomas commençait son travail sur le chantier d’une banque lorsque la scène s’est déroulée sous ses yeux, place de la Libération. « Il était 8 h 15. L’homme est sorti d’une Clio rouge et s’est dirigé vers un groupe de trois femmes qui marchaient sur le parking. Il tenait une arme à feu. Il a alors écarté l’une d’elles. Puis il l’a abattue en tirant une dizaine de coups à bout portant. Les deux personnes qui accompagnaient la victime ont fui en courant. Ensuite, il est allé chercher une autre arme dans sa voiture et il s’est suicidé. »
Cellule de soutien psychologique
Entendu en tant que témoin par la police, le jeune homme, choqué, a pu reprendre son travail hier après-midi. Mais il n’excluait pas de faire appel à la cellule de soutien psychologique mise en place dans la matinée. Car la fusillade a eu lieu devant des dizaines de personnes, parmi lesquelles des lycéens qui attendaient le bus. Le drame s’est produit sur l’un des principaux parkings du centre-ville de Vannes. L’imposant périmètre de sécurité dressé par la police, ainsi que les corps recouverts de draps blancs, ne sont pas passés inaperçus à cette heure de grande affluence. La rumeur du meurtre s’est donc répandue comme une traînée de poudre dans une ville où les crimes par arme à feu commis en plein jour sont rarissimes. « On a cru que c’était un tireur fou », commente Fabien, un chef d’entreprise, dont les bureaux sont situés place de la Libération. L’hypothèse d’un homme faisant feu sur tout ce qui bouge a cependant vite été écartée par les enquêteurs, vu que personne d’autre n’a été blessé. Sur les lieux du crime, une quinzaine de douilles issues d’une carabine 22 long rifle ont été découvertes.
Des boîtes de munitions dans la voiture
La piste du crime passionnel s’est confirmée lorsque la police a appris que le tireur, Pascal Guilbault, et sa femme, Mireille, étaient en instance de divorce et vivaient séparément. L’épouse avait aussi porté plainte le 5 juin contre son mari pour viol aggravé (Lire ci-dessous).
Enseignante d’économie-gestion au lycée du Dolmen, à Poitiers, Mireille Guilbault, 43 ans, était de passage cette semaine à Vannes pour participer au jury d’un concours national de recrutement de professeurs au lycée professionnel Jean-Guéhenno. Elle séjournait depuis lundi à l’hôtel Kyriad, un établissement qui fait face à la place de la Libération. « Son mari, employé administratif à l’université de Poitiers, est venu à Vannes dans l’intention de la tuer, estiment les responsables de la police de Vannes. Il avait, semble-t-il, proféré des menaces contre elle au cours des jours précédents et nous avons retrouvé quatre ou cinq boîtes de munitions dans la voiture. » Le couple avait trois enfants : des jumelles de 17 ans, et une fille de 9 ans. Toutes les trois ont été hospitalisées à Poitiers à la suite du décès de leurs parents. Une autopsie des corps doit être réalisée aujourd’hui.

Autre élément qui éclaire les circonstances du drame : l’auteur des coups de feu avait été mis en examen, le 8 juin, pour viols et actes de barbarie sur la personne de son épouse[...] Il avait fait l’objet d’un placement sous contrôle judiciaire avec interdiction d’entrer en contact avec sa femme et obligation de se soigner.
Le parquet de Poitiers avait fait appel
Force est de constater que cette mesure prise à son encontre n’a pas permis d’éviter le drame survenu, hier matin, à Vannes. Le parquet de Poitiers avait d’ailleurs fait appel de cette décision, estimant qu’il y avait lieu de placer le suspect en détention provisoire. C’est la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Poitiers qui devait examiner ce recours hier matin. « Mais compte tenu du décès de l’intéressé, la cour n’a pas statué »,

