C'est pas qu'on accepte ça, on le constate c'est tout.
Il faut malheureusement admettre que, comme les études sociologiques le montrent, quasiment tout semble joué pour certains avant m^me d'entrer en primaire.
Cela tient à la culture de la famille vis à vis du livre, des connaissances, de la place de l'école....
Un ouvrier qui accorde de l'importance aux études de ses enfants, qui croit en l'école, et qui est informé de l'importance d'une certaine conduite à tenir, prend le temps et trouve le courage de lire une histoire à ses enfants le soir, montre qu'il lit lui même, reprend ses enfants quand ils ne formulent pas des phrases correctes....(le jeune enfant apprend tout par imitation et anlyse des comportements de l'adulte référent)
Pas évident après un journée de travail pénible, il ne faut pas croire que les enseignants ont des journées faciles et que c'est pour cela qu'ils le font, cependant ils sont tellement convaincus de l'importance de toutes ces petites choses importantes une fois mises bout à bout qu'ils font l'effort de libérer des moments pour discuter avec leur enfant plutôt que le coller devant la télé, et ensuite une fois les enfants couchés, ils reprennent leur boulot de correction et de préparation (un travail qui prend beaucoup de temps dans la semaine, 7/7, pendant les vacances même si le rythme baisse, qui occupe l'esprit en permanence, bref il n'y a que l'été que tu relâches vraiment )
après il est vrai que pour certains profs qui n'ont rien à faire dans la grande maison, c'est cool, on ne refait pas le cours tant pis si les enfants ne sont pas intéressés, si le cours n'est pas adapté à leurs acquis antérieurs.... mais ils ne sont qu'une minorité

première chose à faire pour un ouvrier qui accorde de l'importance à l'école : respecter les enseignants, et si l'enseignant de leur enfant ne le mérite pas, surtout avoir l'intelligence de ne pas le formuler devant le gamin. Il faut que l'élève conserve la certitude qu'il rencontre 4 ou 5 jours par semaine quelqu'un qui mérite le temps que cet enfant lui accorde, et ça quand on entend le discours de certains enfants....

C'est pas qu'on accepte ça, on le constate c'est tout.
Il faut malheureusement admettre que, comme les études sociologiques le montrent, quasiment tout semble joué pour certains avant m^me d'entrer en primaire.
Cela tient à la culture de la famille vis à vis du livre, des connaissances, de la place de l'école....
Un ouvrier qui accorde de l'importance aux études de ses enfants, qui croit en l'école, et qui est informé de l'importance d'une certaine conduite à tenir, prend le temps et trouve le courage de lire une histoire à ses enfants le soir, montre qu'il lit lui même, reprend ses enfants quand ils ne formulent pas des phrases correctes....(le jeune enfant apprend tout par imitation et anlyse des comportements de l'adulte référent)
Pas évident après un journée de travail pénible, il ne faut pas croire que les enseignants ont des journées faciles et que c'est pour cela qu'ils le font, cependant ils sont tellement convaincus de l'importance de toutes ces petites choses importantes une fois mises bout à bout qu'ils font l'effort de libérer des moments pour discuter avec leur enfant plutôt que le coller devant la télé, et ensuite une fois les enfants couchés, ils reprennent leur boulot de correction et de préparation (un travail qui prend beaucoup de temps dans la semaine, 7/7, pendant les vacances même si le rythme baisse, qui occupe l'esprit en permanence, bref il n'y a que l'été que tu relâches vraiment )
après il est vrai que pour certains profs qui n'ont rien à faire dans la grande maison, c'est cool, on ne refait pas le cours tant pis si les enfants ne sont pas intéressés, si le cours n'est pas adapté à leurs acquis antérieurs.... mais ils ne sont qu'une minorité

première chose à faire pour un ouvrier qui accorde de l'importance à l'école : respecter les enseignants, et si l'enseignant de leur enfant ne le mérite pas, surtout avoir l'intelligence de ne pas le formuler devant le gamin. Il faut que l'élève conserve la certitude qu'il rencontre 4 ou 5 jours par semaine quelqu'un qui mérite le temps que cet enfant lui accorde, et ça quand on entend le discours de certains enfants....

