Le meilleur moment est tout de même celui il dit comme quoi Chauvin a reconnu qu'il aurait pas du mettre Chafni et Kantari titulaire alors que Chafni était au dessus des autres

Entre deux rendez-vous professionnelsà Grenoble et à Saint-Malo, Michel Guyot analyse, dans un style toujours aussi direct, la situation de l'équipe brestoisequi se rend à Valenciennes après trois revers consécutifs.

Comment avez-vous vécu la soirée face à Nice ? « Pas très bien, après avoir entendu pour la première fois des "Chauvin démission !". Les parents de Landry ont assisté au match, ce qui le rendait encore plus malheureux. Le lendemain, je lui ai précisé que je n'avais pas du tout, mais alors pas du tout, l'intention de me séparer de lui. La presse veut en faire un bouc-émissaire mais Ahmed Kantari a bien dit que les difficultés actuelles ne venaient pas de l'entraîneur ». D'où alors vient le mal pour une équipe qui n'a jamais joué aussi mal que samedi ? « De plusieurs facteurs. De nos médiocres conditions d'entraînement à Penhélen qu'aucun autre club de Ligue 1 ne connaît et qui pèsent beaucoup sur nos résultats. Mais aussi de jeu sur le bourbier de Francis-Le Blé, qui sont les mêmes pour les deux équipes à ceci près qu'on doit se préparer dans la semaine sur un synthétique (à Ménez-Paul). On paie aussi les blessures de Baysse et de Lesoimier. Mendy, pour sa part, a eu du mal à se remettre d'une gastro-entérite survenue durant toute la trêve de Noël. Par ailleurs, Landry a reconnu s'être trompé en ayant titularisé nos deux Marocains (Kantari, Chafni) qui ont eu le contrecoup de la CAN ». Auteur d'une bonne série à domicile, puis d'une autre à l'extérieur, pourquoi l'équipe a-t-elle flanché à ce point ensuite ? Ahmed Kantari avoue ne pas avoir reconnu à son retour de la CAN l'équipe qu'il avait quittée en décembre. Parmi les 32 joueurs sous contrat aujourd'hui, on va devoir faire des coupes sombres et ne plus faire figurer sur la feuille de match ceux qui jouent peu ou pas et qui n'ont pas voulu partir ou être prêtés durant le mercato. Il faut resserrer le groupe pour mieux lutter pour le maintien ». Le club n'a-t-il pas pris aussi un risque fou en laissant partir Ben Basat à Toulouse ? « C'était impossible de le retenir et d'avoir un joueur aussi motivé qu'auparavant jusqu'à la fin de la saison. Eden a fait le choix de l'argent mais aussi celui de trouver à Toulouse une communauté juive plus importante que celle de Brest. Mais parviendra-t-il à devenir titulaire là-bas ? » On dit que cette décision vous a fragilisé vis-à-vis de certains partenaires du club ? « La preuve contraire est apportée par Claude Quéguiner qui vient de reconduire pour trois ans son partenariat et qui a indiqué que celui-ci serait remis en cause si je prenais la décision de démissionner. Il arrive à d'autres partenaires d'aboyer parfois, mais ils ne sont pas méchants ». Après le problème de santé que vous avez connu à l'automne, avez-vous l'intention de lever le pied dans votre fonction de président ? « Non, pas du tout. Je ne partirai pas du club sur un échec que constituerait une descente en Ligue 2 et que je ne tiens pas à imaginer. On va se fédérer et se battre jusqu'au dernier match pour rester en Ligue 1 ». L'équipe possède-t-elle autant d'arguments que les deux dernières saisons pour obtenir à nouveau son salut dans l'élite ? « Non, elle a moins d'arguments mais il y a des équipes plus faibles que la nôtre. On souhaitait atteindre les 30 points à la fin février. C'est maintenant notre objectif pour le 3 mars, après avoir reçu Lyon. Face à Valenciennes qui n'a pas gagné depuis cinq rencontres et que nous avions été capables de vaincre dans les arrêts de jeu à l'aller, on doit montrer qu'on n'a pas perdu notre football ».

L'équipe possède-t-elle autant d'arguments que les deux dernières saisons pour obtenir à nouveau son salut dans l'élite ? « Non, elle a moins d'arguments mais il y a des équipes plus faibles que la nôtre.

Le club n'a-t-il pas pris aussi un risque fou en laissant partir Ben Basat à Toulouse ? « C'était impossible de le retenir et d'avoir un joueur aussi motivé qu'auparavant jusqu'à la fin de la saison.

Face à Valenciennes qui n'a pas gagné depuis cinq rencontres et que nous avions été capables de vaincre dans les arrêts de jeu à l'aller,

Par ailleurs, Landry a reconnu s'être trompé en ayant titularisé nos deux Marocains (Kantari, Chafni)

Mendy, pour sa part, a eu du mal à se remettre d'une gastro-entérite survenue durant toute la trêve de Noël.

De plusieurs facteurs. De nos médiocres conditions d'entraînement à Penhélen qu'aucun autre club de Ligue 1 ne connaît et qui pèsent beaucoup sur nos résultats

Mais aussi de jeu sur le bourbier de Francis-Le Blé,

Ce sont les mêmes pour les deux équipes à ceci près qu'on doit se préparer dans la semaine sur un synthétique (à Ménez-Paul).

Impossible pour quelles raisons? on le gardait et basta.C'était indiqué noir sur blanc qu'il ne partirait pas le 31 janvier.Moins motivé? pas cette impression vu qu'il marque en coupe et a Troyes ou on le voit même courir chercher le ballon au fond des filets.Ben Basat a toujours dit qu'il finirait la saison ici.Au pire des cas,on le lâchait le 15 et non le 31 a 18h00.

Donc le fait de s'entrainer sur synthétique est l'explication de notre jeu merdique a FLB et du manque de combativité.

il a montré la lumiere....................