Assises. Il poignarde son amie à l’entrée du supermarché
Un homme âgé de 40 ans comparaît, depuis hier, devant la cour d’assises du Morbihan, pour le meurtre de sa compagne. En avril 2004, à Caudan, il avait poignardé la jeune femme devant son lieu de travail. Le verdict est attendu demain soir.
« Je voulais simplement la voir pour discuter avec elle et la convaincre de garder notre fille. J’ai pété un plomb. J’ai sorti le couteau ». Thimothée Gnonto Bleziri est en pleurs dans le box des accusés quand il revient sur ce matin tragique. « Je pensais que je l’avais blessée. Je voulais lui faire peur ». Mais le 26 avril 2004, à 8 h 15, au moment où il se présente au commissariat de Lorient pour avouer son acte, le médecin urgentiste constate le décès de son amie gisant à l’entrée du Shopi de Caudan. La jeune femme, âgée de 24 ans, a succombé aux deux coups de couteau portés à hauteur de la poitrine. Peu avant 7 h 30, elle était arrivée devant le supermarché qui l’employait depuis dix jours. Son ex-compagnon qui guettait sa venue s’était porté à sa hauteur. La conversation avait très vite dégénéré en dispute, avant de s’achever dans le sang.
Un père en plein désarroi
« J’étais à bout. Je voulais qu’elle s’occupe de notre fille », explique l’accusé qui se présente comme un père dépassé et un homme en plein désarroi après le départ de sa compagne. S’il affirme avoir « rencontré Dieu » en prison , sa foi nouvelle n’éclaire pas toutes les zones d’ombre de sa version.

Pourquoi avait-il opté pour la discrétion ce matin-là, en stationnant son véhicule sur un parking éloigné du centre commercial, et en l’épiant dans l’ombre à l’abri des regards ? « C’était une femme formidable. J’étais vraiment amoureux pour la première fois », déclare-t-il, tout en admettant une relation chaotique ponctuée de séparations et de retrouvailles.

Des bandes rivales et la police se sont affrontées à Cergy sans faire événement

dans un autre contexte, ce type d'événement aurait probablement suscité une large couverture médiatique. Les violences urbaines intervenues, dimanche 17 juin, à Cergy (Val-d'Oise), n'ont donné lieu qu'à des articles dans l'édition locale du Parisien. Les faits sont pourtant graves. En marge du Festival international des cultures urbaines, qui porte le nom de "100 contests", des affrontements violents ont opposé des bandes de jeunes. Puis un nombre important d'individus –300 personnes selon une source policière, plus de 200 selon des témoins directs, 150 selon le maire– ont dégradé des commerces, du mobilier urbain et la gare RER de Cergy-Saint-Christophe, avant de s'en prendre aux policiers.

Dans une situation qualifiée de "quasi-guérilla urbaine" par une autre source policière, les forces de l'ordre ont fait usage de leurs Flash-Ball à 46 reprises pour repousser les groupes d'agresseurs. Ils ont également tiré 25 grenades lacrymogènes pour disperser la foule ou protéger des employés municipaux et d'autres policiers. "Le panel complet des armes anti-émeutes a été utilisé", explique une source syndicale. Quelque 120 fonctionnaires de police ont été mobilisés pendant cette nuit sur la commune, y compris des CRS.

Les premiers incidents graves ont débuté dimanche, vers 21 heures, au cours d'un concert de rap rassemblant 10000 personnes venues de toute l'Ile-de-France pour la quatrième édition du festival. Plusieurs dizaines à plusieurs centaines de personnes, selon les sources, issues de bandes rivales, ont commencé à s'affronter à proximité de la scène. Une courte vidéo diffusée sur YouTube montre des jeunes gens, dissimulés sous des capuches, parfois armés de bâtons, jeter des bouteilles et charger un autre groupe à proximité des spectateurs. Ces règlements de comptes entre bandes se sont multipliés ces derniers mois dans l'agglomération de Cergy, y compris dans les jours qui ont précédé le festival.

