Bon je vais peut être dire une connerie , ce qui est rare ,mais il y a peu de temps, une centrale électrique a failli être construite sur Guipavas. Ce n'était pas des terrains BMO ?
Plus disponibles?

C'est un peu loin de Brest mais ce serait sympa pour les joueurs, ils pourraient aller manger chez " mc " (madame B. )

je pensais à l'instant à Ouessant
Ou alors on va chercher un Quatar, pour nous construire une ile au large de Brest avec un nouveau stade dessus et un CDF

Arreter avec cuillandre, c'est guyot le responsable. Guyot démission !
En plus il fraude pour payer l'eau mais quel férailleur celui-ci

s'agissait d'une centrale gaz, pas électrique ... Mais, bon on n'est plus à ca près
Ces terrains appartiennent au SMBI (Syndicat Mixte Brest Iroise) composé du CG, de BMO, de la CCI et de la Région ... Et, il y a des projets dans les cartons et, de ce que je sais, pas de place pour le SB ...

Tu veux dire que ça bétonner de partout d'ici peu ?

Quand on voit les merdes cubiques servant de résidences (enfin, encore faut-il les remplir, quand on voit le nombre de logements vacants à Brest...) à proximité du four au Vern, c'est lamentable... Vive l'étalement urbain quand ça chante.

Bonsoir
Scinder le projet initial en deux coûtera beaucoup plus cher. Est ce que les investisseurs suivront pour une deuxième tranche qui se fera peut être ailleurs?

Scinder le projet en deux me paraît une erreur monumentale à long terme, bien que payant à court terme pour la licence club.

Comme dit plus haut, difficile de se rendre crédible lorsqu'on réalise des demi-projets pour un résultat à moitié bon.

On aurait trouvé des escargots sur la pelouse à FLB ...

Le match de dimanche est reporté.

Moi j'en ai plein le cul des écolos de merde. Pas plus écolos que moi d'ailleurs ces gros cons, ces sacs à foutre, ces faces de limaces !

5 fois
Toute ressemblance orthographique avec le nom d'un adjoint aux sports est certainement fortuite

Version "Sept jours à Brest"

Stade Brestois. Centre de formation : François Cuillandre fait le point

Il ne s'était pas encore exprimé devant toute la presse sur le sujet. C'est chose faite. François Cuillandre, maire de Brest et surtout en l'occurrence président de la communauté urbaine, a fait le point sur le dossier du centre de formation du Stade Brestois. Répondant d'une part aux attaques dont la collectivité fait l'objet. Et proposant d'autre part des solutions pour sortir de l'ornière.

« J’ai rien fait, mais je vais tout dire », s’amuse François Cuillandre en début de conférence de presse, impressionné par le nombre de journalistes présents ce vendredi après-midi en mairie. Au menu : le centre de formation du Stade Brestois. Évidemment. « Sujet qui fait l’objet d’un peu de polémique », reconnaît le président de BMO. Pas faux. C’est la première fois qu’il s’exprime devant toute la presse sur le sujet.



Le but premier : répondre aux accusations dont la collectivité fait l’objet. Est-elle « passée en force », comme cela a été entendu ? « La loi existe, nous l’avons respecté », assure François Cuillandre. Le président de BMO précise que les enjeux environnementaux ont été pris en compte. Il donne l’exemple de la loi littorale. « Nous en avons discuté avec le club qui a accepté de modifier une première fois son projet pour placer les bâtiments en continuité de la zone urbanisée, comme le texte le prévoit ». François Cuillandre précise que la zone humide en cause a été découverte en cours de procédure et que « le projet a été une nouvelle fois adapté pour limiter les impacts ». D’accord.