C'est pas qu'on accepte ça, on le constate c'est tout.
Il faut malheureusement admettre que, comme les études sociologiques le montrent, quasiment tout semble joué pour certains avant m^me d'entrer en primaire.
Cela tient à la culture de la famille vis à vis du livre, des connaissances, de la place de l'école....
Un ouvrier qui accorde de l'importance aux études de ses enfants, qui croit en l'école, et qui est informé de l'importance d'une certaine conduite à tenir, prend le temps et trouve le courage de lire une histoire à ses enfants le soir, montre qu'il lit lui même, reprend ses enfants quand ils ne formulent pas des phrases correctes....(le jeune enfant apprend tout par imitation et anlyse des comportements de l'adulte référent)
Pas évident après un journée de travail pénible, il ne faut pas croire que les enseignants ont des journées faciles et que c'est pour cela qu'ils le font, cependant ils sont tellement convaincus de l'importance de toutes ces petites choses importantes une fois mises bout à bout qu'ils font l'effort de libérer des moments pour discuter avec leur enfant plutôt que le coller devant la télé, et ensuite une fois les enfants couchés, ils reprennent leur boulot de correction et de préparation (un travail qui prend beaucoup de temps dans la semaine, 7/7, pendant les vacances même si le rythme baisse, qui occupe l'esprit en permanence, bref il n'y a que l'été que tu relâches vraiment )
après il est vrai que pour certains profs qui n'ont rien à faire dans la grande maison, c'est cool, on ne refait pas le cours tant pis si les enfants ne sont pas intéressés, si le cours n'est pas adapté à leurs acquis antérieurs.... mais ils ne sont qu'une minorité

première chose à faire pour un ouvrier qui accorde de l'importance à l'école : respecter les enseignants, et si l'enseignant de leur enfant ne le mérite pas, surtout avoir l'intelligence de ne pas le formuler devant le gamin. Il faut que l'élève conserve la certitude qu'il rencontre 4 ou 5 jours par semaine quelqu'un qui mérite le temps que cet enfant lui accorde, et ça quand on entend le discours de certains enfants....

michel tanguy

C'est pas qu'on accepte ça, on le constate c'est tout.
Il faut malheureusement admettre que, comme les études sociologiques le montrent, quasiment tout semble joué pour certains avant m^me d'entrer en primaire.
Cela tient à la culture de la famille vis à vis du livre, des connaissances, de la place de l'école....
Un ouvrier qui accorde de l'importance aux études de ses enfants, qui croit en l'école, et qui est informé de l'importance d'une certaine conduite à tenir, prend le temps et trouve le courage de lire une histoire à ses enfants le soir, montre qu'il lit lui même, reprend ses enfants quand ils ne formulent pas des phrases correctes....(le jeune enfant apprend tout par imitation et anlyse des comportements de l'adulte référent)
Pas évident après un journée de travail pénible, il ne faut pas croire que les enseignants ont des journées faciles et que c'est pour cela qu'ils le font, cependant ils sont tellement convaincus de l'importance de toutes ces petites choses importantes une fois mises bout à bout qu'ils font l'effort de libérer des moments pour discuter avec leur enfant plutôt que le coller devant la télé, et ensuite une fois les enfants couchés, ils reprennent leur boulot de correction et de préparation (un travail qui prend beaucoup de temps dans la semaine, 7/7, pendant les vacances même si le rythme baisse, qui occupe l'esprit en permanence, bref il n'y a que l'été que tu relâches vraiment )
après il est vrai que pour certains profs qui n'ont rien à faire dans la grande maison, c'est cool, on ne refait pas le cours tant pis si les enfants ne sont pas intéressés, si le cours n'est pas adapté à leurs acquis antérieurs.... mais ils ne sont qu'une minorité

première chose à faire pour un ouvrier qui accorde de l'importance à l'école : respecter les enseignants, et si l'enseignant de leur enfant ne le mérite pas, surtout avoir l'intelligence de ne pas le formuler devant le gamin. Il faut que l'élève conserve la certitude qu'il rencontre 4 ou 5 jours par semaine quelqu'un qui mérite le temps que cet enfant lui accorde, et ça quand on entend le discours de certains enfants....