"On a été prévenus par des habitants que des bandes armées, encagoulées, arrivaient sur le site. Puis une trentaine de voyous ont commencé à s'en prendre à une trentaine d'autres voyous", raconte Joël Motyl, adjoint au maire (PS) chargé de la jeunesse, présent sur place. L'élu affirme avoir aperçu des individus avec des barres de fer, des manches de pioche et même une hache et un pistolet. Un autre témoin, Youssef Kabouche, responsable d'une des associations partenaires du festival, affirme aussi avoir vu une hache ainsi que des couteaux. Il dit avoir entendu des détonations et évoque la présence d'"au moins 200 personnes venues pour se battre". Une estimation également avancée par d'autres témoins qui souhaitent rester anonymes.

Face à ces actes de violence, la vingtaine de policiers municipaux et la cinquantaine de vigiles d'une société privée, employés pour l'occasion, ont rapidement été débordés. Les organisateurs du festival – gratuit et sans fouille à l'entrée, ce que critique la préfecture – ont alors décidé de mettre fin au concert et de demander des renforts policiers. "Les choses se sont visiblement dégradées après l'annulation du concert", souligne le préfet du Val-d'Oise, Christian Leyrit.

Les groupes de jeunes se sont dirigés vers la gare où ils ont commencé par dégrader le mobilier urbain. Une vidéo, diffusée sur DailyMotion, montre, pendant un peu plus d'une minute, des personnes détruisant des cabines téléphoniques et un panneau publicitaire avec, en fond sonore, des cris et la sonnerie d'une alarme.

Des commerces et la gare ont été visés. "Les dégâts sont très importants, témoigne le pharmacien, Jean-Fabrice Desens, installé depuis une dizaine d'années dans le quartier. Le stock de marchandises, l'informatique, le mobilier et les vitrines ont été détruits." De son côté, la SNCF a recensé des "dégâts significatifs" avec des vitres brisées, des appareils distributeurs de billets dégradés et des guichets inutilisables pendant plusieurs jours. La ligne de train a été coupée pendant 45 minutes.

Une source syndicale policière affirme que les bandes se sont alliées pour attaquer les forces de l'ordre, jusque vers minuit, blessant légèrement deux agents. Un témoignage, publié jeudi 21juin sur le site alternatif Indymedia, fait état de slogans antipoliciers et antisarkozy lancés par des "centaines de personnes". "Dans ce type de manifestations, si les CRS interviennent dans la foule, il n'est jamais certain qu'il n'y ait pas beaucoup plus de dégâts", relève le préfet. Aucun blessé sérieux n'a été signalé du côté des manifestants.

Les policiers ont procédé à huit interpellations pendant les incidents. Mais, faute de preuves, toujours délicates à rassembler dans ce type de situation, six personnes ont été rapidement relâchées. Deux jeunes hommes ont été jugés, en comparution immédiate, mardi 19 et mercredi 20 : le premier, qui a reconnu les faits, a été condamné à dix mois de prison ferme pour des dégradations, commises en réunion, dans la gare; le second, qui nie sa participation aux violences, a été condamné à trois ans de prison, dont deux ans ferme, pour avoir caillassé puis incendié un véhicule de la police municipale. "L'enquête préliminaire se poursuit", ajoute Bernard Farret, procureur de la République adjoint, pour souligner que d'autres interpellations sont possibles.

La préfecture et l'opposition municipale critiquent l'organisation du festival et la programmation de groupes de rap jugés "hard". De son côté, la mairie accuse la police nationale de ne pas avoir prévu des moyens suffisants. "On a le sentiment d'avoir été abandonnés par la police. On a eu entre 40000 et 45000 participants pendant trois jours, soit l'équivalent d'un match au Parc des Princes. Et pour tout ça, quelques dizaines de policiers nationaux présents le soir pendant le concert, à comparer aux centaines d'hommes mobilisés pour un match de foot", s'indigne Joël Motyl, adjoint au maire. Selon la mairie, les CRS appelés en renfort ont mis 40 minutes pour arriver, après s'être perdus dans Cergy. Sollicitée par Le Monde, la direction générale de la police nationale n'a pas souhaité répondre