C'est pas faux mais ces paroles comme d'autres articles me font dire qu'il fallait y penser tant qu'il était encore temps d'essayer de faire quelque chose.
Une fois le nez dans la merde c'est moins dur de la sentir.

Sacré Jacky "les phrases choc" Le Gall.
"Il n'y a pas de honte a jouer en L2"

Ni en National d'ailleurs, ni aux étages en dessous d'ailleurs ...
C'est comment qu'on y joue qui est important.

Faudrait faire un recueil jusqu'à la fin de saison, va y avoir du bon.

Le plus triste c'est d'être encore en ligue 1,certes mathématiquement,avec une équipe aussi mauvaise,a quatre journées de la fin,quel gâchis dans un championnat aussi médiocre.Bon je sais,on a eu de la chance parfois lors de la poule aller,mais tout de même

Oui c'était encore jouable mathématiquement, on pouvait revenir à 2-3 points d'équipes à recevoir mais bon faillait une vraie équipe de foot et pas des gars avec si peu de mental et faisant autant de conneries.
Cette saison est partie en vrille d'entrée avec la boulette de Thébaux, le fait d'avoir été la seule équipe battue par alors un Nancy très faible et un coach et des joueurs complexés trouvant normal de partir battus d'avance.
Bref si on pouvait retrouver un peu de plaisir à voir une équipe se battre, allant de l'avant et gagnant un peu plus souvent.

2-0 pour les crétins.
Et voilà, fin de l'aventure sans avoir vraiment lutté.

3... On va aller prendre combien à Paris, histoire d'avoir encore plus la honte?

Edit: 4 et nous voilà officiellement en L2.

Nous voilà donc officiellement en L2.

On a beau l'attendre depuis longtemps, ça fait tout drôle quand même.

Dernière incertitude: l'existence ou non du derby contre l'EAG l'an prochain. Mais vu leur carton de ce week-end, on est bien partis pour les regarder jouer contre les PSG, OM, OL et consorts à la télé...

La misère quoi.

ben voilà ... ...

Si seulement on pouvait donner un grand coup de balai salvateur, mais je crains qu'on reparte avec trop de loosers l'an prochain, qu'on n'aura pas réussi à fourguer.

Bon maintenant, il faut trouver, un Président, un Directeur sportif, un entraîneur et son staff et une équipe. Pas gagné, mais il va falloir enchaîner vite, très vite.

Il faut en priorité et dans l'ordre trouver un président, puis un directeur sportif, puis un entraineur,
puis faire le ménage dans cette bande de clown tout en tentant de sauver/convaincre la poignée qui vaut le coup... en gros les seuls qui ont été vraiment "professionnels"...

Le compte à rebours a déjà commencé ! La ligue 2 reprend début août ! Le chantier de la reconstruction est tellement énorme qu'il n'y a pas une minute à perdre !

Un papier assez bien fait de l'Afp ... j'en avais oublié le montant d'achat de Benschop !

La relégation en Ligue 2 de Brest, définitivement validée par la victoire d’Evian-Thonon contre Nice dimanche, était devenue inéluctable après six derniers mois durant lesquels son effectif, déjà limité, a été amputé de l’attaquant israélien Ben Basat, sur fond de conflit entre dirigeants.

Même si son président Michel Guyot visait en début de saison «la 12e place», le Stade Brestois n’avait ni le budget (27 M EUR) ni l’effectif pour jouer autre chose que le maintien, comme les deux dernières saisons (16e en 2010-2011, 15e en 2011-2012), d’autant que le groupe a été affaibli à l’intersaison.

«Il y a moins d’expérience, de joueurs capables de prendre la parole que l’an passé», déclarait ainsi l’entraîneur intérimaire Corentin Martins la semaine dernière.

La parole de Paul Baysse, gravement blessé à un genou début janvier, a manqué à un groupe qui a perdu l’été dernier ses cadres Omar Daf, Oscar Ewolo ou Romain Poyet, garants de «l’esprit brestois» et qui n’ont pas été remplacés par les recrues de l’intersaison.

Hormis Alexis Thébaux et Bernard Mendy, celles-ci n’ont quasiment rien apporté: Kamel Chafni a été trop irrégulier, Geoffrey Dernis n’a pas eu le rendement escompté et a été vite cantonné à un rôle de remplaçant avant de se blesser en mars, et Charlison Benschop, recrue la plus chère de l’histoire du club (1,3 M EUR), n’a inscrit que trois buts en L1.

Les neuf buts d’Eden Basat avaient grandement contribué à maintenir la tête hors de l’eau au Stade Brestois, qui avait conclu la phase aller avec cinq points d’avance sur la zone de relégation, notamment grâce à des victoires en trompe l’oeil contre Troyes (2-1 le 1er septembre) et Valenciennes (2-1 le 22 septembre).

Or, depuis que Ben Basat a été vendu un million d’euros à Toulouse dans les dernières heures du mercato hivernal, fin janvier, les Finistériens n’ont glané que cinq points (une victoire, deux nuls pour 10 défaites) !

La saison dernière, Brest avait pourtant fini par surmonter le départ de Nolan Roux à Lille en janvier en décrochant son maintien lors de la dernière journée. Mais le changement d’entraîneur avait alors été salutaire, et le club était uni, ce qui n’était pas le cas cette année.

Martins, qui avait réussi son opération sauvetage après avoir remplacé Alex Dupont à cinq journée du terme, a cette fois échoué dans une mission qu’il ne voulait au départ pas assumer après le limogeage de Landry Chauvin début avril.

Mais l’ancien milieu international a accepté l’intérim par amitié pour Guyot, dont la guerre ouverte avec le principal actionnaire et vice-président Yvon Kermarec, qui a éclaté au printemps, a forcément pesé sur le moral des joueurs.

«Quand on est en difficulté sportivement, il faut de la sérénité autour. Même si les joueurs ne sont pas dans le fond du problème, au lieu de parler de football, on parle d’autre chose», reconnaissait ainsi Martins la semaine dernière.

Le discours de ce dernier envers le groupe a pu également être parasité par le conflit public entre les deux hommes forts du Stade Brestois, puisque Kermarec n’a jamais caché qu’il souhaitait évincer Martins de son poste de directeur sportif lorsqu’il aura pris le pouvoir, une fois la saison terminée.

Tout est dit dans l'AFP.
C'est la reconstruction qu'il faut envisager maintenant.