michel tanguy

C'est pas qu'on accepte ça, on le constate c'est tout.
Il faut malheureusement admettre que, comme les études sociologiques le montrent, quasiment tout semble joué pour certains avant m^me d'entrer en primaire.
Cela tient à la culture de la famille vis à vis du livre, des connaissances, de la place de l'école....
Un ouvrier qui accorde de l'importance aux études de ses enfants, qui croit en l'école, et qui est informé de l'importance d'une certaine conduite à tenir, prend le temps et trouve le courage de lire une histoire à ses enfants le soir, montre qu'il lit lui même, reprend ses enfants quand ils ne formulent pas des phrases correctes....(le jeune enfant apprend tout par imitation et anlyse des comportements de l'adulte référent)
Pas évident après un journée de travail pénible, il ne faut pas croire que les enseignants ont des journées faciles et que c'est pour cela qu'ils le font, cependant ils sont tellement convaincus de l'importance de toutes ces petites choses importantes une fois mises bout à bout qu'ils font l'effort de libérer des moments pour discuter avec leur enfant plutôt que le coller devant la télé, et ensuite une fois les enfants couchés, ils reprennent leur boulot de correction et de préparation (un travail qui prend beaucoup de temps dans la semaine, 7/7, pendant les vacances même si le rythme baisse, qui occupe l'esprit en permanence, bref il n'y a que l'été que tu relâches vraiment )
après il est vrai que pour certains profs qui n'ont rien à faire dans la grande maison, c'est cool, on ne refait pas le cours tant pis si les enfants ne sont pas intéressés, si le cours n'est pas adapté à leurs acquis antérieurs.... mais ils ne sont qu'une minorité

première chose à faire pour un ouvrier qui accorde de l'importance à l'école : respecter les enseignants, et si l'enseignant de leur enfant ne le mérite pas, surtout avoir l'intelligence de ne pas le formuler devant le gamin. Il faut que l'élève conserve la certitude qu'il rencontre 4 ou 5 jours par semaine quelqu'un qui mérite le temps que cet enfant lui accorde, et ça quand on entend le discours de certains enfants....

désolé mais bon les chiffres sont là .... y'a kekz'années ben le pourcentage d'élèves en prépas "grandes écoles" issu de milieux "défavorisés" était BIEN meilleur QUE MAINANT ! MERDE !!!!!!!!!!!!!!


j'en sais kekchose, je viens de ce milieu "défavorisé", ben oui mon papa était PAS un ingé, je l'ADORE , mon PAPA !!!!!!!!!!!!!!!

par contre keskia comme fils/filles de profs qui font X/HEC etc ......

je ne jette pas la pierre aux profs , que je vénère, juste à la pseudo "société"

m'en fous toisson les "manuels" ben y'a pas bcp d'ingés qui sont capap' d'être ébenniste ou fraiseur etc ...... not' société de C.ns a pourri cela, comme si c'était une tarre d'être un bon artisan .......

demain le retour de bâton .....

bon c'est parti pour 7 h de réunion parents (10 min pour chaques: 41 parents à voir!!!!!)calculez bien, y'a meme pas de pase pour manger... Eh oui, un samedi en plus! et 6h de route ensuite enfin si j'arrive entière (eh oui, quand on aime on ne compte pas)
La Ségo, ses 35h elle peut se les mettre où je pense car si elle voyait nos semaines, on est bien au dessus des 35h (et 3 paquets de copies à corriger ce week end)

Il y a une usine de tranformation de viande pas tres loin de chez moi qui recherche du personnel.
un ptit CV et tu es embauchée....

ben pourquoi pas, au moins je serais à la maison, avec mon homme et pas devant des gamins qui n'en ont rien à foutre de l'école

Sujet de Culture G, Cned 2006, prépa concours officier de police

" à l'école doit-on apprendre un peu de tout ou tout d'un peu ?"

