Merci pour ces photos ! C'est émouvant de le revoir comme ça, heureux d'être là parmi ses fans.

Et la leçon de tout ce sujet c'est que le stade brestois de maintenant n'est rien sans son passé.
Le club deviendra grand s'il ne l'oublie pas ! Loulou Floch a lui semble t-il été oublié par son ancien club. Que cette initiative serve d'exemple !

ALLEZ BREST !!!!!!!

PS : on peut créer un sujet contrepétries ? j'en ai quelques unes

Vu le DVD hier soir, sympa mais je dois avouer que ce que j'ai préféré ce sont les images à la fin où il taquine le ballon avec des gamins(petits enfants?), il a encore plus d'allure balle au pied que certains pros actuels
Pressé de lire le bouquin, merci Pilgrim

A quelle heure cela s'est fini au péno hier ?

Effectivement tout le gratin était là

Je me répète mais je n'ai qu'une chose à dire: MERCI DRAGO VABEC, du fond du coeur, pour tout ce que tu as apporté au Stade Brestois ... et à ses supporters.

Tu nous a fait rêver et ça c'est un bonheur inestimable.

Ta gentillesse et ton humilité sont clairement aux antipodes de certains comportements actuels dans le football. Comme quoi, on peut avoir été un "surdoué" dans son sport, sans pour autant oublier dont l'on vient.
Quand on voit certains joueurs d'aujourd'hui qui ont "la grosse tête" après deux-trois bons matchs, ça fait doucement sourire ...

très joli papier de Steven Le Roy dans le TLG sur Dragutin .

Avec en prime une photo originale.

Oui, j'ai aussi beaucoup aimé l'article de Steven Le Roy.

On parle pas mal de Drago et de Brest dans la presse croate :

Et en plus le Drago a eu la bonne idée de naitre en 1950 , comme le stade ... Il n'y a pas de hasard dans la vie !

Quand tu vois DRAGO embrasser chaleureusement les fans,là tu te rends compte de l'énorme gentillesse qu'il dégage...

Ce serait une bonne idée que Drago puisse repérer quelques jeunes croates et filer de bons tuyaux au stade ... Ils sont loin d'avoir les pieds carrés là bas Faudrait encore que les 2 parties soient intéressées

Celà a déjà été proposé......l'histoire du club commence à partir de maintenant.

Je me permets d'en faire profiter les non abonnés ! En espérant que Max ne me tire pas les oreilles

http://www.letelegramme.fr/finistere/br ... 451893.php



En cette fin d'après-midi, le Stade brestois va recevoir Paris, l'autre, en coupe de France. Après la visite princière de son altesse sérénissime Drago pendant toute la semaine, les affaires courantes reprennent, en quelque sorte. Elles n'en sont pas moins excitantes. Il est là, planté devant l'institution Le Blé, sur le parvis de l'autre institution, appelée « Le Pénalty bar ». Le Péno, quoi. Comme Versailles avait ses trianons, le stade a son annexe, qu'ont choisie Drago I e r et Johann Le Roux (auteur d'un livre et d'un documentaire sur le footballeur) pour une séance de dédicaces en ce jeudi froid, baigné par un ciel aux allures neigeuses. Mais, dans le bar, il fait bon vivre. Entre supporteurs d'hier et d'au jourd'hui, écharpes rouge et blanc sérieusement nouées autour du cou, il n'est question que du « mister » assis sur la table du fond, sous les posters noir et blanc de ses exploits passés. Le but à Paris, le hat trick (trois actions décisives) contre les Girondins tirés en grand comme sa carrière à Brest, comme la trace laissée par sa majesté Drago Vabec à travers les générations des supporters zefs. De bonne grâce, Vabec signe et paraphe, répond à la forêt de smartphones outillés en appareils photo de compet', avec le même petit sourire malicieux. La file d'aficionados ne désemplit pas. Au bar, Michel Jestin, président historique du Stade dans l'époque post-Vabec (car, oui, il y a un avant et un après Vabec), jubile une fois de plus. « C'est magique », répète-t-il comme un enfant, avant de prendre congé de l'icône. Après une semaine passée à rencontrer ceux qui ne l'oublient pas et ne l'oublieront de toute façon jamais, Drago I e r a repris la voie des airs puis du sol croate, ce vendredi. « À bientôt, j'espère », distribue-t-il, dans un français retrouvé, à ceux et quelques celles qui lui serrent chaleureusement la poigne. C'est tout ce que le petit peuple rouge et blanc réclame. Un rab de Vabec dans les années à venir, pour lui dire encore et toujours combien on l'aime. Combien les Ultras, ceux qui avaient déployé une banderole en langue slave, « Drago, fils de Croatie et de Brest », lors du match contre Créteil, savent entretenir la légende de ce club. Combien le vieux stade est un monument de cette ville et comment lui, Drago la merveille, en a été son chef-d'oeuvre durable. Après l'empereur, un baron Mais la nostalgie, aussi plaisamment triste soit-elle, ne doit jamais substituer le moment présent. Ce soir, vers 18 h, les nouveaux princes de Le Blé s'attaquent à un match un peu anonyme de coupe de France. Ils reçoivent Paris, mais pas le SG. Le Paris FC, cador de troisième division, qu'il convient de rayer des tablettes sous peine de ne pas voir le club des 20 et les 32 e s de finale, une fois de plus. Dans ses rangs, Richard Socrier finit sa carrière et mènera l'attaque parisienne. Ce n'est certes pas Ibra mais ce Socrier-là fut lui aussi un baron de la noblesse rouge et blanche, à un moment où rien n'était facile. Chef de bataille décrié, il a fini plus en cour sa carrière brestoise. À mille lieues, pourtant, de son altesse Drago. Brest-Paris FC, ce soir, à 18 h, au stade Francis-Le Blé. Imprimer Télécharger Envoyer

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Merci pour les expat'

Et encore merci Johann

Merci comissaire! Tu vois, tu sers à quelque chose

Et pourtant je n'ai pas droit normalement mais bon pour Drago il y a exception !