Quelqu'un aurait-il l'amabilité de recopier ici le contenu de cet article ? Merci ! https://www.lequipe.fr/Handball/Article/Brest-peut-sauver-sa-saison-en-battant-metz-en-finale-de-la-coupe-de-france/1022446

De ce que l'on peut lire en ligne ça doit être le même article avec certaines phrases rédigées d'une autre façon.
L'Equipe n'a plus grand chose à voir avec le journal sportif qu'il était. Beaucoup d'articles auraient plutôt leur place dans Gala, Closer ou Ici-Paris. En plus, il y a une multitude de sites parasites qui reprennent ses infos en les amplifiant dans le mauvais sens.

En comparaison le titre de Handnews est le même, mais pas tout à fait le contenu.

https://handnews.fr/2019/cdf-f-finale-brest-peut-sauver-sa-saison/

Merci, leur attitude envers Jacquet lors de l'avant Coupe du Monde 1998 avait été lamentable. Et puis Duluc...
Le magazine du samedi était bien jusqu'aux années 90. Ensuite, ça a été une longue chute, orientée par les financeurs peut-être.

Et voilà, saison 0, quel fiasco ! 0 trophée, la loose totale.
5 M€ pour ce sketch abracadabrantesque ! Arrêtez les frais les frangins Le Saint. On aurait bien besoin de cette somme en plus au foot !

Stop au gâchis

'Fin bon, en sport ce n'est jamais gagné d'avance…......…. La saison n'est pas à la hauteur des espérances. Elles feront mieux l'année prochaine si toutes les joueuses sont présentes.

Si, dans la vie, on arrêtait après le 1er échec, l'expérience n'existerait pas et je crois qu'on serait tous morts dès le premier microbe rencontré.

L'article en question, merci Pilgrim29 !!! :
"Brest peut sauver sa saison en battant Metz en finale de la Coupe de France
Publié le samedi 25 mai 2019 à 00:05
Le club de Brest en termine samedi soir avec une année compliquée, que seule une victoire en Coupe de France à Bercy face à Metz peut égayer.
Elle pourrait encore se terminer sous les paillettes de Bercy avec une Coupe de France soulevée, mais, de l'avis de tous, cette saison a été « la plus compliquée à vivre », admet l'entraîneur de Brest Laurent Bezeau. « Je n'ai jamais eu une saison aussi stressante de ma vie », renchérit Ana Gros, vingt-huit ans dont dix dans les plus grands clubs européens.
La liste comprend des blessures de joueuses cadres (le pied de Bella Gullden, le genou de Cléopatre Darleux deux fois), trois grossesses auxquelles le club ne s'attendait pas vraiment (Gullden en janvier, Darleux... le 1er avril, Manach trois semaines plus tard), et une maladie neurologique, la sclérose en plaques, qui frappe Amandine Tissier, revenue au jeu depuis.
Ça, c'est pour les impondérables. Et il y a le reste. Comme Gullden, l'une des meilleures joueuses du monde, qui s'étonne que certaines passent plus de temps en soins qu'à s'entraîner. Ou encore Linus Persson, entraîneur des gardiennes et futur mari de la Suédoise, parti après quelques mois, officiellement « car il faisait des études de haut niveau (management) qui prenaient trop de temps » selon Laurent Bezeau, officieusement parce qu'il ne s'entendait pas avec le technicien. Des joueuses très peu utilisées, à l'image de Pauletta Foppa, davantage vue sur le terrain avec l'équipe de France à l'Euro en décembre qu'avec Brest pendant les quatre mois précédents, ou de Mélanie Bak, la joker de Gullden.
Et, au coeur de cette longue saison, un tournant. En février, après une correction reçue face à Metz à l'Arena (21-32) en Ligue des Champions, la quasi-intégralité des joueuses (à trois exceptions près) demandent au président Gérard Le Saint le départ du coach. Le malaise, latent depuis la saison dernière, traîne jusqu'à la fin du mois et trente dernières minutes atroces à Nice (4 buts marqués pour une défaite 25-17) : le lendemain, Laurent Bezeau est en arrêt maladie pour trois semaines (dos). Son départ (malgré un contrat jusqu'en 2021) est une hypothèse sérieuse. Puis, les trois semaines écoulées, celui-ci revient sur le banc. Obligé, puisque Romain Corre, son adjoint, et Jean-Luc Le Gall, le coordinateur sportif, n'avaient pas les diplômes requis (ou pas à jour), ce qui n'était plus autorisé une fois l'arrêt de travail terminé...

«C'est comme l'éducation d'un enfant, il va chuter plusieurs fois avant de réussir à marcher» Laurent Bezeau, entraîneur de Brest