tout et rien

Oui, j'affirme qu'on peut aujourd'hui avoir des ambitions malgré son origine sociale... Je prend pour exemple ma copine, père ouvrier à l'Arsenal, mère au foyer, personne n'a fait de longues études dans sa famille, elle a su se débrouiller pour intégrer science-po Rennes, ce qui n'est pas à la portée de tout le monde.
Donc OUI, c'est possible, et NON, il n'y a pas de fatalité. Pour moi le fait de l'échec des enfants dit 'nés de parents ouvriers' vient du fait qu'ils sont conditionnés, ils voient leurs parents qui sont ouvriers, ils ne se donnent du coup pas assez de moyens pour réussir, et l'école joue aussi son rôle la dedans, en les orientant vite fait bien fait en BEP/CAP, alors que beaucoup mériteraient de pouvoir continuer leurs études.

question :
a-t'elle eu des bourses ?

nan, twop babtou fwançaise

sinon, Michel T., l'fait qu'les enfants d'profs réussissent généralement pas trop mal les études peut aussi venir du fait que les parents les poussent pas mal dans ce sens, et que, deja tres jeunes, l'éveil de ces enfants niveau education est forcément plus avancé.

Le fond du problème est :
IL N'Y A PLUS DE POSTES A POURVOIR !

La croissance des années 70 c'est terminé...
Les augmentations de salaire jusqu'aux années 80 c'est terminé...

On a plus un ascenseur social mais un descenseur social.

30 % des jeunes de moins de 30 ans sont au chom'du.
Ecart de salaire entre quinquagénaire et trentenaire en 2000 : 40 %,
Ecart de salaire entre quinquagénaire et trentenaire en 1977 : 15 %.

Les jeunes sont sacrifiés... Et ce n'est que le début...

Vous auriez du regarder la guerre des générations sur Arte cette semaine.
Dans le topic "les retraités vous dosent... merci" je donne un lien vers une émission de Télé : Ripostes... Regardez cette émission...

Voila le lien

http://www.alternative-liberale.fr/m247 ... ions_.html

Vous comprendrez le fond du problème...

D'ailleurs ce n'est aps le système éducatif qui est en faillite c'est notre société toute entière, on a leurré les jeunes :
- en leur faisant croire qu'ils auraient un travail valorisant en fonction du nombre d'années d'étude,
- en abaisant les sélections d'entrée et en diminuant le niveau afin de "berner" le plus possible de jeunes (ben oui il vaut mieux qu'ils soient sur les bancs plutôt qu'inscrits au chomage...),
- et le plus tard ils se rendront compte qu'il y a "problème" mieux c'est.

Il s'agit d'une duperie dont les jeunes ont été les victimes, je m'étonne qu'ils se soient laissés faire (et berner) sans rien dire...

Les jeunes ont été escroqués par leurs ainés...
Afin que ces derniers puissent continuer à se partager le gateau...
L'école ne sert en rien à former les gens pour le monde du travail mais à retenir le plus possible de monde sur les bancs afin de les "entuber" le plus longtemps possible.

Les sociologues et donc les hommes politiques savent depuis 1975 qu'il y allait avoir un problème... celui ci a été réglé de la meilleure façon qui soit pour les hommes en place ... au détriment des jeunes.

Vous avez entre 20 et 35 ans...
SACHEZ QUE VOUS FAITES PARTIE D UNE GENERATION SACRIFIEE.
Vous vous êtes fait "entuber profond" par les baby boomers.
S'il n'y avait pas les aides de "papa maman", cela fait longtemps qu'il y aurait eu une crise majeure en France...
Nota Bene : les jeunes de banlieue eux n'ont pas papa maman derrière pour assurer un minimum décent à leur progéniture...

Ce n'est pas parce que ce sont des "racailles" qu'il y a des problèmes... C'est que depuis 30 ans nos hommes POLITIQUES SONT DES POURRIS,
il ne faut pas confondre...

Le jour où les jeunes ne pourront plus être soutenus par papa maman... (Les enfants des personnes nés entre 1960 et 1975... L'ascenseur social commencait à bien merder), ce n'est pas que dans les banlieues qu'il va y avoir du grabuge, c'est un petit peu partout...

Rendez-vous en 2015...

PS : Je ne suis pas FN (ça me dégouterait plutôt) mais JMLP donnait un chiffre, on forme chaque année 7000 psychologues il y a 200 postes à pourvoir... Je ne peux pas vérifier ce chiffre mais je le crois...
Nous sommes dans la république d'UBU roi.