c'est là que je me dis que j'ai quand même eu une enfance et adolescence hyper heureuses. A part les gros cons qui me harcelaient quand j'avais 10 ans ; j'en mordis un, plus d'blem après, sauf que je culpabilisais grave ensuite. La violence ne semble n'avoir jamais été dans ma nature. Merci ma famille.
Quand je vois ce que me racontent (pour le peu qu'elles veulent bien m'en parler ; bienveillance envers les parents que j'ai moi même connue mais ... petits drames en ce qui me concerna) mes filles, bouh !!!! Ben mon papa m'a bien éduqué, avait un bon comportement ; ya vraiment des sacrés salopards de mectons.
Et en ce qui concerne tous ces éducateurs merdiks, de partout quelle que soit l'institution, souhaitons que ce fut dans le passé, que désormais, cela n'existe(ra) plus.
Quoi qu'il en soit je suis tombé des nues en entendant ce qui a pu se passer dans cet institut près de Pau, terrible, tellement à l'inverse de ce que l'on peut y attendre. Incroyable tout ce silence de plomb (tiens c'est marrant une phrase commune sans verbe).

Selon Ouest-France, depuis environ six mois la vie quotidienne des riverains de la Bellangerais, au nord de Rennes, est minée par des bandes de très jeunes adolescents, parfois âgés de moins de 12 ans, qui « traînent régulièrement devant » la maison de quartier située à côté d’un point de deal.

L’accès à la maison de quartier est désormais verrouillé ; « On a déjà retrouvé des couteaux dans nos locaux », confie un employé.
Une bibliothèque voisine a dû engager un vigile pour filtrer l’entrée et éviter les perturbations.
Les dealers recruteraient des choufs dès 10 ans, parfois payés « en bonbons » ; l’un des mineurs « exhibait une liasse de billets » devant ses camarades.
Les violences s’aggravent : coups de feu sur le centre commercial en décembre 2022, façade d’immeuble criblée de balles, puis, le 13 avril 2025, trois adultes roués de coups après avoir tenté de stopper un cambriolage.
Le contrôleur général Yannick Blouin alerte sur des « prédateurs » mineurs « qui n’hésitent pas à menacer avec des armes blanches », tandis que des habitants dénoncent « cette hyperviolence gratuite » et le sentiment d’impuissance face à des auteurs trop jeunes pour être réellement sanctionnés.

Le 22 avril 2025, aux alentours de 6 heures du matin, une Twingo blanche roule à vive allure avenue Georges-Pompidou à Nîmes. (…)

Les deux hommes consomment du gaz hilarant à l’aide de ballons. Ils tentent de dépasser un véhicule sur leur voie, mais percutent la voiture d’à côté. Le chauffeur est un agent de la police nationale, qui se rendait au travail. Ce dernier s’arrête pour constater son automobile. Le conducteur de 24 ans, sans permis, s’excuse et propose à la victime d’effectuer un constat. Mais son petit frère s’énerve et récupère un couteau dans la boîte à gant avant d’agresser le policier (en civil).

“Tu as abîmé ma caisse, je vais te crever”, lance le Nîmois de 20 ans. Son frère tente de le calmer, mais rien n’y fait. Le jeune asperge la victime de gaz lacrymogène, la situation dégénère et une bagarre éclate. Le fonctionnaire de police se retrouve à terre, puis l’agresseur sort son couteau.

Quelques minutes plus tard, la patrouille rattrape la voiture blanche et une arrestation musclée des deux frères s’ensuit. La police assure que le duo s’est rebellé en se tapant la tête par terre, mais les prévenus prétendent, quant à eux, avoir été victimes de violences policières et d’insultes racistes. Dans le véhicule, huit bonbonnes de gaz hilarant, ballons, cagoules et gants sont retrouvés.

Le plus âgé est poursuivi pour conduite malgré une suspension du permis de conduire, refus de se soumettre aux analyses d’alcoolémie et de stupéfiants et rébellion.

Le plus jeune est mis en examen pour violence avec menace d’une arme, menace de mort réitérée, rébellion, refus d’obtempérer et de remettre son code secret de téléphone.

La victime a reçu trois jours d’ITT.

Les deux Nîmois ont chacun une mention à leur casier judiciaire. (…)

“Je suis étudiant à l’université, je suis en licence de gestion puis je fais du football en National 3, la prison va me détruire.” (…) Maître Hamchouch assure la défense du cadet : “Les faits sont extrêmement graves, et mon client assume. Mais il n’est quasiment pas connu des services de police.(…) Je vous demande de le condamner et d’adapter cette peine à sa personnalité et de le placer sous DDSE“.

Le tribunal s’est montré réceptif à la plaidoirie des avocates. Le prévenu de 20 ans est condamné à 18 mois de prison, dont six mois assortis d’un sursis probatoire, et les 12 mois seront aménagés par une détention à domicile sous surveillance électronique, avec une obligation de soins, de travail et d’indemniser les victimes. L’aîné a écopé de 12 mois de sursis. Le véhicule est confisqué.

La justice n'est pas laxiste épisode 500 000.

Selon moi, sortir un couteau c'est avoir l'intention de donner la mort.

D'après les politiques de gauche, l'assaillant de la mosquée de la Grand-Combe serait d'extrême droite et Retailleau, Darmanin, Valls ou encore Bardella seraient les principaux responsables du drame.

Olivier, d'origine Bosniaque, est l'assaillant.

Et à la télé/radio, ils disent Oliver H de nationalité française évidemment.

Olivier H. pour être plus précis.

Au passage en regardant les reportages sur ce fait-divers (et la réalité du quotidien), les mosquées en France font vraiment pitié.

Est-ce qu'il n'y aurait pas moyen de reconvertir des Eglises qui tombent en ruine ? Façon Ste Sophie.
Avec des fonds de pays du Golfe.
On pourrait installer des portiques à l'entrée, comme le préconise Bayrou, avec le pass VIP "muslim de France" toujours plus sûr qu'un simple contrôle au faciès, qui, on le voit, a ses limites.

Oui à "l'Islam de France", un peu de courage, bordel !

Il est de nationalité française , c'est un fait .
Originaire de Bosnie par ses parents

Parents apparemment de la minorité rom (et chrétienne) de ce pays (Bosnie-et-Herzégovine), et souffrant probablement de troubles psys.

Ah. Les fameux troubles psy.