Ne comparons pas l'incomparable !
Comparer Sego au Général, c'est, je ne sais pas, comparer Charpenet à Bekenbauer !

Ne comparons pas l'incomparable !
Comparer Sego au Général, c'est, je ne sais pas, comparer Charpenet à Bekenbauer !

Kamel
27.01.07 | 23h18
Dans tous les cas, Ségolène a balancé des âneries comme si elle avait au bout du fil une vieille copine. Or, elle est candidate à la présidence de la République pour représenter 63,5 millions de Français, elle semble ne pas en avoir pris conscience. Jamais Mitterrand ou Jospin ne se serait abaissé à de pareils remarques sur les Corses face à un leader politique, fut-il québecois, ou fut-il humoriste. Mme Royal n'est pas à la hauteur, le PS a de quoi grincer les dents. C'est à pleurer... de rire.

Maximilien S.
27.01.07 | 22h16
Au PS ils prennent trop de psychotropes, ils deviennent paranos... C'est lamentable ! Même dans un moment de détente, ce sont des propos qu'il faut assumer. Ca en dit long sur la candidate Royal... Tribunaux populaires, comiques ennemis de l'interêt national bientôt... Et la justice chinoise est un modèle. En fait, elle nous propose quoi ? Bientôt, elle va nous dire que la Corée du Nord est une grande nation, un exemple à suivre ?


frédéric D.
27.01.07 | 21h49
Les socialistes en font trop en se positionnant en tant que victime. Sarkosy a fait cambriolé la maison de SEGO, Sarkosy a des fiches sur les membres du ps, Sarkosy fait un canulard. Je ne voterais pas SARKO. Mais le PS commence vraiment a entrer dans un mauvais jeu. SEGO dis ne veut faire une campagne canivo mais la ils sont en plein dedans.

Tetrapharmakon
27.01.07 | 20h51
C'est consternant qu'un amuseur de pacotille suscite autant de tapage médiatique. Quel intérêt pour les médias de relayer cette farce ?

La campagne présidentielle inspire au philosophe Bernard-Henri Lévy "un sentiment d'abattement" dû au fait que "de toute (sa) vie" il n'a "jamais vu campagne aussi médiocre". Dans un entretien paru dimanche dans Le Parisien/Aujourd'hui en France, il déclare que cette élection sera "le moment de vérité" car on verra si "le prochain président aura la force et la grâce de faire les réformes qui s'imposent". Après avoir rappelé qu'il a été "parmi les premiers à saluer le surgissement" de Ségolène Royal, il constate avec amertume que "six mois après, et avec la meilleure des bonnes volontés il est difficile de ne pas se poser des questions: Que veut-elle ? Quel est son projet ?" Interrogé sur l'avenir de Ségolène Royal d'ici l'élection présidentielle, il estime que "c'est une candidate tellement atypique que tout peut arriver. Un redressement spectaculaire (...) ou bien un extinction soudaine des lumières autour d'elle et en elle qui la ferait plonger". Dans cette perspective catastrophique pour le parti socialiste BHL affirme savoir que "certains au PS (...) imaginent (...) une sorte d'appels de grands élus exhortant la candidate à se sacrifier sur l'autel d'un congrès extraordinaire qui désignerait...François Hollande ! Peut-être..."

Le lien qui existe en Ségolène et le Général, c'est le poids de son éducation. Son père était Colonel: elle a été élevée "à la dure" comme une bourgeoise. Elle paye l'ISF apparemment (ou du moins le couple qu'elle forme avec Hollande).

Quand elle dit qu'elle sait ce qu'est la misère et qu'elle est proche du peuple, on peut douter ... de sa sincérité.

Peu ... voire très très peu d'étudiants qui sont sortis de l'ENA étaient issus du peuple. Diplôme en poche, tous issus du même monde (celui des rallyes et des récéptions chez les notables), il a bien fallu choisir un camp: la gauche ou la droite.
L'idéologie qu'elles véhiculent n'ont pas été le critère principal du choix, je vous prie de le croire... et on peut en citer bien d'autres.

Ne nous voilons pas la face sur les discours des uns et des autres. Aujourd'hui, être politicien est devenu un métier, autrefois c'était un sacerdoce, une philosophie ...

Publié le 18 janvier 2007 à 16h00 Prud’hommes : 2 employées face à Royal

Deux ex-collaboratrices réclament le paiement de salaires sur une période allant du 12 mai au 31 juillet 1997. Ces ex-attachées parlementaires l’avaient attaqué devant le conseil des prud’hommes de Niort, affirmant avoir continué à travailler pour elle alors qu’elle n’était plus députée et était devenue ministre dans le gouvernement Jospin, selon une source judiciaire. L’affaire vient d’être renvoyée devant la cour d’appel de Rennes, la Cour de cassation ayant annulé une décision pour un problème de procédure.