Depuis, celui qui fut champion de France en 2012 avec l'Arvor 29 (club de Brest, disparu dans la foulée du titre) tient la barre mais le bilan est en recul. Certes, son équipe a atteint le tour principal de la Ligue des champions mais n'a battu qu'une équipe de toute la saison. En Championnat, les Brestoises étaient absentes de la finale pour la première fois depuis leur remontée en 2016. « Sans tous les problèmes, on aurait progressé, affirme Bezeau, pour preuve le bon début d'année. Il manque à ce club de l'histoire. On a plein d'envie, plein d'ingrédients, on va vite mais parfois on passe à côté de certaines choses. C'est comme l'éducation d'un enfant, il va chuter plusieurs fois avant de réussir à marcher. »
Une victoire ce soir en Coupe de France, dont Brest est le tenant du titre, aiderait à se relever. « Un match à la vie, à la mort où il peut se passer quelque chose, veut croire l'arrière Marta Mangue, dont l'équipe ne part pas favorite face à Metz. C'est une chance de pouvoir profiter, de se faire plaisir nous-mêmes alors que la saison ne s'est pas bien passée. »
Victoire ou pas, il faudra de toute façon tirer les leçons de ces remous. « On est en pleine digestion de tout ça. Reposez-moi la question des enseignements à tirer en début de saison prochaine », dit le coach. « Ce sont des moments comme ça qui amènent l'expérience, qui font qu'on sera plus fortes », analyse Gros.
Laurent Bezeau apprend aussi. La suite, le quinquagénaire la voit « avec un rôle très en hauteur, comme c'est déjà le cas dans pas mal de clubs masculins ». Romain Corre prendra davantage de responsabilités, aidé par l'ex-joueur Mathieu Kreiss comme coach des gardiennes. Troisième de D1, Brest va déposer un dossier auprès de la fédération européenne pour être invité à la prochaine Ligue des champions.
Une compétition que ne jouera pas Allison Pineau. Prolongée (avec un salaire doublé) en janvier 2018, l'internationale française (30 ans) est au placard et n'a plus joué depuis le 13 mars. Selon nos informations, l'arrière va quitter le club en fin de saison, les négociations pour la rupture du contrat (prévu jusqu'en 2021) étant proches d'aboutir. En attendant, elle participait au tournage de Fort Boyard, cette semaine."
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-> "Comme Gullden, l'une des meilleures joueuses du monde, qui s'étonne que certaines passent plus de temps en soins qu'à s'entraîner. Ou encore Linus Persson, entraîneur des gardiennes et futur mari de la Suédoise, parti après quelques mois, officiellement « car il faisait des études de haut niveau (management) qui prenaient trop de temps » selon Laurent Bezeau, officieusement parce qu'il ne s'entendait pas avec le technicien. "
C'est assez épineux car, s'ils ne s'accordent pas, on ne repartira pas sur une ambiance très saine, Güllden ayant encore deux ans de contrat. Quid du timing de sa grossesse ?
Je ne comprends pas trop sa remarque sur les joueuses qui passent plus de temps en soins qu'à s'entraîner. Même si la demoiselle n'est pas une des meilleures joueuses du monde pour rien, elle a été également blessée, juste remise pour participer au championnat d'Europe avec la Suède avant d'annoncer sa grossesse à la fin de celui-ci.

-> "Des joueuses très peu utilisées, à l'image de Pauletta Foppa, davantage vue sur le terrain avec l'équipe de France à l'Euro en décembre qu'avec Brest pendant les quatre mois précédents, ou de Mélanie Bak, la joker de Gullden."
Pour Foppa, elle est jeune et si elle apporte en attaque, elle a de gros progrès à faire en défense. Alors que cette dernière n'était déjà pas le point fort de l'équipe cette année. Mais, il est vrai, tout comme Bak (quel intérêt de la recruter ? vu son niveau, elle aurait pu faire mieux que dépanner), Prouvensier ou Limal, qu'elle ne jouait pas assez.

Autre point négatif, le manque de chance encore, Niakaté, joueuse au fort potentiel qui s'était engagée fin janvier, s'est faite opérer du genou 3 semaines plus tard. J'espère qu'elle se remettra bien :
https://nahb.fr/fin-de-saison-pour-kalidiatou-niakate/

LE CHAMPIONNAT DE FRANCE PROFESSIONNEL FÉMININ DE HANDBALL DEVIENT LA LIGUE BUTAGAZ ÉNERGIE !

http://www.handlfh.org/actu/le-champion ... z-energie/

Ca m'a fait rire.
Sinon, j'ai eu des problèmes tablette samedi et ai raté la 1ère mi-temps. A la vue du score à la mi-temps, j'imaginais une classe d'écart. En fait non. C'était plutôt équilibré et l'écart n'était dû qu'à un manque de réussite aux tirs avec de nombreux poteaux brestois. Avec un peu plus de réussite, on aurait pu espérer installer le doute dans la tête des messines. Même si la victoire était pour moi de l'ordre du fantasme.

Laura Glauser a encore été énorme. Je remarque quand même que la gardienne fait souvent la différence sur un match avec son % d'arrêt.

On a débuté le match avec une barre de Xenia sur un missile L.D. à la Ana. Flippes s'y est mis aussi. Puis le manque de concentration de nos ailières ( Laura la jumelle Kanor, Maubon, Levsha ) ont fait briller la gardienne, le nb de poteaux est équilibré.
Au long de cette saison il était difficile d'installer le doute dans le collectif messin, même au pire moment comme la première mi-temps ratée face à Rostof en 1/2 du FA.

Les arrêts y contribuent fortement car ils permettent en plus un contre ultra rapide qui fait souvent mouche.
Ayant confiance en la gardienne, les ailières débutent leur sprint vers la cage adverse au moment du tir, sans adversaire il reste juste à finir le taf.

https://www.erguequimperhandball.bzh/challenge-caraty-feminin/

05 juin Dans L'actualité du club par Ergue Quimper Handball
CHALLENGE CARATY FÉMININ
Bonjour à toutes et tous,



Nous aurons le plaisir d’accueillir à Quimper, le 16 août 2019, la challenge Caraty Féminin.

L’élite du handball contre le cancer sera présent à Quimper, à savoir Buducnost, Bucarest, Brest Bretagne, Metz et Gyor (vainqueur de la ligue des champions féminine 2019).

Au programme, 2 matchs à 18h30 et 20h30 à la Halle des Sports de Penhars.

Toutes les infos sur : https://challenge-christophe-caraty.fr/

Sportivement, l’équipe EQHB.

Invité à la prochaine ligue des champions.

Quelle crédibilité le sport féminin?!?!?! Même l'UEFA arrive à nous faire croire que ça reste la ligue des clubs champions, bon plus pour longtemps je te l'accorde.