Mosque to get police guard for bikini rally


Taghred Chandab and Matthew Benns
December 3, 2006
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POLICE have been asked to protect Australia's largest mosque next weekend because of concerns that a bikini march staged to coincide with the anniversary of the Cronulla riots may get out of control.

The caretaker of Lakemba Mosque, the Lebanese Muslim Association, says it is taking no risks, requesting at least 32 police officers to protect the place of worship on Saturday and Sunday.

Association president Tom Zreik said he met police on several occasions to ensure there would be adequate numbers of officers present to defuse problems and arrest troublemakers.

"We are treating this as something that is funny and hilarious but also taking precautions," Mr Zreika said of the bikini march. "Some people may see this as provocation and the last thing that we want is to see anyone being attacked."

The organiser, Melbourne grandmother Christine Hawkins, has asked women nationally to dress in bikinis and colourful beachwear and rally outside large mosques to show their disgust at comments by leading Muslim cleric, Sheik Taj el-Din al Hilaly, who likened women to "uncovered meat".

A white supremacist website has promoted the march. Members of Sydney's Muslim community began raising their concerns last week, with hundreds joining an internet discussion to find a "peaceful avenue" to protect their mosque.

Many Muslim women suggested joining the march in their hijabs and burqas to voice their outrage at comments made by Senator Bronwyn Bishop and Prime Minister John Howard about the way they dress. "We're really asking people not to bother coming to the mosque," Mr Zreika said.

"All this is doing is degrading women and giving men a great excuse to have a perv. There are better ways women can express their concerns."

In Cronulla yesterday members of the Lakembaroos sports club attended a barbecue at North Cronulla Surf Club to mark the progress of more than 20 Muslim lifesavers, who are training for their bronze medallions.

"If we didn't have the events of Cronulla last December in the back of our minds, we wouldn't even be conscious that the people here were of Lebanese background," Community Relations Commission chairman Stepan Kerkyasharian said.

"They look Australian, they are taking part in an Australian activity and you have to ask 'what's the problem?"'

The training is an initiative of Surf Life Saving Australia.
Source: The Sun-Herald

Enfin c'est la demande d'un académicien.

l'Année du Porc, Nouvel An chinois le 18 février

A l'approche du nouvel an chinois, CCTV reçoit l'interdiction de diffuser des images publicitaires faisant intervenir un cochon afin d'éviter le mécontentement des musulmans chinois.

"La Chine est un pays multiethnique... Afin de respecter la sensibilité du peuple musulman au sein de notre pays, en accord avec les recommandations de notre supérieur, notre chaîne évitera la diffusion d'images de cochon durant toute l'année 2007."

A la lecture de cette information, les agences ont été obligées de retirer certaines publicités déjà réalisées utilisant l'image du cochon.

La compagnie Nestlé qui avait produit une publicité avec un cochon en dessin animé a donc été contrainte de modifier son spot télévisé.

La compagnie Coca-Cola qui avait pour projet deux publicités pour le nouvel an, dont une avec un panda et l'autre avec un cochon a dû retirer cette dernière de la grande diffusion et la proposer dans des régions à faible concentration musulmane.

Le reportage du "Wall Street Journal Asia" précise que la Chine compte deux millions de musulman, soit moins de 2% de la population totale. Il s'agit donc d'un geste symbolique de la Chine faisant prévaloir la différence culturelle d'une minorité ethnique par rapport à la majorité Han; Majorité dont la cuisine est en grande partie basée sur la viande de porc.

Cristal rouge : le Protocole qui crée l’emblème entre en vigueur
Le 14 janvier 2007, le Protocole additionnel III aux Conventions de Genève de 1949 entre en vigueur, six mois après avoir été ratifié par les deux premiers pays. Cela met un terme au processus de création d’un emblème additionnel, qui sera utilisé par les gouvernements et le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge. Informations clés sur le traité.


© CICR / Thierry Gassmann / emb-e-00021
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© CICR / Thierry Gassmann / emb-e-00021
L’entrée en vigueur de ce Protocole – et avec lui, de l’emblème additionnel du cristal rouge – est considérée comme un signe concret de la prédominance des principes humanitaires sur toutes les autres considérations qui guident la mission du Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge.

La possibilité d’utiliser le cristal rouge facilitera la reconnaissance et l’admission, au sein du Mouvement, des Sociétés nationales qui ne souhaitent pas utiliser les emblèmes de la croix rouge ou du croissant rouge. L’universalité du Mouvement s’en trouvera renforcée.

Le Protocole offre une nouvelle flexibilité, permettant aux Sociétés nationales d’inclure un autre emblème ou une combinaison d’emblèmes déjà reconnus par les Conventions de Genève à l’intérieur du cristal rouge lorsqu’il est utilisé à titre indicatif.

Selon le droit international, le cristal rouge offre la même protection que la croix rouge ou le croissant rouge aux membres du personnel, aux établissements ou aux véhicules des services médicaux militaires ; au personnel des Sociétés nationales ; aux collaborateurs, aux véhicules et aux structures du CICR et de la Fédération internationale.

(La législation existante – le Protocole additionnel I de 1977 – autorise également certaines structures médicales civiles à utiliser les emblèmes.)

Le CICR et la Fédération internationale sont autorisés à utiliser le cristal rouge lors de circonstances exceptionnelles, lorsqu’ils l’estiment nécessaire pour leurs activités ; mais ils ne modifieront pas leurs emblèmes ou leur nom actuels.

À plus long terme, le défi est désormais d’obtenir, pour le cristal rouge, la même reconnaissance et le même respect que ceux dont bénéficient la croix rouge et le croissant rouge à travers le monde. Ainsi, l’accès des travailleurs humanitaires aux victimes de conflits et d’autres crises en sera facilité, en particulier lorsque l’utilisation d’un emblème dénué de connotations politiques, religieuses ou culturelles aux yeux de la population peut constituer un avantage.

Le reportage du "Wall Street Journal Asia" précise que la Chine compte deux millions de musulman, soit moins de 2% de la population totale.