J’ai le calendar . Le Bic . Merci Armorique . Je fais livrer un bouquet à ton épouse. Quel « Damage » de ne pas y avoir pensé

je me demandais si à gauche gauche faisait la même chose avec son épouse si il en a une afin de définir les jours où elle choisit le programme à la télévision. je plaisante à gauche gauche ne le prends pas mal.

Idem chez moi, à la différence que c'est moi qui note le calendrier.

@ Henri Stourne

Je reconnais que c'est pas la meilleure des idées lorsque l'on est en couple mais j'ai/on a opté pour la solution de facilité "2 TV".

Cela dit, elle apprécie le football y ayant toujours baigné et a ses activités sportives personnelles.

Pas belle la vie ?

UN PEU DE LECTURE

Onzième de Ligue 1 après quinze journées avec 19 points, le Stade Brestois lance sa nouvelle année ce dimanche par un déplacement à Angers (15e avec 13 points). Une belle opportunité pour Brest de creuser un écart encore plus conséquent avec la zone rouge, après son succès contre Nantes en décembre, qui l’a mis sur de bons rails en championnat. Un bon résultat à Angers dimanche viendrait aussi conforter une première partie de saison qu’Éric Roy avait qualifié de « très très belle » fin décembre. « Si on m’avait dit, “vous aurez 19 points avec encore deux matchs pour finir la phase aller en L1 (Angers et Lyon) et treize points en Ligue des champions”… Je pense qu’on aurait signé ».
« J’ai entendu qu’on n’aurait pas d’équipe, qu’on ne prendrait pas de points en Ligue des champions, qu’on descendrait en Ligue 2 », se confie à son tour Grégory Lorenzi, qui avait failli rejoindre Rennes cet été. Pour le directeur sportif brestois, « on a eu une intersaison avec beaucoup de doutes sur la construction de l’effectif. Et même si on n’est qu’à mi-chemin, on montre encore de la cohérence pour réussir à rentrer dans nos objectifs. Qui sont d’assurer un maintien le plus confortable possible et se faire plaisir en Ligue des champions ». Sur cette compétition, Lorenzi « acte à 100 % que la campagne européenne est déjà une réussite. J’espère qu’on ne minimise pas ça et que les supporters s’en souviendront toute leur vie. Seuls les anciens peuvent comparer avec les générations d’avant mais quand je discute avec certains d’entre eux, ils me disent que c’est actuellement la plus grande période de l’histoire du club. C’est une fierté de voir le plaisir procuré. C’est une sensation de plénitude »
Même si Brest jouera au moins les barrages de la Ligue des champions, Lorenzi insiste pour maintenir la priorité sur le championnat en 2025, « là où il y a encore beaucoup de points à prendre. Ce qui nous a permis d’être européens, c’est qu’on a su la saison passée présenter un état d’esprit combatif le week-end ». Ce qu’il n’a pas retrouvé à Auxerre (défaite 3-0) ou Montpellier (3-1) en septembre et novembre. Le point noir ? « Est-ce que c’est à cause de la Ligue des champions ? Est-ce que les joueurs, inconsciemment, se protègent pour ça ? C’est une interrogation. Cela nous fait réfléchir, sur comment les joueurs peuvent mieux aborder ces semaines avec des matchs européens, comment on active certains leviers pour être davantage régulier », s’interroge le directeur sportif pour qui, « ce qui est dur, c’est aussi de rebasculer. On fait des choses sensationnelles en Coupe d’Europe, on est encensé pour ça mais les éloges, c’est ce qui endort ».

« Plutôt satisfait » de la construction de l’effectif brestois, qui aura mis du temps à se dessiner avec cinq arrivées le 31 août lors du dernier jour du mercato, Lorenzi estime « que le groupe est homogène et plutôt bien équilibré, avec de la diversité. On a de la puissance, de la vitesse, des joueurs techniques », dit-il, en attendant toutefois davantage d’un joueur comme Romain Faivre, sept titularisations entre la L1 et la Ligue des champions : « On connaît ses qualités, ce qu’il peut apporter à l’équipe. C’est une passe compliquée mais il n’y a aucun souci avec lui. Il y a une concurrence, il faut l’accepter