On sent un certain plaisir/rapidité à reprendre les journalistes quand ils font erreur et même s'il en a dit plus qu'à ceux qui couvrent localement on sent que ça l’emmerde de répondre à des questions qu'il doit trouver "connes".

Arrête de nous prendre pour des pipes.

Tu sais comme tout le monde que Furlan et Lorenzi étaient en froid au moins la dernière année et qu'il n'y a pas eu plus de proposition de prolongation suite à la montée que de respect des gestes barrières et du couvre-feu lors de la teuf des Templar à Bourg Blanc.

Pendant 2 ans tu n'as balancé que de la mer.de sur Brest et ses joueurs pour couvrir ton poulain.
Contente toi de suivre ses aventures chez les bouffeurs de hérisson, on ne sait jamais ça peut marcher avec un effectif plus talentueux et une mentalité différente.
Nous avons juste à espérer que Lorenzi ait appris de ses erreurs et que MDZ arrivera à nous obtenir le maintien tout en pansant les plaies laissées par ton protégé. Et ce n'est pas gagné.

Dieu merci il reste quelques Hans ici. Ça tranche avec la banalité ambiante

Doux Jésus baisse un peu d'un ton et évite le "nous" tu n'es le porte parole de personne ici

Pas de proposition de prolongation tu dis. Alors pourquoi il y a la case prud'hommes entre le libournais et les marchands de légumes ?
Pour défendre ton poulain, tu es prêt à écrire n'importe quoi.

N'importe quoi comme sur le départ de Court où Hans s'était fait son petit film dans sa tête aussi...

Je baisserai d'un ton quand j'aurai envie monsieur l'agent.

Essaie de remettre de l'ordre dans ta tête moi je sais ou j'habite. Alors pied à terre à Lyon ou pas?

Sinon puisque tu prétends en savoir raconte nous quel est le contentieux entre JMF et le SB29. En général quand une boîte te propose un contrat et que tu le refuses, il n'y a pas matière à aller aux prud'hommes.
Donc je maintiens tu prends les Brestois pour des pipes sur ce forum.

Dieu merci il reste quelques Hans ici. Ça tranche avec la banalité ambiante

Pas la peine de monter sur ton grand cheval, on peut discuter gentiment même si nous ne sommes pas d'accord.
Le contentieux, je n'en sais rien moi. J'ai lu ça l'autre jour dans un lien (ma.ligue2 me semble-t-il)
Je suis un peu tombé des nues puisque le Fufu était en fin de contrat. Donc si ça parle de prud'hommes, c'est bien qu'il y avait un truc dans le tuyau. Ce n'est peut être, si tout cela est avéré, pas si clair comme tu le prétends.
Par contre je ne vois pas trop où tu veux en venir avec tes Lyon, nous, brestois.
Moi je ne suis pas brestois mais finistérien et depuis longtemps, selon tes critères ça doit me donner le droit de causer ici.
D'ailleurs je ne t'ai pas attendu pour supporter le stade.

Jean-Marc Furlan et le Stade Brestois, c’est officiellement fini. L’entraîneur qui ramène Brest en Ligue 1 s’en va à Auxerre, en Ligue 2. Si l’issue peut paraître incompréhensible vue de loin, elle était annoncée depuis des mois…

Jean-Marc Furlan et les dirigeants brestois n’ont pas cassé la vaisselle avant de se quitter. Le temps libérera peut-être la parole ou apaisera les ressentiments. Mais vendredi soir, l’entraîneur a tenu un discours tempéré après le match à Metz, son dernier avec Brest.

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Il ne s’est pas senti « désiré » pour renouveler son contrat, mais a remercié « Greg (Lorenzi) et Denis (Le Saint) de (l’avoir) choisi il y a trois ans ». L’histoire retiendra que les derniers échanges ont été courtois avec ses dirigeants, qui n’ont pas fait non plus de déclaration tapageuse.

Le Stade Brestois lui a dit « Merci » sur Twitter au moment où l’AJ Auxerre lui souhaitait la bienvenue, juste avant 23 h. Les annonces étaient prêtes, à portée de clics, programmées.

Bonne continuation avec l’@AJA ! pic.twitter.com/stqB3g2Wef

— Stade Brestois 29 (@SB29) 17 mai 2019
Plus d'infos sur notre site internet ???? https://t.co/IkvBwaJkab

— AJ Auxerre (@AJA) 17 mai 2019

La rupture début mars…

Qui pouvait croire encore, cette semaine, il y a un mois ou même six, à une autre issue ? Furlan situe la rupture début mars « quand j’ai reçu une proposition d’un an (+ un an optionnel). J’ai beaucoup de compassion et de gentillesse pour mes dirigeants mais ça m’a fait beaucoup de mal… »

Le 3 avril, deux jours avant de jouer le Red Star, le Girondin annonçait à son staff et ses joueurs, dans l’intimité du vestiaire, qu’il n’accepterait pas l’offre brestoise, revue entre-temps à deux ans fermes.

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Furlan, un départ acquis depuis des semaines
L’entraîneur n’informera en revanche pas son directeur sportif ou son président de sa décision que même une contre-offre de trois ans - la durée de son engagement à Auxerre - n’aurait infléchi. Il n’a reçu ni les mots, ni l’offre qu’il attendait. Sur ces deux aspects, Brest n’avait pas l’intention d’aller plus loin.

Sportivement, en réussissant sa mission de remonter le Stade Brestois en Ligue 1, en jouant tous les ans la montée, la plupart du temps avec du spectacle en toile de fond, Furlan pouvait difficilement faire mieux.


… la cassure il y a quinze mois

Les relations humaines ont donc eu raison de l’idyllique rencontre entre Denis Le Saint et son futur entraîneur, un jour de mai 2016 à la pointe Saint-Mathieu (29). Avec un point de rupture : le vendredi 2 mars 2018.

Au-delà de l’épiphénomène d’une défaite contre le dernier de Ligue 2 (Tours) et du prétexte d’un majeur dressé vers un supporter excité, de ce soir-là ses dirigeants ont conservé l’amertume d’une conférence de presse chamboule-tout sur le manque de professionnalisation du club. Ce n’était pas sa première sortie sur le sujet, ça restera la plus violente.

S’ensuivra un week-end incertain durant lequel le président a songé débarquer son entraîneur qui a imaginé démissionner. L’idée n’a pas survécu à la réalité d’un contrat qui courait encore sur seize mois, jusqu’en juin 2019. Après une semaine d’électricité débranchée par une victoire à… Auxerre (2-1), tout le monde s’était rangé derrière le retour durable des très bons résultats.

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A la trêve, déjà, ça sentait la fin…
Ils n’ont pas suffi à renouer le fil distendu. Les deux parties savaient l’union en sursis. L’entraîneur, qui a attendu des mois un nouveau contrat, a laissé opportunément ses agents sonder le marché des bancs disponibles. Ses dirigeants, qui ont fini par le lui offrir, s’imaginaient plutôt un avenir avec un technicien plus souple dans sa communication.

Furlan file à Auxerre, qui le voulait déjà en 2016 et en 2018, plutôt qu’au Havre, qui s’était aussi positionné très tôt dans la saison, Lens ou Lorient, dont les offres, très insistantes jusqu’à jeudi soir pour le club breton, sont arrivées plus tard. Brest annoncera très bientôt son successeur.

Quand il y en a un ça va, c'est quand il y en a plusieurs qu'il y a des problèmes
J'espère que tu apprécieras la référence !