Alors que nombre d'entraineurs capables et renommés se bousculaient aux portes du Stade Brestois, diplome à la main et expérience fièrement exhibée, c'est un feuilleton Baticle qui s'ouvre.
Ce Baticle, copain comme Coco, comme cochon de Coco mais qui ne peut même pas franchir les portes de son club.
Certains ici ne peuvent que rentrer leur fierté dans leur pantalon, ils amènent le club sur une pente savonnée de promesses et de conneries, pire ils lui font cracher sa substance à coup de 5000 euros, l'abandonnant à des conseils peu experts en coaching. 5000 euros ça fait combien de petits fours?
Voici venu le temps du flou artistique du Cubi, le second effet Guyot. Le club a pris un ebonne charge il vagabonde dans le rien, ce rien qui représente bien le foot à Brest.
Finalement, la folie des grandeurs, celle des "grands batisseurs", c'était plutôt bien.
Vous aussi grands poêtes, faites rimer vos pensées , composez un sandwiches aux rimes de déprime pour nourrir la crise brestoise.
C'est la crise, mais pas de rire.

Ma pensée : c'est l"automme, les jours diminuent , il pleut , les feuilles se ramassent à la pelle et le stade brestois à la petite cuillère Je sais c'est pas terrible mais bon je n'ai pas trop le coeur à la poésie ces temps ci et je ne suis pas le seul ...

Let's dance
The last dance
Tonight
Yes it's my last chance
For Romance
Tonight

http://fr.youtube.com/watch?v=plWjNI4rNwk

Mon Dare vire jazzy!

[video]http://youtube.com/watch?v=89B6OmBuG4A[/video]

Allez viens boire un ptit coup au Stade Brestois (tchi, pou)
Y'à Basèle, y'a Stinat et Elana,
Mèch' Guyot avec un peu la gueule de bois,
Vive les cubis et les canettes et le pastaga !


Cette saison on va bien rigoler,
Mèch' a dit qu'on va finir premier !
Mais des matches il va falloir gagner ?
On a Poyet, et Ayité,
Mais aucun but marqué !

Pascal Moustache est bien embêté,
On ne trouve pas l'chemin des filets,
"Je vais faire jouer Socrier ?"
Mais Socrier, il est rentré,
Et il n'a rien branlé !

(refrain)

Ca va finir par être compliqué,
Au classement on a dégringolé,
Y'a pas moyen de gagner à FLB,
Les supporters sont excédés,
Et le président bourré !

Moustache s'est fait limogé,
Qui donc va pouvoir le remplacer ?
Mèch' n'a pas l'air trop pressé
De toutes façons, il n'y a personne
Pour venir dans ce merdier !

(refrain)

Moustache n'était pas très rigolo,
Avec lui il n'y'avait jamais d'apéro,
Heureusement que maintenant c'est Coco,
Y'a du Ricard et du Porto,
Et on fume des Bédos !



(à compléter...)

En veritas (c'est le mot du moment ), l'intérêt que je porte à cette musique ne date pas d'hier.

Sympa aussi la version que tu as dégottée.

Je relance d'un Love for sale, sur ce même blue note d'anthologie:

[video]http://youtube.com/watch?v=dQXK21pIy5k[/video]

Stade Brestoa catasrtophe!!! la mélancolie made in brest m'envahie!!!!

Car si j'ai joué vraiment si mal
C'est que je voudrais encore une fois
Retourner les miroirs,étouffer les sirènes
Pour ne plus te revoir espérer qu'il revienne
T'attraper la machoire pour que ta peau devienne
Plus douce que ta mémoire,toujours chaude de son haleine

Fais comme si j'étais en sueur
Fais comme si j'etais bien meilleur
En sueur

Tu sais c'est con les jeux de balle
Quand on est à trois
Y en a toujours un qui touche que dalle
Hormis peut etre des bouts de croix

Mais je ne suis qu'un bon cheval
Ou un gros bourrin,tu as le choix
Un arrière droit assez brutal
EVOLUANT EN D3!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Texte Christophe MIOSSEC evoluer en 3eme DIVISION

Ca part bien je trouve, y a de l'idée !

Le groupe vit bien donc no problèmo.
On a pu s'en apercevoir lors de leur émission en bois.
Je suis confiant pour ne pas finir bon dernier....ca c'est un objectif à la hauteur du père GUYOT.
Et puis quand basel de carv' va revenir on va tout exploser....

On attend tous le messie De Carvalho, un diamant brut On va monter !

N'empêche, le pokès moyen qui a cru tout ce qu'a dit Guyot depuis le début de saison, les boules quoa

un diamant noir, un véritable diamant noir !

Tu l'as dit, une sacrée truffe ouais...

Excellent. En ce jour de dégout, ça redonne le sourire.