Pendre les patrons et leur tordre les boyaux, c'est pas ce que j'appelle un crime.

En tout cas, c'est moins pire que de mettre des centaines de gens au chômage.

et puis , 80 millions de morts , s'il n'y avait que tes fameux grands patrons , je dirais bravo le communisme pr la réussite économique...

que de cynisme! emetterait tu des reserves sur la liberté d'entreprise en Union sovietique, Cuba ou Vietnam?

...La vie des prisonniers, les "zeks", travaillant dans un camp spécial au nord de Moscou en 1949, est reconstituée avec force détails. Le personnage principal, Gleb Nerjine, fait face au dilemme suivant : travailler sur la ligne téléphonique secrète pour Staline et retrouver la liberté, ou bien refuser et devoir quitter ce camp réservé aux intellectuels, pour être envoyé dans un goulag ordinaire...

Des milliers de Tatars ont manifesté jeudi à Simféropol, grande ville de Crimée (sud de l'Ukraine), pour marquer l'anniversaire de la déportation de leur peuple sur ordre de Staline, et dénoncer la "discrimination" dont ils se disent toujours victimes.

"C'est un jour de commémoration et de deuil pour ces dizaines, ces centaines de milliers de personnes qui sont mortes" en déportation, a déclaré devant le rassemblement un haut responsable de la communauté tatare, Refat Tchoubarov.

Environ 15.000 personnes participaient à ce rassemblement, selon un correspondant de l'AFP sur place.

Du 18 au 20 mai 1944, plus de 200.000 Tatars de Crimée, peuple d'origine turque alors accusé par le pouvoir stalinien d'avoir collaboré avec les nazis, ont été déportés, la plupart en Asie centrale, comme plusieurs autres "peuples punis" dont les Tchétchènes.

Environ 40% d'entre eux sont morts au cours des deux premières années qui ont suivi leur déportation, selon des estimations non officielles.

Quelque 260.000 d'entre eux sont retournés vivre en Crimée depuis la fin des années 1980. Ils représentent aujourd'hui 12% de la population de Crimée.

Les manifestants ont adopté une résolution dénonçant la "discrimination" dont ils se disent toujours victimes malgré le changement de régime en Ukraine après la "Révolution orange" fin 2004, massivement soutenue par les Tatars.

"Au lieu de (...) régler les problèmes des Tatars (...), les autorités se livrent à des discussions interminables", souligne la résolution.

Elle déplore notamment le problème de la redistribution des terres aux déportés et de l'enseignement en langue tatare en Crimée.

Le président ukrainien Viktor Iouchtchenko a pour sa part assuré que le pouvoir "faisait de son mieux pour régler les problèmes de déportés", tout en reconnaissant que "ce processus n'avançait que très lentement".