« Le foot pro à Brest est d’intérêt général »

Reste le problème de l’intérêt général. Les deux recours de Bretagne vivante déposés contre le projet concernent cette notion. L’association critique le choix de la révision simplifiée du plan local d’urbanisme qui ne peut être adoptée que si l’intérêt général l’impose. Et pour eux, « un centre de formation accueillant 23 enfants et a fortiori un centre d’entraînement réservés aux professionnels », n’entre pas du tout dans ce cadre. François Cuillandre tient d’abord a faire une précision. « Le projet du centre de formation est un projet privé. Mais ce n’est pas parce qu’il est privé qu’il n’est d’intérêt public ». Pour lui, pas de doute : le Stade Brestois a besoin de ces infrastructures pour rester un club professionnel. Et « le foot pro à Brest est d’intérêt général ». Sans parler de l’impact économique et des emplois créés « importants pour la ville en cette période de crise ». De toute manière, on peut en parler des heures, ce sera au juge de décider.



Le vrai problème est « l’espèce protégée qui est apparue dans le cadre de cette procédure contentieuse ». Ce fameux escargot de Quimper. François Cuillandre insiste sur le fait que « sa présence est encore à vérifier », malgré le rapport d’huissier présenté par l’association Bretagne Vivante. Et c’est au Stade Brestois de le faire s’il souhaite obtenir la dérogation nécessaire au début des travaux. Une procédure « longue et coûteuse » qui durera « au moins six mois sans garantie de résultat ». François Cuillandre semble donc convaincu que le projet de centre de formation ne se fera pas en l’état. Il se plie à la situation. Et prêche aujourd’hui le compromis et surtout « l’apaisement ». « Ce n’est pas un scoop, mais je ne serai pas à la manifestation prévue demain (prévue à 11 h à Plougastel et organisée par les défenseurs du projet, ndlr). Je ne veux pas mettre de l’huile sur le feu ».



« On a l’habitude de trouver des terrains d’entente avec Bretagne Vivante »

Alors que faire ? François Cuillandre assure que BMO n’a aujourd’hui aucun terrain de substitution à proposer au Stade Brestois. En tout cas, « pas à court terme ». Ce qui veut dire ? « Dans un délai d’un an ». Il souhaiterait donc remettre tous les acteurs du dossier autour de la table. « J’ai cru comprendre que le Stade Brestois était d’accord pour couper la poire en deux. Et pour limiter son projet au centre de formation en évitant ainsi de construire sur la zone humide et les autres zones litigieuses ». Reste à convaincre Bretagne Vivante de suspendre ses recours. En les menaçant de les priver de subventions ? « Ce n’est pas le genre de la maison », affirme François Cuillandre. Alors comment ? Nous avons l’habitude de travailler ensemble. Je ne veux pas polémiquer mais nous participons chaque année avec cette association à la limitation de la prolifération d’une autre espèce protégée, le goëland. Et nous avons l’habitude de trouver des terrains d’entente dans d’autres dossier ».



Un exemple ? « On va stabiliser prochainement le polder sur la zone portuaire. Nous avons également découvert une zone humide sur ce site avec des espèces protégées. Nous allons recréer un espace de compensation sur la commune de Bohars ». Voilà. Exemple à suivre. Le Stade Brestois aura-t-il le temps d’attendre ? Réponse en début de semaine. Michel Guyot doit réunir les partenaires du dossier pour faire un point sur la situation et surtout sur leur engagement financier…

http://www.septjoursabrest.fr/2012/10/0 ... -le-point/

tu ne dois pas connaitre Sein pas de place la bas...ou alors il faudrait s entrainer qu a maree basse ....oui mais alors il faudrait eliminer Momo le Bigorneau donc c est pas possip non plus....

Un grand BRAVO a BASQUIN nous devrions tousle soutenir

( mais j aime bien les gens qui retournent leur veste comme jeanlpec...)

et une question : Pourquoi Bretagne Vivante ne se preoccupe pas des vers de terre qui vivent et sont en train d etouffer sous la pelouse synthetique du Moustoir ?

Vas y développe mignon, j'ai hâte de te lire

Tout à fait d'accord avec toi.
Mais je deviens fataliste, un peu envie de dire ICI C'EST BREST.
On est maudit ou quoi? On ne fera jamais rien de grand dans cette ville?

Que Cuillandre se paye une paire de couilles bordel. Qu'il commence par couper le robinet à toutes ces associations à la con. Et comme le disent si bien ces abrutis du npa...........par les temps qui courrent, il ne faut pas gaspiller l'argent public.

Peux tu nous parler de ton pote Dede l abeilleau ?l