el hajri , c'est une merde , qu'il se casse !

Vla l'attaque de merde si el hajri titulaire .

bochu ne vaut rien n'en plus .

Oui mais qui n en veut ???

les 2ans d'option c'est dans quel cas? une montée ? il va rester juste 1an alor!

Apprend à lire. J'critique pas c'est juste que je suis septique et que je ne m'emballe pas.
Et les brèles des saisons précedentes quand elles étaient arrivées on lisait les mêmes chose qu'on retrouve aujourd'hui sur ce forum.
On verra c'est tout.

En ce qui concerne les forums des autres club j'm'en branle.
Les Istréens étaient très déçus de voir partir Bochu la saison dernière, certains Sedanais étaient dégoutés quand Basile avait signé chez nous plutot que de retourner chez eux, Jawad était un dieu à Boulogne, les Caennais n'étais pas plus triste que ca de voir Elana partir ect ...

Y'a pire même, certains Brestois étaient déçus de voir Sahnoun partir

Je sais lire

Surtout un recrutement hexagonal, et j'avoue que ce n'est pas pour me déplaire.

OUhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh j'appelle la LICRA sur le champ !!!

Bon maintenant, ça donne:

Elana
(Lachuer)

Bourgis Casartelli Poulard Stinat
(Richetin) (Jeannel) (X) (X)


Bochu Masson Bigné Liabeuf
(De Carvalho????) (Bouard) (Guégan) (Collet)
Fabien

Socrier (X)
(X) (El Hajri)

Football : David Bouard : « Brest est une vraie terre de football »
Ligue 2. Le Quimpérois David Bouard, passé par Lorient et Niort, s'est engagé hier pour un an, avec une option sur les deux saisons suivantes (1).
David, votre statut de Finistérien n'est sans doute pas étranger à votre choix de signer au Stade brestois ?

Oui, bien sûr, je voulais retrouver la Bretagne. Déjà parce que c'est vraiment une terre de football. J'avais envie de retrouver le foot au sens très large du terme. Et Brest s'y prête tout à fait, à la différence d'un club comme Niort. Là-bas, il n'y a pas l'identité ou la ferveur que peut dégager la région bretonne.

La proposition de Brest est donc tombée à pic...

Lors du premier match auquel j'ai assisté à Brest, quand j'avais une dizaine d'années, du temps de Cabanas notamment, j'ai dit à mon père : « Un jour, je jouerai à Francis-Le Blé. » Et la saison passée, quand on est venu avec Niort un mardi soir, j'avais été surpris par cet élan, ce dynamisme qu'il peut y avoir ici. Sans doute aussi dans les deux sens : quand ça va bien, je pense que le public est derrière. Mais quand ça va mal, il est aussi là pour se faire entendre. J'ai vraiment à coeur de retrouver le monde professionnel à l'état pur. Je veux exercer mon métier là où ça flambe. Quand je suis entré en contact avec Brest, j'ai dit à mon agent : « On n'exclut pas les autres pistes, mais si ça peut se faire avec Brest, on y va... »

Niort ayant également arraché son maintien, n'avez-vous pas tout de même été tenté de poursuivre l'aventure avec les Chamois ?

J'étais en fin de contrat. Ils m'ont fait une proposition de prolongation, que j'ai refusée. Angers était également intéressé. J'arrive à 30 ans, et j'ai vraiment envie de sentir le football que Niort ne m'a pas donné les années passées. Je voulais me lancer un nouvel objectif, qui peut se réaliser à Brest.

Pour en venir au terrain, vous êtes milieu défensif, mais vous pouvez aussi évoluer en défense centrale. Quel est votre poste de prédilection ?

Avec Christian Gourcuff, j'ai évolué milieu de terrain défensif, mais aussi derrière certains matches. À Niort, j'ai débuté la saison en défense centrale, avant de monter d'un cran. J'aime beaucoup ce rôle « d'essuie-glaces. » Mais il faut vraiment trouver un partenaire qui assimile très bien, comme c'était le cas avec Antony Gauvin à Lorient.

En regardant votre carrière professionnelle (2), on s'aperçoit que vous n'avez connu que deux clubs : Lorient, de 1998 à 2004, et Niort, de 2004 à 2007...

C'est vrai que je ne suis pas un bourlingueur, un mercenaire qui fait une pige d'un an et qui va voir ailleurs. Quand je suis bien quelque part, je m'investis à fond et pour du long terme.

Pour évoquer votre précédent passage en Bretagne, quel souvenir avez-vous gardé de vos six années lorientaises ?

Déjà, j'y ai disputé mes premiers matches en première division (21 lors de la saison 2001-2002). Quand on est gamin, on a toujours envie d'être sur le terrain, d'aller jouer dans les grands stades... Lorient, c'était aussi les valeurs humaines, une relation très forte. Le groupe était très soudé. Ce furent six années très bien remplies.

Vous avez donc joué le maintien jusqu'au bout avec Niort. Brest l'a fait de son côté. On imagine que vous ne ralliez pas le Finistère pour revivre cela ?

Non, c'est clair. Avec Niort, on a souffert jusqu'à la dernière journée. Psychologiquement, ça a été très dur. On n'a jamais pu se relâcher. Maintenant, j'aspire à jouer autre chose. Je sais qu'à Brest, il y a le potentiel pour y parvenir. Le groupe a de la qualité. Et quand un gardien comme Élana rempile pour trois saisons, ça veut dire quelque chose. Si je viens ici, ce n'est certainement pas pour être sur le fil du rasoir jusqu'au dernier match.


Recueilli par

Yannick LE COQUIL.


(1). David Bouard a signé un contrat d'un an, renouvelable deux fois en fonction de certains objectifs définis avec le club, et notamment le nombre de matches disputés en tant que titulaire chaque saison. Dans le Finistère, il portera le numéro 29.


(2). Auparavant, David Bouard a joué de 6 à 17 ans au Stade quimpérois, et notamment en National 1 sous la houlette de Raymond Kéruzoré. Il a ensuite rejoint le centre de formation du Stade Malherbe de Caen.

Ouest-France

Source site officiel